Un bâtiment est visible sur le cadastre napoléonien de 1809 (Section D, feuille unique, parcelle 1267) mais il n'est pas mentionné comme ouvrage hydraulique. En 1832, les deux propriétaires du site, C.Voutier et J.B.Mathias, vendent une partie du site à B.Zulberti. Celui-ci revend son bien en 1848 à Joseph Piffet. En 1858, le site est acquis par Charles Biguet-Grand-Georges. Après d'autres reventes successives, le site est acquis dans sa totalité par François Vullien en 1861. La forge Vullien est visible sur le premier cadastre français de 1873 (section D, feuille 3, parcelle 438). A cette date, elle est équipée de deux roues motrices. La forge produisait des outils et du matériel agricole notamment des charrues. Elle était renommée dans la région. Le site reste exploité par la famille Vullien jusqu'à sa fermeture vers 1960. Actuellement une partie du bâtiment est occupée par un logement mais l'atelier de la forge est toujours en place.