Dossier d’œuvre architecture IA63002704 | Réalisé par
Fougère Félicie (Rédacteur)
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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  • inventaire topographique, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
  • opération d'urgence
Maison actuellement immeuble
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • © Collection particulière

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse 105 boulevard Lavoisier
  • Cadastre 2017 KM 280
  • Dénominations
    maison
  • Destinations
    immeuble
  • Parties constituantes non étudiées
    jardin

Elévation sur le boulevard. Au second plan à droite, on distingue l'irrégularité d'alignement des habitations bordant le boulevard Elévation sur le boulevard. Au second plan à droite, on distingue l'irrégularité d'alignement des habitations bordant le boulevard L’immeuble du 105 boulevard Lavoisier, édifié en 1913 ou 1914, compte parmi les premiers à avoir été construit le long de ce boulevard. Il est implanté au carrefour du boulevard et de la rue Paul Diomède. L'arrière de la parcelle est occupé par un vaste jardin visible depuis la rue Paul Diomède et la rue du Clos Notre-Dame. L’entrée de l’immeuble, percée dans le mur pignon oriental fait face aux ruines d’une cabane, dernier vestige de constructions qui furent nombreuses dans cette zone. Elle en est séparée par un chemin de dalles rejoignant le portail qui s’ouvre sur la rue du Clos Notre-Dame, chemin que l’on peut également qualifier d’ultime témoin de voies de communication pédestres à présent effacées.

L’édifice du 105 boulevard Lavoisier et son jardin arboré seront bientôt transformés en résidence. Ils constituaient la dernière trace du caractère agricole d'un ilot, jadis bien plus vaste, bordant le boulevard. Dessin de l'élévation principale de la résidence "L'Inspiration" (Maître d'ouvrage CG Immo et Pierre-Olivier Gaulat architecte)Dessin de l'élévation principale de la résidence "L'Inspiration" (Maître d'ouvrage CG Immo et Pierre-Olivier Gaulat architecte)

Le même phénomène interviendra d'ici peu pour les immeuble et jardins situés au n°64 et 66 du boulevard Lavoisier (IA63002761) ainsi qu'à l'angle de la rue Montaigne et du boulevard Lavoisier (IA63002759). 

I. Histoire d'un ilot

L'ouverture du boulevard Lavoisier débute en 1910 (l'approbation de la commission départementale date du 11 avril 1910). Il s'établit sur le tracée du chemin vicinal n°55 dit de la Croix du pavage et redresse la courbe qu'il forme entre le carrefour de l'actuelle rue Paul Diomède et le n°126 du boulevard, ce qui impliqua d'entamer la partie nord de la parcelle du n°105. A l'époque d'édification de la maison, en 1914, le boulevard s’interrompait à l’est de la parcelle voisine (n°101). La jonction avec le débouché de la rue Saint-Alyre ne sera effective qu’après 19201. Le boulevard formait donc un cul de sac dont on ne pouvait sortir qu'en empruntant le chemin vicinal n°80 (actuellement rue Paul Diomède). La maison du n°105 s'ajoutait au deux autres édifices bordant ce carrefour inachevé (le n°101 du boulevard Lavoisier et le n°22 de la rue Paul Diomède, demande de construction en 1912). Vue du carrefour des boulevards Lavoisier et de la rue Paul Diomède depuis la parcelle du n°105 boulevard Lavoisier. Les trois édifices du croisement avant la Première Guerre mondiale: à gauche, l'élévation postérieure du n°105 boulevard Lavoisier, au second plan au centre, la façade de couleur jaune du n°22 rue Paul Diomède, à droite l'élévation postérieure du n°101 boulevard Lavoisier.Vue du carrefour des boulevards Lavoisier et de la rue Paul Diomède depuis la parcelle du n°105 boulevard Lavoisier. Les trois édifices du croisement avant la Première Guerre mondiale: à gauche, l'élévation postérieure du n°105 boulevard Lavoisier, au second plan au centre, la façade de couleur jaune du n°22 rue Paul Diomède, à droite l'élévation postérieure du n°101 boulevard Lavoisier.

Le caractère peu urbanisé du secteur prévaut également à l'ouest: jusqu’à l’usine Bergougnan, au carrefour de la rue Fontgiève, ne se trouvait qu’une maison comprenant un café en rez-de-chaussée (n°133 du boulevard Lavoisier, date de demande en 1908, édifice remanié) et une habitation avec commerce à l’angle du boulevard et de la rue Fontgiève (date de demande 1909, édifice détruit). Dans ce secteur ouest, la villa Bergougnan (actuelle Chambre de commerce et d'industrie) était en cours de construction (date de demande 1913).

Le vaste ilot à l'extrémité duquel se trouvait le n°105 était occupé par des jardins jusqu'à la fin des années 1970. En 1990, le prolongement de la rue du Clos-Notre-Dame isole les parcelles bordant le boulevard du reste de l'ilot qui au fil des années 1980 s'était urbanisé par comblement des espaces végétaux. Le jardin du n°105 était ainsi la dernière trace végétale de ce secteur. La figure IVR84_20226301408NUDA représente l'ilot en 1974: seul la rive du boulevard est construite, il n'est pas encore traversé par la voierie et son cœur est constitué de jardins. La figure suivante, IVR84_20226301407NUDA, nous montre l'ilot en 1985: la première portion de la rue du Clos-Notre-Dame commence à fractionner l'ilot. Le périmètre des jardins est réduit de moitié par l'implantation d'une résidence, d'un EHPAD et d'un supermarché. Enfin, sur la figure IVR84_20226301406NUDA, en 2000, nous atteignons au comblement actuel de l'ilot (si ce n'est la parcelle du n°48 de la rue du Clos-Notre-Dame, soulignée en pointillés verts, qui a été bâti depuis lors). L'ilot est découpé par le percement, au nord, de la rue du Clos-Notre-Dame et, au sud, par la rue Paul-Bresset.

II. Morphologie urbaine

Pignon d'alignement du n°105 boulevard LavoisierPignon d'alignement du n°105 boulevard LavoisierL'immeuble du 105 est implanté en devant de parcelle, à l'alignement de la voie et à l'aplomb du trottoir. L'immeuble mitoyen, construit postérieurement (1938) s'implante en retrait d'alignement, ce qui a pour effet de créer un pignon d'alignement d'une largeur de 2,50 mètres. Les retraits obliques des numéros 113 à 117 ainsi que l'espace libre attenant au bâti, produit par le jardin à l'est du 105, concourent à placer l'immeuble dans un contexte d'alignement irrégulier. La notice descriptive de la demande de permis de construire de la résidence "L'inspiration" souligne le caractère "hétérogène" de l'urbanisme de ce secteur, les volumes des tours Galaxie et de l'immeuble France-Telecom (respectivement placés à l'ouest après le carrefour avec la rue Fontgiève et à l'est après celui avec la rue Paul Diomède) formant des légitimations de hauteur d'élévation, sans pour autant prendre en considération le retrait d'alignement et l'absence de mitoyen, procédés de monumentalisation leur donnant un caractère spécifique dans le tissu urbain généralement de faible hauteur, qui les placent à distance de la voierie et des constructions préexistantes. Alignement irrégulier vu depuis l'angle du n°105 boulevard LavoisierAlignement irrégulier vu depuis l'angle du n°105 boulevard Lavoisier

Pour autant, le projet de construction intègre bien une observation du contexte. L'immeuble du n°105 est placé en vis-à-vis de la maison dite "villa Vigneron" (Valentin Vigneron architecte, 1937). Les deux édifices sont construits en devant de parcelle, leurs entrées sont reportés à l'est, ouvrant sur un jardin qui forme l'angle du carrefour avec la rue Paul Diomède. L'architecte du projet "L'Inspiration" a retenu cette option en soulignant la similitude formelle par l'adoption d'un renfoncement de la travée centrale de l'immeuble. L'effet est troublant, agissant comme un miroir déformant dans lequel le volume de la "villa Vigneron" est préservé tout en étant porté à une dimension emphatique (figure IVR84_20236300709NUCA sur laquelle on voit à gauche le dessin du projet et à droit la villa Vigneron, préfiguration du futur vis-à-vis et de l'inspiration formelle).

Il en résultera un dialogue qui sera moins de morphologie urbaine - les dimensions l'empêcheront sans doute, l'espace libre attenant créé par les deux jardins en vis-à-vis disparaitra - qu'une citation de nature architecturale placée en manifeste symétrie. Les deux autres angles des édifices à l'est du carrefour étant traité en angle droit, respectivement avec et sans retrait d'alignement, le croisement des voies conservera une forte rupture de rythme urbain.

III. Morphologie d'une habitation

L’immeuble occupe l’angle nord-ouest d’une parcelle trapézoïdale de bout d’îlot comprise entre le boulevard Lavoisier, la rue Paul Diomède et du Clos Notre-Dame. Le relief de la parcelle est caractérisé par le pendage du terrain se développant du boulevard Lavoisier à la rue du Clos Notre-Dame. Ce pendage influe sur l’architecture de l’immeuble : l'étage de soubassement sur le boulevard Lavoisier, aux ouvertures oblongues obturées par des plaques de tôle percées d’un motif floral, s’ouvre en rez-de-jardin dans l'élévation secondaire. L'implantation de la voierie commande aussi la morphologie du jardin qui s’inscrit en une dépression dont les limites sont fixées par les talus que forment les rues Paul Diomède, du Clos Notre-Dame (pourvu d'un mur anti-crue) et du boulevard Lavoisier. La rue Paul Diomède, à l’est, ainsi que la rue du Clos-Notre-Dame, au sud, longent le jardin sans qu’aucun bâtiment n’en masque la vue. Sa présence est renforcée par le fait qu’il se situe en contrebas des voies ; le piéton se trouve en surplomb ce qui renforce la possibilité de l’embrasser du regard tandis que l’habitant bénéficie de la protection du talus l’isolant des nuisances de la circulation automobile.

Vue intérieure, couloir et escalier, départ de la main courante suspendueVue intérieure, couloir et escalier, départ de la main courante suspendueL'immeuble, partitionné en trois appartements et combles aménagés, est composé d'un étage-carré alors que les plans d'origine indiquent une maison ne comptant que l'étage de soubassement et le rez-de-chaussée (figure IVR84_20236300703NUCA où l'on voit le plan du rez-de-chaussée projeté en 1913). Il est difficile de déterminer si des libertés ont été prises lors de l'édification ou si une surélévation est intervenue par la suite. L'escalier droit entre-murs menant au rez-de-chaussée s'établit en perpendiculaire du mur pignon. Il débouche sur un couloir menant, à main gauche, à la porte fenêtre s'ouvrant sur le balcon régnant côté jardin. Les escaliers du premier étage et des combles aménagés adoptent alors une orientation en parallèle du mur pignon. Le changement d'orientation de l'escalier, le départ de la main courante suspendue et le raccord des marches sur le couloir menant à l'escalier des combles dont le matériau de construction change (en bois et non plus en pierre) soulignent une distinction entre les deux niveaux représentés sur les plans d'origine et les niveaux supérieurs. L'homogénéité de l'élévation principale traitée en symétrie sans liaison ou limitation des niveaux autre que l'encadrement d'une moulure d'angle et des corniches de l'avant-toit et du niveau de soubassement, ainsi que le décor d'encadrement des baies (chambranles des trois ouvertures à crossettes supérieures ornées de gouttes, appuis supportés par des consoles à triglyphes) plaident pour une édification d'un seul tenant. On peut inférer une modification de la destination du bâtiment par l'installation de cabinets d'aisance à l'extrémité des deux balcons régnant sur l'élévation postérieure. Le cabinet d'aisance était à l'origine installé dans un cabanon jouxtant la cabane de jardin comme en atteste un croquis joint au dossier de demande de raccordement à l'égout datant de 1936. On peut donc imaginer que la partition en appartements intervient après cette date. Si la transformation de la maison en immeuble avait conduit à la surélever, il paraît cependant peut envisageable qu'on ait usé du style d'encadrement des baies peu compatible avec les goûts du deuxième quart du XXe siècle. Il est probable que si décalage temporel il y eut, il fut de courte durée et que l'étage supplémentaire ait été réalisé dans la foulée. On peut d'ailleurs noter que les balcons sur le jardin reprennent le procédé de fabrication du plafond de l'étage de soubassement (solives métalliques à entrevous en berceaux segmentaires). Les plans d'origine, signés du propriétaire, sont modestes tant dans leur forme (pas d'élévation figurée et un fruste schématisme) que dans le projet qu'ils figurent: un étage de soubassement comprenant des remises, un rez-de-chaussée composé de quatre pièces distribuées par un couloir central: d'une part une salle à manger (avec cheminée, lambris d'appui au rez-de-chaussée et moulure au premier) et une chambre ouvrant sur le jardin et d'autre part une cuisine et une chambre (avec cheminée) sur la façade. La seule pièce de réception, à savoir la salle à manger, ouvre sur le jardin tandis que la cuisine est orientée vers le boulevard. On peut y voir une volonté de profiter davantage de l'espace arboré que du boulevard. Ainsi, planifié à l'origine comme une sorte de maison de jardin dans la tradition des "tonnes" clermontoises, cette maison acquiert un volume plus ambitieux qui permet, à terme, de la transformer en immeuble tout en préservant le jardin. Le caractère exiguë et modeste des appartements, la proximité bruyante du boulevard Lavoisier et l'absence de garage automobile ont sans doute joué dans la désaffection de cet immeuble ayant conduit à la vente du terrain. Schéma de raccordement à l'égoutSchéma de raccordement à l'égout

1Voir Plan d'alignement du boulevard nord, détail carrefour de la rue Paul Diomède, dans les illustrations de ce dossier

L'emprise de la parcelle actuelle résulte de la fusion des parcelles 448 et 447, section Q, du cadastre de1831. Les parcelles sont indiquées comme étant des jardins. Le tracé du boulevard Lavoisier s'établit au nord de ces parcelles. Le jugement d'expropriation est rendu en Juin 1913. La demande d'alignement pour le projet de construction est déposée par le propriétaire, M. Valleix Fromage (jardinier), en octobre 1913. Il reçoit l'autorisation de construire en février 1914. Le branchement à l'égout public est effectué en 1936, alors que la maison appartenait à M. Martin, capitaine d'infanterie légère à Gabès en Tunisie. La maison est transformée, à une date indéterminée, en immeuble comprenant trois appartements et des combles aménagés. En 2019, un permis de construire d'une résidence de 35 logements (dont 17 logements sociaux) et de bureaux est déposé par CG Immo (atelier d'architecture Pierre-Olivier Gaulat). La destruction du jardin intervient en été 2023.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle
  • Dates
    • 1914, daté par source

Le devant de la parcelle KM280 est à l'alignement du boulevard. Son angle, situé au débouché de la rue Paul Diomède, est traité en un pan coupé rendu peu perceptible par le caractère trapézoïdal de la parcelle.

L'immeuble est édifié à l'aplomb du trottoir et possède un jardin latéral et arrière ouvrant sur le boulevard par un portail aux piliers en pierre de Volvic. L'architecte des bâtiments préconise de le déposer et le conserver pour une opération ultérieure (de façon générale tous les éléments en pierre de Volvic doivent être conservés et remployés: marches d'escaliers, banc, dallage). Une héberge provient de la différence d'alignement avec le mitoyen droit. Un espace libre attenant sans rupture de front de rue grâce à la continuité du mur de clôture du jardin occupe le flan gauche. Ces deux éléments placent l'édifice dans un contexte urbain à alignement irrégulier.

L'immeuble est un simple rectangle sans jeu de volume. L'élévation sur le boulevard est encadrée par la corniche du niveau de soubassement, les moulures d'angle et l'entablement de l'avant-toit. Les ouvertures y sont disposées de façon symétrique et répètent le même décor d'encadrement. Tous les angles (bâtiment, baies, balcon) sont droits à l'exception de la corniche du niveau de soubassement. L'architecture du bâtiment est donc sobre et régulière sans pour autant être inélégante.

Bien que l'élévation principale soit sur le boulevard, la porte d'entrée, percée dans le pignon oriental, ouvre sur le jardin. Les panneaux supérieurs des vantaux de la porte en fonte d'ornement à motif floraux sont certainement d'origine. Ils correspondent à une production en série (visible également au n°37 de la rue du Port, Clermont-Ferrand ou au n°12 place des Sports à Randan) à motif de chardons et tiges en "coup de fouet", dont on peut trouver un modèle dans le catalogue 1914 de Ch. Schérer, Maître de Forges - Pont-sur-Saulx - Meuse. Les plans d'origine, dressés par le propriétaire, sont schématiques. Ils indiquent une cuisine et une chambre ouvrant sur le boulevard, réservant le séjour pour le côté jardin. L'immeuble est dès l'origine davantage tourné vers le jardin que vers le boulevard.

  • Murs
    • pierre moellon enduit
  • Toits
    tuile
  • Plans
    plan rectangulaire régulier
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, 1 étage de comble
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans pignon couvert
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier droit en charpente
    • escalier dans-oeuvre : escalier droit suspendu
  • Énergies
  • Typologies
    alignement irrégulier ; Composition indépendante ; Animation de l'élévation par symétrie ; Elévation à plan vertical avec balcon(s) en saillie ; Traitement des angles: droits ; Baies ornées ; Encadrement de façade ; Distribution intérieure double en profondeur
  • État de conservation
    menacé
  • Techniques

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand, série 1 O, boîte 235 à 242, n°241, Expropriations, Boulevard de ronde et avenue de la Poudrière, 1856-1919, Jugement d'expropriation, chemin de ronde, 24 avril 1913

    AC Clermont-Ferrand : 1O 235 à 1 O 242
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n° 881-13A, demande d'alignement maison 133 boulevard Lavoisier, 1908

    AC Clermont-Ferrand : O216 881-13A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n° 1288-13a, demande d'alignement maison angle Fontgiève et boulevard Lavoisier, 1909

    AC Clermont-Ferrand : O216 1288-13A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n° 132-14A, demande d'alignement immeuble n°22 rue Paul Diomède, 1912

    AC Clermont-Ferrand : O216 132-14A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n° 263-14A, demande d'alignement immeuble 101 boulevard Lavoisier, 1912

    AC Clermont-Ferrand : O216 263-14A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n° 687-14A, demande d'alignement maison 105 boulevard Lavoisier, 1913

    AC Clermont-Ferrand : O216 687-14A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°701-14A, demande d'alignement maison, 148 boulevard Lavoisier, 1913

    AC Clermont-Ferrand : O216 701-14A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n° 420-24A, demande d'alignement maison 110 boulevard Lavoisier, 1937

    AC Clermont-Ferrand : O216 420-24A
  • AC Clermont-Ferrand, série W, N°63113 19 GO194, Permis de construire résidence L'Inspiration, 105 boulevard Lavoisier, GC IMMO, 2020

    AC Clermont-Ferrand : PC 63113 19 GO194

Bibliographie

  • Catalogue Ch. Schérer, Maître de Forges - Pont-sur-Saulx - Meuse, 1914, Album n°4 des panneaux et impostes pour porte, planches 354, 361, 371 et 375

Documents figurés

  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n° 687-14A, plans du niveau de soubassement et du rez-de-chaussée. Ech: 0,002 m/m, bleu d'architecte (cyanotypie).

    AC Clermont-Ferrand : O216 687-14A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°114-24A, schéma de branchement à l'égout public, Demande de branchement particulier à l'égout public, capitaine Martin, 105 boulevard Lavoisier, 1936. Encore sur papier.

    AC Clermont-Ferrand : O216 114-24A
Date(s) d'enquête : 2021; Date(s) de rédaction : 2022
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Fougère Félicie
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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