Dossier d’œuvre architecture IA63002761 | Réalisé par
Fougère Félicie (Rédacteur)
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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  • opération d'urgence, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
maisons
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse 64 boulevard Lavoisier , 66 boulevard Lavoisier
  • Cadastre 2022 LN 96  ; 2022 LN 498
  • Dénominations
    maison
  • Parties constituantes non étudiées
    jardin d'agrément

Les parcelles de la rive nord du boulevard Lavoisier comprises entre les carrefours des rues de Montjuzet, à l'est, et Ernest-Picard, à l'ouest, présentent une forte inclinaison nord-sud, propice à l'implantation de la vigne. Dans ce secteur la subdivision parcellaire s'opère selon cet axe nord-sud par découpage de lanières comprises entre le boulevard et une impasse de desserte privée. Le bâti s'établit tout d'abord selon un axe oblique par rapport au boulevard. La rive nord du Boulevard est soit fermée par des clôtures à porte piétonne sans couvrement soit par des rez-de-chaussée (garages ou commerces) parfois surmontés d'un étage qui s'établissent dans les années 1930. D'étroits escaliers permettent l'accès aux maisons d'habitation.Escalier étroit partant du boulevard et menant au corps d'habitationEscalier étroit partant du boulevard et menant au corps d'habitation

La construction d'une résidence sur l'emprise des parcelles LN96 et 498 entraînera, comme pour le n°105 boulevard Lavoisier (IA63002704), la disparition de vastes jardins. Le phénomène de modification de morphologie urbaine par substitution du bâti d'origine mise en évidence au n°8 rue Montaigne (IA63002759) est d'autant plus valable pour les n°64 et 66 du boulevard Lavoisier. Enfin, le système de collocation1 s'en trouve transformé.Elévation du n°64 sur le boulevard LavoisierElévation du n°64 sur le boulevard Lavoisier

I. Modification d'implantation de l'habitat

Jusqu'au début des années 1930, le bâti s'implante selon un axe oblique qui, du n°62 au n°72, s'éloigne de la rive du boulevard au point d'être positionné en travers de parcelles, à mi-pente (figure IVR84_20236300863NUC4A, où l'on voit les élévations principales des n°70 (détruit) et 72 en surplomb du boulevard) . De premiers bâtiments annexes, des garages, sont construits à l'alignement de l'axe du boulevard (figure IVR84_20236300825NUDA). Entre les années 1930 et les années 2000, des habitations s'établissent en retrait d'alignement, poursuivant la ligne de bâti des années 1920 (au n°62 bis, parcelle LN 93 en 1958, R. Vialon, architecte ; au n°74, parcelle LN 101, en 1935, André Verdier architecte). Une double ligne de construction s'affirme par l'implantation de garages en devant de parcelles, dont celui du n°68 surmonté d'un niveau d'habitation (parcelle LN99, 1930, Jean Guillot architecte, voir figure IVR84_20236300834NUC4A). Ainsi se constitue un alignement régulier par ajout d'éléments sur la rive du boulevard (figure IVR84_20236300826NUCA et figure IVR84_20236300854NUC4A, photographie aérienne avant 2007). La tendance à l'alignement sur le boulevard s'accentue entre 2007 et nos jours par la construction de résidences aux n° 68-70 et aux N°74-76 (les bâtiment A de ces deux projets s'élèvent en devant de parcelle). Le projet actuel qui verra la substitution des maisons des n°64 et 66 fera de l'alignement régulier la nouvelle norme (figure IVR84_20236300827NUDA). La notice descriptive du permis de construire insiste d'ailleurs sur la préservation d'un "axe végétal Est-Ouest dans la continuité d'une trame verte déjà existante qui traverse le cœur d'ilot", existence qui, en fait, n'est jamais que le résultat de l'urbanisme par comblement remontant à une petite dizaine d'années.

II. Modification de l'homogénéité urbaine

Les premières constructions sont édifiées dans les années 1920 (n°72, Guillaume Maschat architecte; n°70, Channeboux architecte; n°66, Charbonneaux architecte; n°64, Guillaume Maschat architecte; n°62, 1929 Lanquette architecte). Elles forment une ligne discontinue surplombant le boulevard et si on ne peut les dire en stricte collocation, elles partagent des traits communs en terme d'enveloppe, de gabarit et d'échelle. En 1958, l'édification de l'immeuble du n°62 bis (M. Vialon architecte), occupant l'interstice entre le n°62 et le n°64 ne modifie pas le type d'alignement: retrait opérant une liaison entre ses deux mitoyens préexistants suivant la préconisation du permis de construire spécifiant qu'il "devra se trouver à un mètre quatre vingt dix en retrait de l'alignement contigu est", ce qui indique l'intention de s'inscrire dans l'oblique du retrait. Il renforce la collocation de la séquence édifiée entre le n°62 et le n°66 (pas de rupture d'échelle dans l'enveloppe des bâtiments, régularité de la hauteur des niveaux et du nombre des travées, traitement en volume de l'élévation principale et animation spécifique du dernier niveau, voir la figure IVR84_20236300824NUCA, à droite se trouve le n°62, à gauche le n°64, le n°62bis au centre cale ses niveaux par rapport à son mitoyen droit). Dans les années 1930, les bâtiments du n°68 et n°74 introduisent une variation: le premier en bord de rive, le second en avancée du retrait des maisons des années 1920 ; tous deux d'un étage sur niveau de soubassement. Ils agissent, au sein de la séquence étudiée, comme des ponctuations.

Les résidences construites à partir de 2007 rompent les mitoyennetés: les bâtiments A du n°68 -70 et du n°74 sont en avant des maisons des n°66 et 72, les bâtiments B en retrait de ces deux maisons (figure IVR84_20236300828NUC4A où l'on voit la maison du n°72 entre les deux immeubles des n°74 et 76). Il en résulte des élévations aveugles d'autant plus perceptibles que ces bâtiments sont en rupture d'échelle par rapport aux constructions des années 1920. Elévation aveugle et pignon du n°74 vus depuis le boulevard LavoisierElévation aveugle et pignon du n°74 vus depuis le boulevard Lavoisier Ils perfectionnent l'alignement régulier à l'aplomb du trottoir. Cependant, le n°74 (2013) introduit une variante d'orientation, son élévation principale est exposée à l'ouest2, sur une allée de desserte élargissant une rupture du bâti de rive. Le pignon présenté sur le boulevard revêt un aspect austère tandis que son élévation postérieure, visible depuis la voie, est seulement percée de jours de souffrance. Ces édifices concourent à une morphologie urbaine très peu homogène. Ces résidences se substituent aux constructions des années 1930. Par conséquent, elles oblitèrent l'effet de ponctuation pour le remplacer par des cassures de rythme. Elévation sur le boulevard Lavoisier, n°68-70Elévation sur le boulevard Lavoisier, n°68-70

Le projet de construction aux n°64 et 66 comprend deux bâtiments totalisant 40 logements dont huit sociaux ainsi que 33 places de stationnement couvert en rez-de-chaussée sur le boulevard et sous-sol en milieu de parcelle. Il reprend le dispositif d'implantation des bâtiments du n°68-70 et le modèle également adopté par le n°74-76 d'un rez-de-chaussée composé de larges trumeaux s'intercalant entre des entrées de locaux techniques et des passages pour les voitures. Préfiguration de l'élévation sur le boulevard n°64 et 66. Phénomène de rez-de-chaussée aveugles.Préfiguration de l'élévation sur le boulevard n°64 et 66. Phénomène de rez-de-chaussée aveugles.Ainsi, les rez-de-chaussée donnant sur le boulevard forment une muraille opaque. Le modèle des pièces de réception, salon et salle à manger, ouvrant sur un jardin surplombant la voie disparaît presque totalement (le n°72 résiste encore).

III. Evolution de la perception architecturale

Reconduction, bâtiment au n°74 bd Lavoisier en 2007, le même en 2023Reconduction, bâtiment au n°74 bd Lavoisier en 2007, le même en 2023Essayons de reconstituer ce qu'un piéton du début des années 2010, pouvait percevoir de cette séquence en rive nord du boulevard Lavoisier. Il devait constater l'austérité des garages semi-enterrés et des murs talutant les jardins en contre-haut. Ici, nous pensons plus spécifiquement au bâtiment édifié par l'architecte Jean Guillot: si les plans offrent la claire régularité et l'équilibre des volumes qui prévalent dans les années 1930 (voir figure IVR84_20236300833NUCA), le béton vieillit que montrent les vues d'état des lieux du dossier de démolition fait de cette façade un objet quelque peu désagréable au regard. Reconduction, bâtiment au n°68 bd Lavoisier en 2007, le même en 2023Reconduction, bâtiment au n°68 bd Lavoisier en 2007, le même en 2023À travers les grilles de ferronnerie encadrées de piliers à l'architecture soignée fermant l'accès à d'étroits escaliers, notre piéton sentait que la scène se déployait là haut. Le théâtre de la ville était implicite. Levant les yeux, il apercevait les sommets d'arbres et de façades à toits brisés, lucarnes-pignons ou niveaux de combles à décor de pans de bois. La substitution de ce dispositif par les résidences entraîne la disparition de l'implicite. Les élévations se dressent à l'alignement de la chaussée, oblitérant la pente et ne laissant rien deviner de l'arrière-plan. On imagine, à raison, que le dispositif postérieur n'est que répétition de ce qui est déjà dévoilé. Superposition de deux vues arrière des n°68 et 70 bd Lavoisier, état des lieux et projet en 2007Superposition de deux vues arrière des n°68 et 70 bd Lavoisier, état des lieux et projet en 2007

1Création architecturale prenant en compte l'enveloppe, le gabarit, l'alignement des bâtiments voisins préexistants. Référence: Gauthiez, Vocabulaire de l'espace urbain2La notice d'insertion du permis de construire est à cet égard très claire: "compte-tenu de l'étroitesse de la parcelle et de l'impact acoustique du boulevard Lavoisier, ce dispositif permet de trouver des façades, pour la plupart mono-orientées côté ouest et de minimiser les incidences acoustiques du boulevard."

Les actuelles parcelles LN96 et LN498 étaient comprises dans l'emprise de la vaste parcelle, plantée en vigne, n°312, section Q (2ième feuille). La cession de la frange méridionale pour l'ouverture du boulevard Lavoisier intervient en 1913. Les deux demeures sont édifiées à partir de 1924, sur les plans des architectes Guillaume Maschat pour le n°64 et Charbonneaux pour le n°66. Ces constructions en retrait d'alignement ne sont pas impactées par les prescriptions du conducteur-voyer. Dans les années 1930, des demandes de permis de construire de garages à l'alignement du boulevard attestent du processus d'ajout d'éléments bâtis concourant à la formation d'une ligne d'édification continue.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1924, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Maschat Guillaume
      Maschat Guillaume

      Architecte, Clermont-Ferrand. Auteur de la villa 38 bis avenue de la république, vers 1900, de l'immeuble du 17 cours Sablon en 1913. Sur les boulevards, ses réalisations sont plus modestes. En 1922, maison du n°72 boulevard Lavoisier enserrée par deux résidence des années 2010. En 1924, maison du n°64 du boulevard Lavoisier qui est, en 2023, promise à démolition et sera remplacée par une résidence.

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Charbonneaux
      Charbonneaux

      Installé rue du Onze-Novembre, à Clermont-Ferrand, dans les années 1920, il est l'auteur des plans de la maison du n°66 boulevard Lavoisier. Un permis de construire déposé en 2022 prévoit de détruire la maison pour la remplacer par une résidence.

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      architecte attribution par source

Les actuelles parcelles LN 96 et 498 sont deux lanières mitoyennes orientées nord-sud, toutes deux pourvues d'un jardin sur le devant et en fond de parcelles. Les corps de bâtiment d'habitation s'établissent en milieu de parcelles au sommet de la pente abrupte qui descend, au sud, vers le boulevard. Des bâtiment annexes (deux garages) occupent la partie ouest de la rive du boulevard tandis qu'à l'est un jardin couronne un mur de terrassement. Les entrées piétonnes sans couvrement ouvrent sur d'étroits escaliers d'accès au corps de bâtiment principal. Le n°64 est en retrait oblique accoté à son mitoyen oriental, le n°66 conserve le retrait oblique mais n'a pas de mitoyen, d'où la présence d'une élévation aveugle à l'ouest invisible depuis la voierie. Les bâtiments sont placés en contexte urbain de type retrait d’alignement irrégulier, forme qu'avait la première ligne de bâti riverain dans ce secteur. Il faut noter cependant que les éléments bâtis en ajout du corps de bâtiment principal (garages, mur de soutènement) rattrapent l'alignement et produisent un effet de linéarité le long de la rive du boulevard. La forme urbaine s'établit ainsi en alignement régulier par éléments en rajout.

Bien que non mitoyens, les deux bâtiments, édifiés par des architectes différents mais à la même période (plans datés de 1924) participent du même esprit. Leur enveloppe est similaire (deux travées, un étage-carré et des combles aménagés). Ils sont placés sur une même ligne de retrait d'alignement oblique. Si le jeu de volume des élévations principales, orientées vers le boulevard, n'est pas exactement semblable, on retrouve l'effet de retour de pignon produit par l'avancée d'une travée couronnée d'une lucarne-pignon et l'animation du niveau de combles, par pans de bois feints et placage de moellons à têtes dressées. La facture plus moderne que confère au n°66 le bow-window, introduisant un jeu de volume par ses pans coupés, n'empêche pas que l'on puisse considérer ces deux bâtiments comme entretenant une relation de collocation. Les saillies des deux élévations principales sur le boulevard mettent en valeur des pièces de réception au rez-de-chaussée et des chambres à l'étage. La présence d'une salle de bain dans chacune des deux maisons les placent dans la catégorie des habitats dotés d'un confort certain.

  • Murs
    • pierre moellon crépi
  • Toits
    tuile
  • Plans
    plan rectangulaire régulier
  • Étages
    1 étage carré, 1 étage de comble
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans pignon couvert
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier droit
  • Typologies
    Alignement régulier par élément en rajout ; Collocation ; Animation de l'élévation par jeu de volume ; Elévation à avant-corps ; Traitement des angles: présence de pans coupés ; Baies ornées ; Encadrement de façade ; Niveaux liés ; Distribution intérieure double avec couloir ; Distribution intérieure double en profondeur ; Rez-de-chaussée à baies
  • État de conservation
    menacé

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand, série 1 O 141, n°1 057, Acquisitions Actes administratifs, Alignement boulevard de ronde, vente à la ville, Mme Bayle, veuve Faure, 1913

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 141
  • AC Clermont-Ferrand, série 1 O 140, n°1 089, Acquisitions Actes administratifs, Alignement boulevard de ronde, vente à la ville, M. et Mme Valleix Lacourbes, 1913

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 140
  • AC Clermont-Ferrand, série 1 O, boîte 235 à 242, n°241, Expropriations, Boulevard de ronde et avenue de la Poudrière, 1856-1919, Jugement d'expropriation, chemin de ronde, 24 avril 1913

    AC Clermont-Ferrand : 1O 235 à 1 O 242
  • AC Clermont-Ferrand, série O 216, dossier n°1409 15A, demande d'alignement, n°72 boulevard Lavoisier, 1922

    AC Clermont-Ferrand : O 216 - 1409 15A
  • AC Clermont-Ferrand, série O 216, dossier n°986 16A, demande d'alignement, n°70 boulevard Lavoisier, 1924

    AC Clermont-Ferrand : O 216 - 986 16A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n° 846 -19A, demande d'alignement 62 bd Lavoisier, 1929

    AC Clermont-Ferrand : O216 846 -19A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°631-21A, demande d'alignement maison 68 boulevard Lavoisier, 1932

    AC Clermont-Ferrand : O216 631-21A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°804 23A, demande d'alignement maison 74 boulevard Lavoisier, 1935

    AC Clermont-Ferrand : O216 - 804 23A
  • AC Clermont-Ferrand, PC 3542, 62 bis bd Lavoisier, 1958

    AC Clermont-Ferrand : PC 3542
  • AC Clermont-Ferrand, PC 63113 22 G0206, 64-66 bis bd Lavoisier, 2022

    AC Clermont-Ferrand : PC 63113 22 G0206

Documents figurés

  • AC Clermont-Ferrand, série O 216, dossier n°1061 16A, plans annexés à la demande d'alignement, n°66 boulevard Lavoisier, 1924

    AC Clermont-Ferrand : O 216 - 1061 16A
  • AC Clermont-Ferrand, série O 216, dossier n°1646 16A, plans annexés à la demande d'alignement, n°64 boulevard Lavoisier, 1924. Ech: 0,02 m/m, bleu d'architecte (cyanotypie)

    AC Clermont-Ferrand : O 216 - 1646 16A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°631-21A, plans 68 boulevard Lavoisier, 1932. Ech: 0,05 cm / m

    AC Clermont-Ferrand : O216 631-21A
  • AC Clermont-Ferrand, PC 3542, coupe 62 bis bd Lavoisier, 1958. Tirage sur papier

    AC Clermont-Ferrand : PC 3542
  • AC Clermont-Ferrand, PC PC 63113 12 G0044, plan et photo d'état des lieux, 74-76 boulevard Lavoisier, 2013

    AC Clermont-Ferrand : PC 63113 12 G0044
  • AC Clermont-Ferrand, PC 63113 07 G0031, dossier de démolition, photo d'état des lieux, 68-70 boulevard Lavoisier, 2007

    AC Clermont-Ferrand : PC 63113 07 G0031
  • AC Clermont-Ferrand, PC 63113 07 G0134, 68-70 boulevard Lavoisier, 2013

    AC Clermont-Ferrand : PC 63113 07 G0134
  • AC Clermont-Ferrand, PC 63113 22 G0206, ensemble de plan et d'images de préfiguration, 64-66 bis bd Lavoisier, 2022

    AC Clermont-Ferrand : PC 63113 22 G0206
Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2023
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Fougère Félicie
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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