Dossier d’œuvre architecture IA42003048 | Réalisé par
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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  • inventaire topographique
Demeure, dite château de Vaugirard
Œuvre repérée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Montbrison
  • Commune Champdieu
  • Lieu-dit Vaugirard
  • Cadastre 1809 B 923  ; 1999 ZH 4
  • Dénominations
    demeure
  • Appellations
    château
  • Parties constituantes non étudiées
    cour, pigeonnier, logement

Le château de Vaugirard est édifié dans le 2e quart du 17e siècle, peut-être dans les années 1630 (il est mentionné dans un acte de 1657) pour Jacques Girard (par convention pour distinguer les homonymes de la lignée : Jacques III), écuyer, sieur de Trécisses, Villette, Grandris, Châtelneuf et Vaugirard, conseiller et procureur du roi au bailliage de Forez, puis président du présidial de Montbrison en 1640 (il meurt en 1644). Il avait hérité de son père (Jacques II), marchand montbrisonnais anobli en 1609 (Salomon ; voir aussi IA42001623, Hôtel Girard puis Girard de Vaugirard, 7 rue Saint-Pierre à Montbrison, restructuré à la fin du 16e siècle), le "domaine des Évêques", acheté par son grand-père (Jacques I, ou le vieux) dans la paroisse de Champdieu (A. Privées Vaugirard ; voir aussi Sonyer du Lac), et sans doute rebaptisé Vaugirard à l´occasion de la construction. Les armoiries et initiales de Jacques III Girard, de ses épouses Antoinette Fortuné (morte en 1631) et Catherine Navergnon, de son fils Jacques IV et de son épouse Elizabeth ou Ysabeau Coquel (fille du premier lit de Catherine Navergnon) figurent à plusieurs endroits dans le décor du château, mais sont pour certaines des réfections ou créations du 19e siècle. Le château avait peut-être deux tours symétriques du côté nord, dont ne subsiste que la tour orientale : Salomon reproduit un dessin "dû au marquis de Lescure et exécuté en 1861, alors que Vaugirard existait en entier" où la tour est représentée, et le pan coupé dans l'angle nord-ouest de la chambre d'apparat, au 1er étage, peut être un vestige de son existence. Les dépendances agricoles (IA42003049) qui forment la basse-cour, à l´ouest du château, comportent peut-être des bâtiments d´une implantation préexistante. Le château reste dans la famille Girard jusqu´à la Révolution, puis passe à la famille de Lescure par mariage (en secondes noces) de Gabrielle Catherine de Vaugirard avec Jean-Charles-François, marquis de Lescure, en 1806 (Salomon). Gabrielle Catherine de Vaugirard vend la propriété de Vaugirard, constituée du château et de trois domaines attenants, en 1826, avant de racheter le château, avec sa grande allée, un des domaines et quelques terres (en tout, une soixantaine d'hectares) deux ans plus tard (Gerest). Après ce rachat, elle fait refaire l´ensemble des toitures et installer des appartements dans l´angle nord-est du château, à la place de "dépôts ou bûcher" (AD Loire, CHMS 94/5, "Etat sommaire des objets mobiliers...", pour la nouvelle distribution ; voir aussi mentions de travaux pour l'année 1837, CHMS 94/2 et 3, avec quittance du maître maçon montbrisonnais Pierre Pardonneau) : un grand salon octogonal et un cabinet, desservis par un vestibule, sont aménagés dans le pavillon d´angle, la pièce située dans la tour est dotée d´un papier peint à paysage (disparu ; actuellement : bibliothèque) et une chambre occupe la dernière travée du corps de logis ; l´étage au-dessus de ces pièces est divisé en trois chambres, avec une bibliothèque dans la tour (disparue ; actuellement : salle de bains). Des pièces d´habitation sont aménagées à l´étage de l´aile est, nécessitant le percement de fenêtres. La grande salle qui occupe la moitié ouest du 1er étage du corps de logis ans est alors en cours de travaux, sous la direction de Jean-Baptiste de Lescure, dit Valdec, fils aîné de la marquise de Lescure, qui fait refaire les fenêtres et le plancher, restaurer les peintures du plafond et peindre un décor mural (étudié, IM42002194). Le décor des encadrements de fenêtres, à bossage en pointe de diamant, le couronnement des portes d'entrée du corps de logis (avec l´oculus et sa fermeture de ferronnerie) ainsi que les bandeaux sur sa façade sud datent probablement de cette époque. L´inventaire de 1837 signale également des travaux menés dans la cour de la ferme, et la construction de contreforts pour épauler le château à l´ouest. Selon la matrice cadastrale, un bâtiment secondaire subit un incendie en 1871 : cet incident est peut-être à l´origine de la réfection en tuile du toit de l´aile ouest, entre les deux pavillons (Jeanson), et de la destruction de la tour occidentale (?). Après le décès de Jean-Baptiste de Lescure, le château est vendu par adjudication en 1878 : il comprend une "cave voûtée, au rez-de-chaussée, cuisine, lingerie, salle à manger, vestibule, escalier en pierre, grand salon, petit salon ; dans la tour, autre petit salon, deux chambres ; au 1er étage, salle de billard, grande salle d'honneur, corridor, escalier en pierres, sept chambres et une bibliothèque dans la tour ; au 2e, vaste greniers ; dans le pavillon d'est, au rez-de-chaussée remise, dépôts ; au 1er, magnanerie ; au 2e, greniers ; dans le pavillon au soir, écurie à chevaux, chambre de domestique ; au 1er, fenière" (21 décembre 1878. Vente par adjudication du Château de Vaugirard ; transcription par D. Jeanson). Le château est acheté en 1879 par Benoît Charvet, négociant en charbon et coques métallurgiques, et ancien maire de Saint-Étienne. Il met immédiatement la demeure en chantier : réfection du toit (la charpente garde la trace de l´existence d´un clocheton central sur le toit du corps central, doté par Charvet d´une crête ajourée), enduit, travaux de décor et modernisation, adjonction de l´escalier en vis dans l´aile ouest, terrasses bordées de balustres, par un "architecte lyonnais" (Révérend Du Mesnil). Son fils Henri Charvet, qui devient maire de Champdieu, fait bâtir la chapelle en 1897 (étudiée, IA42003049). Le château est actuellement le siège d´une exploitation agricole et d´un élevage de chevaux. Les toitures ont été restaurées en 1992 (A. CRMH).

Le château présente une plan régulier en U, avec un corps de logis entre cour et jardin (étudié, IA42003050), encadré de pavillons rectangulaires contre lesquels sont adossés les ailes latérales plus basses, terminées par des pavillons. Une tour de plan circulaire est greffée sur l´angle nord-est du pavillon nord-est. La cour est fermée au sud par un muret supportant une grille avec dans l´axe un portail monumental en bossage (porte en arc en plein-cintre, surmontée d´un fronton triangulaire supporté par des pilastres et interrompu par un piédestal armorié) avec une grille en fer forgé. Une terrasse bordée d´une balustrade précède le logis côté cour et côté jardin. Les bâtiments ont un étage carré (corps central : cave en sous-sol, à deux nefs voûtées en berceau segmentaire en brique, séparées par l´escalier d´accès, reliées par un couloir voûté d´arêtes ; étage de comble aménagé sous la charpente ; pavillons nord : étage de comble). Les élévations présentent des travées régulières (sauf l´élévation nord du pavillon est). Le corps central est traversé au rez-de-chaussée par un vestibule axial (portes et vantaux : étudiés, IM42002191), avec à l´ouest la salle, à l´est un escalier rampe sur rampe (colonne engagée à l´extrémité du mur d´échiffre) puis une chambre. Le pavillon oriental est occupé par un salon octogonal et un cabinet, desservis par un vestibule ; la tour, par une bibliothèque. L´aile orientale est divisée en trois pièces en enfilade (fonction en 1837, du nord au sud : bûcher, sellerie, cuvage) : la pièce centrale a une porte cochère vers la cour, couronnée des armoiries des Girard. La cuisine (grande cheminée à linteau bois sur colonnette doriques en granite, four à pain déplacé) se trouve dans le pavillon occidental, avec un vestibule d´accès à l´aile ouest, divisée en trois pièces, avec au milieu un passage couvert vers la cour de la ferme (fonction en 1837 : écurie au nord, nouvelle sellerie au sud). Les pavillons aux extrémités des ailes latérales ouvrent sur la cour par des portes cochères ; ils sont aménagés en écuries à chevaux (fonction en 1837 : remise à voiture à l´est, écurie et chambre de domestique à l´ouest). A l´étage, la moitié ouest du corps central est occupée par une grande salle, dite salle des Chevaliers (décor et cheminée étudiés, voir IM42002192 et IM42002193). Elle communique avec une chambre d´apparat, dans le pavillon ouest. Des chambres sont aménagées à l´est de l´escalier, dans le pavillon et l´aile orientaux (avec corridor de desserte), ainsi que dans l´aile ouest, avec un escalier en vis et un couloir dans la partie médiane. L´étage du pavillon ouest est un fenil. Un pigeonnier occupe le dernier niveau de la tour (trous creusés dans le pisé). Dans le grand comble au-dessus du corps central sont aménagées des chambres de domestiques. Les murs sont en pisé enduit (avec des chaînages en bossage en tables aux angles des pavillons ; trace de décor de briques rouges peintes visible au-dessous), avec des encadrements en granite (bossage en pointe de diamants, rustiqué aux angles) et en partie en briques. Les portes latérales sur la terrasse ont des encadrement en pierre Les toits sont à longs pans, avec des croupes sur le corps central (crête de toit visible sur les cartes postales du début du 20e siècle, disparue) et les pavillons jouxtant le corps de logis, des toits en pavillon avec clocheton sommital sur les pavillons à l´extrémité des ailes, un toit conique sur la tour. Les toitures sont couvertes en ardoise mécanique (partie refaite en tuile sur l´aile ouest). Le toit du corps central est percé d´une lucarne à fronton triangulaire, encadrée de deux oeils de boeuf, surmontés d´un second niveau d´ouverture (oeils de boeuf) sur chaque versant, reposant sur une corniche moulurée. Un logement de domestique (dit actuellement logement du jardinier) est adossé à l'ouest du pavillon sud-ouest, avec des accès côté jardin et côté basse-cour.

  • Murs
    • pisé
    • enduit
  • Toits
    tuile creuse, ardoise
  • Plans
    plan régulier en U
  • Étages
    sous-sol, 1 étage carré, comble à surcroît
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit conique
    • toit en pavillon
    • croupe
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour en maçonnerie
  • Techniques
    • ferronnerie
    • menuiserie
    • peinture
    • sculpture
  • Représentations
    • armoiries
    • rai de coeur
    • guirlande
    • chute
    • trophée
    • bouclier
    • arc
    • glaive
    • flèche
    • carquois
    • casque
    • médaillon
    • feuille
    • putto
    • mascaron
    • symbole militaire
    • symbole des saisons
  • Précision représentations

    Décor sculpté : - Portail de la cour : bossage en tables continues, pilastres, fronton triangulaires, motifs d´amortissement à volutes, écusson sculpté d´armoiries au centre du fronton (répétées des deux côtés du portail) : d´azur, à trois épis de blé d´or, au chef de gueules à trois roses d´argent (de Girard), surmonté d´un cimier entouré de plumes ; devise gravée côté extérieur : SPES ALTERAE VITAE. - Armoiries des Girard au-dessus de la porte médiane de l´aile est, côté cour. - Ensemble de six bas-reliefs (façade sud) : étudié, IM42002190. Décor en ferronnerie : - Grille du portail d'entrée, en fer forgé, estampé et découpé. Grille à deux vantaux, à barreaux droits accostés de volutes, frise de croisillons en bas, de cercles au milieu ; cartouches avec les initiales R et P (pour Robert Plantier, industriel à Annonay, propriétaire entre 1939 et 1949 ; Jeanson) dans la moitié supérieure. Inscription ajourée VAUGIRARD sur le linteau. Couronnement formé de volutes, feuilles et rosettes. - Grille des oculi au-dessus des portes du corps central : volutes, losanges, initiales CGI, pour Catherine et Jacques Girard. Décor intérieur : Au rez-de-chaussée : - Salle : cheminée à panneaux de bois sculptés, étudiée, IM42002196. - Chambre est : cheminée en marbre, décor en bas-relief sur la hotte : corbeille de fleurs attachées par un ruban dans un cadre ovale, carquois, torche et arc entrecroisés, chutes de fleurs, guirlandes, volutes. Dessus-de-porte peints en grisaille au-dessus de la porte d´entrée et de la porte du réduit sous l´escalier : l´Eté (une jeune femme couronnée de blé, tenant une serpe et une gerbe, accompagné de putti) et l´Automne (une jeune femme présentant une coupe, accompagné de putti tenant du raisin). - Salon octogonal : lambris de hauteur à pilastres cannelés supportant une corniche à denticules. Cheminée à manteau droit en marbre (gris et rose), décor en bas-relief sur le linteau (vases couverts, rameaux de laurier) sur la hotte : une glace surmontée d´une toile peinte (dans un jardin, une vieille femme munie d´une béquille, avec un putto tenant un masque de théâtre dissimulé dans sa jupe, s´adresse à une jeune femme assise, tenant un petit poignard recourbé). Parquet à panneaux de type Versailles. À l´étage : - Armoiries sculptées et peintes sur le pallier, au-dessus de la porte d´accès à la grande salle dite des Chevaliers : armoiries des Girard, surmontées d´un cimier et posées sur deux palmes entrecroisées, devise SPES ALTERAE VITAE (sans doutes mises en place vers 1837). - Grande salle dite des Chevaliers : sol en parquet à chevrons ; cheminée étudiée, IM42002193 ; peintures murales étudiées, IM42002192 ; plafond peint : voir annexe. - Chambre d'apparat : plancher à lames droites (en résineux) ; cheminée étudiée, IM42002194 ; plafond peint : voir annexe. - Chambre orientale du corps central (chambre d) : cheminée à manteau droit en marbre gris (rosaces), surmontée d´une glace et d´une toile peinte (concert dans un jardin, avec deux dames assises, une guitare, une partition, un jeune homme tenant un violon) - Chambre dans l´angle sud-est du pavillon oriental (chambre e) : cheminée à manteau droit, surmontée d´un trophée musical (en bas-relief, doré)

  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Protections
    classé MH, 1970/05/21
  • Référence MH

Hôtel Girard puis Girard de Vaugirard, 7 rue Saint-Pierre à Montbrison (IA42001623) PART : chapelle ; jardin ; ferme

Documents d'archives

  • AD Loire. Fonds Chaleyer, manuscrits : CHMS 94/2. 6 mai 1837. Lettre de Plasse, huissier royal à Montbrison, à Mme de Vaugirard. Pierre Menu, chauffournier à Sury-le-Comtal, réclame à Mme de Vaugirard 36 francs pour payement de trois voitures de chaux.

  • AD Loire. Fonds Chaleyer, manuscrits : CHMS 94/3. - [1837]. Mémoire des journées et dépenses faites par M. Delescure au sieur Dalicout Huber [sic]. [s.d]. Trois voitures de [bois pour] parquet conduites à Vaugirard ; une journée employée à lui conduire de la pierre ; payement de manœuvres ; payement de tuiles : sin san 25 [sic : 525] puis sin san 23 [423] puis quatre cent vin [420]. - 3 janvier 1837. Pierre Pardonneau aîné, maître maçon à Montbrison, réclame 323,75 F à Mme de Lescure, née Vaugirard, et à M. de Lescure, son fils, pour "ouvrages en journées réparations et construction de murs" à Vaugirard. Au verso, quittance du 9 janvier 1837 pour la somme de 311 F, de Pierre Pardonneau à Valdec de Lescure, pour travaux effectués à sa demande à Sury et Vaugirard.

  • AD Loire. Fonds Chaleyer, manuscrits : CHMS 94/5. Liasse Inventaire sommaire des objets mobiliers du château de Vaugirard commune de Champdieu : - [vers 1810 ?] Inventaire des objets mobiliers qui se trouvent dans les divers appartements de Vaugirard, avec une estimation approximative de chacun d´eux (cahier). - [1837]. Etat sommaire des objets mobiliers existants actuellement dans le château de Vaugirard situé en la commune de Champdieu appartenant à madame de Lescure née Vaugirard (cahier).

  • A CRMH Rhône-Alpes. Loire. Programme d'intervention. Château de Vaugirard : 1992, PAT (projet architectural et technique) pour la restauration des toitures ; 1996, PATpour l'assainissement des toitures ; 1997, réfection fenêtres et volets ; 2001, désouchage et plantations dans le parc suite à la tempête ; 2003, réfection balustrade côté sud sur cour d'honneur.

  • A Privées Vaugirard (Champdieu). Chartrier de Vaugirard, dépouillements de Denis Jeanson. Pièces utilisées : - 1593. La valeur des biens que Monsieur mon père [Jacques Girard le Vieux] a laissés lors de son trépas. (...) Le domaine des Evesques que mondit sieur et père y a acquis, sans comprandre 11.00 livres des héritages que j'y acquis (...) -1657. Etat sommaire de mes dettes et de mon valant au plus approchant. Du 27 mars 1657. (...) Ma terre, maison et chasteau de Vaugirard (...).

Bibliographie

  • GEREST, Henri. Ainsi coule le sang de la terre... Les hommes et la terre en Forez - XVIIIe-XXe siècles. Saint-Etienne : Université de Saint-Etienne, 2005

    p. 59-60, 146
  • JEANSON, Denis. Le château de Vaugirard. Accès Internet : <URL : http ://djeanson.free.fr).

  • SALOMON, Emile. Les châteaux historiques : manoirs, maisons fortes, gentilhommières, anciens fiefs du Forez et des enclaves du Lyonnais, du Beaujolais et du Macônnais qui ont formé le département de la Loire ; ill. par le Vicomte Gaston de Jourda de Vaux et Henry Gonnard. Réimpression de l'édition de Hennebont de 1916, 1922, 1926. Marseille : Laffitte, 1979. 3 Vol. (446-464-361 p.) : ill.; 30 cm

    T. I, p. 391-396
  • SONYER DU LAC, Jean-Baptiste. Les fiefs du Forez ; d'après le manuscrit inédit de M. Sonyer Du Lac, premier avocat du roi au siège domanial de Montbrison, ressort et comté de Forez, en 1788 ; avec notes, carte et une table raisonnée des noms de lieux et de personnes jointes audit recueil par M. P. d'Assier de Valenches,... Lyon : Impr. L. Perrin, 1858

Périodiques

  • REVEREND DU MESNIL, Clément-Edmond. Rapport sur l'excursion archéologique faite par la société de la Diana à Moingt, Champdieu, Chalain-d'Uzore et Montbrison, les 6 et 7 juillet 1879, Bulletin de la Diana, t. 1, n°6, 1880

    p. 238-239

Documents figurés

  • [Plan du 1er étage du château de Vaugirard] / [s.n.]. 1 dess. : encre, plume et lavis sur papier. [s.l., s.d. : limite 19e siècle 20e siècle ?]. Échelle 1:100 (?). (A Privées Vaugirard (Champdieu).

  • L'Allée du château de Vaugirard, près CHAMPDIEU. Edition D. Perroton, Montbrison / Perroton, D. (éditeur). 1 impr. photoméc. (carte postale) : N&B. 1er quart 20e siècle (Coll. Part. L. Tissier).

  • Château de VAUGIRARD, près Montbrison. Edition D. Perroton / Perroton, D. (éditeur). 1 impr. photoméc. (carte postale) : N&B. 1er quart 20e siècle (Coll. Part. L. Tissier).

Annexes

  • Annexe n°1
  • Annexe n°2
  • Plafonds peints de la salle dite des Chevaliers et de la chambre d'apparat
  • Annexe n°4
Date(s) d'enquête : 2004; Date(s) de rédaction : 2013
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Conseil général de la Loire
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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