Dossier d’œuvre architecture IA63002778 | Réalisé par
Fougère Félicie (Contributeur)
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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  • inventaire topographique, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
Maison, puis immeuble de la Mutualité, puis immeuble de la Caisse régionale de la Sécurité Sociale, actuellement résidence "Les terrasses d'Italie"
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse 50 avenue d' Italie , 29 avenue Albert-et-Elisabeth
  • Cadastre 2022 HV 82
  • Dénominations
    maison
  • Appellations
    Résidence "Les terrasses d'Italie"
  • Destinations
    édifice de l'administration ou de la vie publique, immeuble

Un exemple de superposition

L'immeuble de la caisse régionale de sécurité sociale du Puy-de-Dôme (dont la forme est restée la même après sa transformation en résidence par l'Office Public de l'Habitat et de l'Immobilier Social (Ophis) à la fin des années 2010) est un exemple de transformation radicale d'un bâti préexistant, sans pour autant le raser et reconstruire à neuf. En effet, il s'agit là d'une superposition1 et non d'une substitution2 de bâti. La villa d'origine est graduellement absorbée par les extensions au point de disparaître presque complètement.

Construite en 1897 par l'architecte Sauzet, la maison est contemporaine de l'achèvement de l'ouverture de l'avenue (de la place dite de l'Esplanade jusqu'au carrefour des Jacobins). Son alignement est commandé par la ligne des façades de son mitoyen nord (la maison Miolane, actuel n°46 avenue d'Italie) et, au sud, de la maison dite Dubrouillet, actuel n°62 avenue d'Italie. Sa propre façade sert de repère d'alignement au n°58 et au n°60 (voir figure IVR84_20236301184NUDA sur laquelle sont figurés les édifices servant de repères, en violet et mauve, et les édifices construits en fonction des repères). Elle n'est pour autant pas implantée en devant de parcelle et suit un recul oblique par rapport à l'avenue d'Italie (voir figure IVR84_20246300321NUDA, l'emprise en vert représente l'implantation de la maison d'origine). L'entrée était orientée vers l'avenue Albert-et-Elisabeth (voir figure IVR84_20246300073NUCA) tandis que l'élévation principale l'était vers l'avenue d'Italie (voir figure IVR84_20246300074NUCA). Le corps de bâtiment central en saillie, couvert d'un toit en pavillon, adoptait une forme de tour, forme encore visible sur la photographie aérienne de 1953, après l'édification de la première extension de la fin des années 1930, dont les plans sont signés par Jean Bosser (voir figure IVR84_20246300224X sur laquelle la tour forme angle aux avenues et figure IVR84_20246300321NUDA, l'emprise en rose représente l'implantation de l'extension de 1939). La comparaison du plan du rez-de-chaussée de la maison d'habitation et de celui de l'immeuble administratif permet de voir comment la transformation respecte la distribution d'origine en ne faisant qu'étendre l'emprise du bâtiment (voir figure IVR84_20246300076NUCA et IVR84_20246300068NUCA, l'avenue d'Italie est dénommée avenue de l'Esplanade et l'avenue Albert-et-Elisabeth est dénommée avenue de la gare) : l'entrée s'ouvrant à main droite en haut du perron n'est pas modifiée, les trois pièces de réception orientées vers l'avenue d'Italie sont transformées en salles de réunion et bureau; sur l'arrière, la cage d'escalier persiste, l'office et le cabinet de toilette ont été transformés en guichet et cabinet médical ; à gauche sur le plan d'extension se place les locaux dont la façade habillée de briques se trouve sur l'avenue d'Italie).

En 1956, un remodelage de l'immeuble intervient (Jean Bosser, architecte) qui ne procède plus par extension mais par englobement des éléments existants : surélévation des étages, ajouts de travées en raccord et remaniement de la toiture faisant disparaître pratiquement tout vestiges de la maison d'origine (voir figure IVR84_20246300225X et figure IVR84_20246300321NUDA, l'emprise en rouge représente l'implantation de l'extension intervenant entre 1953 et 1956). La façade se développe à présent le long de l'avenue d'Italie par un système de redan (voir figure IVR84_20246300070NUCA, façade actuelle).

De la maison d'origine, il ne reste que l'habillage en opus incertum de moellons à têtes dressées, en pierre volcanique à joint marqué, du rez-de-chaussée (IVR84_20246300039NUCA), ouvert par une baie jumelée en élévation méridionale (dont l'arc en brique a disparu) et en façade (où l'encadrement d'origine persiste). On note également la persistance de l'assise de la chaine à l'angle sud-est (sous le porche). Enfin, la baie de la travée sud ouvrant à l'origine sur l'avenue d'Italie, à présent incluse dans l'extension du hall d'entrée, est encore intacte.

Incidences sur l'alignement du bâti de front d'îlot

Que l'on considère le premier état de cet édifice, une maison de particulier entourée d'un jardin construite en 1897, ou que l'on prenne en compte sa première transformation en immeuble d'administration, en 1939, il s'inscrit dans une séquence d'édification linéaire (voir figure IVR84_20246300119NUDA  séquence en bleu en haut à gauche, et définition de ce phénomène dans l'annexe grille typologique du dossier de présentation de l'opération d'inventaire des boulevards de ceinture de Clermont-Ferrand). Pour autant, les transformations du bâti donnent un caractère hétérogène à cette séquence : en 1909, la surélévation de l'immeuble de connexion à l'angle du carrefour avec l'avenue Charras (n°44) crée le mur d'héberge visible à droite du n°46 ; le même phénomène se reproduit au cours de la première moitié des années 1950 lors de la surélévation de l'immeuble de la maison de la mutualité construite en 1939 à gauche du n°46. Ce dernier, dont l'enveloppe est d'un étage se trouve accoté à deux immeubles de trois étages (voir image IVR84_20246300349NUC4A, à droite l'immeuble d'angle avec l'avenue Charras, à gauche celui d'angle avec l'avenue Albert-et-Elisabeth), morphologie formant miroir à l'extension en rez-de-chaussée du n°31 avenue Albert-et-Elisabeth, situé en presque vis-à-vis (voir image IVR84_20246300347NUC4A et dossier IA63002780).

L'extension de la villa d'origine par un immeuble administratif entraîne une modification du régime d'alignement de la séquence : entre 1897 et 1939, la maison était en rupture d'alignement puisque placée en recul d'alignement alors que le n°46 se trouvait à l'alignement. Cet état est modifié en 1939, lors de la construction de l'extension en brique de la maison de la mutualité, extension se plaçant sur la même ligne que le n°46. Dès lors l'alignement de l'immeuble d'angle des avenues d'Italie et Albert-et-Elisabeth aurait été qualifié de régulier avec espacement, puisqu'alors il existait un espace entre la villa d'angle d'origine et la chaussée, espace occupé par un jardin implanté le long de l'avenue d'Italie (voir image IVR84_20246300067NUCA figurant l'élévation de la nouvelle construction : en mitoyenneté droite se trouvait le n°46 tandis que le départ de grille à gauche marque l'emprise du jardin de devant de la maison). Enfin la superposition de l'immeuble de la caisse régionale de sécurité sociale du Puy-de-Dôme à la villa d'origine et à son extension en brique le long de l'avenue efface l'espacement du jardin et produit un "alignement régulier par marge de reculement bâtie" (voir image IVR84_20246300070NUCA à droite de laquelle on aperçoit l'élévation du n°46, la rupture d'échelle, la superposition englobant l'immeuble en brique le long de l'avenue et sa poursuite en volumes dégradés jusqu'à l'emplacement de la villa d'origine, l'espacement que constituait le jardin n'est que faiblement lisible sous l'emprise du porche d'entrée). On peut donc en conclure que les modifications du bâti ont corrigé une irrégularité d'alignement tout en produisant une rupture d'échelle des plus manifestes et ont également entraîné une variété de formes architecturales, chacun des trois édifices formant rive d'îlot étant de composition indépendante.

1"Superposition : Nouvel aménagement de l'espace localisé à l'emplacement d'un ou plusieurs anciens aménagements de l'espace, et les cachant ou les effaçant en partie" (GAUTHIEZ B., Espace urbain, vocabulaire et morphologie, Monum, Editions du Patrimoine, 2003, p. 235)2"Nouvel aménagement de l'espace, généralement un édifice, localisé à l'emplacement d'un ancien aménagement de l'espace, et l'effaçant complètement" (GAUTHIEZ B., Espace urbain, vocabulaire et morphologie, Monum, Editions du Patrimoine, 2003, p. 236)

L'actuelle parcelle HV82 provient de la fragmentation de la parcelle 122, section I (première feuille), portion appartenant à M. Paray et M. Bardon formant une lanière orientée nord-est - sud-ouest, que l'avenue d'Italie (alors dénommée avenue de l'Esplanade), la rue d'Ambert et l'avenue Albert-et-Elisabeth (alors dénommée avenue de la Gare) coupent en plusieurs morceaux (voir figure IVR84_20236301166NUCA trois portions en lanière connaissent le même sort). M. Paray et Fillias furent expropriés en 1880. En 1897, l'architecte Barthélémy Sauzet produit les plans d'une maison avec jardin en rupture d'alignement par rapport à l'avenue d'Italie. En 1939, Jean Bosser livre les plans d'extension de la maison afin de la transformer en immeuble de bureaux (immeuble de la Mutualité). Les deux constructions, maison en retrait et extension édifiée en front d'îlot sont, dans la première moitié des années 1950, englobées par une reprise des élévations et une modification de toiture. En 1962, une demande d'implantation d'un local d'archives sur le toit en terrasse fournit le dessin d'élévation (Jean Bosser, architecte) conforme à l'état actuel.

  • Période(s)
    • Principale : 4e quart 19e siècle , daté par source
    • Secondaire : 2e quart 20e siècle , daté par source
    • Secondaire : 3e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1897, daté par source
    • 1939, daté par source
    • 1962, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Sauzet Barthélémy
      Sauzet Barthélémy

      Architecte départemental du Puy-de-Dôme (ancien élève de l'école des Beaux-Arts). Il dresse les plans de la villa du 50 avenue d'Italie - 29 avenue Albert-et-Elisabeth en 1897 (AC O216 686 12A). La villa sera remplacée par la construction de la Caisse régionale de la Sécurité Sociale (actuellement résidence) au cours de la seconde moitié du XXe siècle. Architecte départemental du Puy-de-Dôme, en 1898-1903 (cf. dossier sur le lycée municipal d'Ambert, AD 63, 2 O 1830 ; 33 Fi 3/28, 3/31).

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Bosser Jean
      Bosser Jean

      Jean Bosser (Clermont-Ferrand, 22 février 1902, idem, 21 octobre 1984) suivit des études d’architecture à l’École spéciale des Travaux publics de Paris puis à l’École des Beaux-Arts de Clermont-Ferrand. Il exerça de 1926 à 1980 à Clermont-Ferrand et plus largement dans le Puy-de-Dôme. A la fin des années 1930, il est domicilié au 72 rue Lamartine. En 1965, son adresse est au n°7 du boulevard Duclaux.

      A conçu en particulier, en 1951, les plans de certaines des maisons "Castor" de la cité ouvrière Michelin du Clos-Chanturgue à Clermont-Ferrand. Aurait également travaillé à des projets pour l'établissement thermal du Mont-Dore à la fin des années 1940. En 1933, il dessine les plans de l'immeuble du 16 boulevard Fleury. En 1938, il produit les plans de la maison du n°1 du boulevard Cote-Blatin. La contrainte parcellaire, un triangle donnant au bâtiment le profil d'un fer à repasser, l'amène à adopter une solution que l'on voit émerger en 1937 chez Valentin Vigneron (renfoncement de travée ménageant des balcons), au n°29 du boulevard Cote-Blatin ou au n°110 du boulevard Lavoisier, sans que pour autant le morphologie parcellaire ait induit ce parti pour ce dernier. En 1939, pour l'immeuble du n°64 boulevard Jean Jaurès, Jean Bosser persiste dans l'inspiration de Vigneron (traitement de la travée centrale rappelant celle du 24 boulevard Jean-Jaurès, V. Vigneron architecte, 1938). C'est également en 1939, qu'il s'écarte de cette source d'inspiration pour l'immeuble de la Caisse primaire de l'Union des sociétés de Secours mutuel, au 50 avenue d'Italie puis, au début des années 1960 pour sa surélévation. La même année (1939), il produit les plans d'un immeuble au n°9 boulevard Cote-Blatin. La réalisation s'écarte du projet d'origine et y perd son sobre équilibre. En 1955, il s'associe à Valentin Vigneron pour réaliser l'immeuble du n°31 boulevard Cote-Blatin. Si la symétrie de l'édifice peut renvoyer à la manière de Jean Bosser, le marquage des lignes horizontales et verticales de l'ossature en béton du bâtiment est volontiers employé par Valentin Vigneron. On retrouve cette affection pour la symétrie dans l'immeuble édifié dans le courant des années 1960 au n°3 du boulevard Jean-Jaurès. Dans la seconde moitié des années 1960, il est architecte d'opération de la résidence universitaire de jeunes filles, située au n°24 du boulevard Cote-Blatin (maître d'ouvrage, ministère de l'éducation nationale, direction de l'équipement scolaire universitaire et sportif, office public d'HLM de la ville de Clermont-Ferrand, architecte en chef Auguste Arsac, 180 bd Saint-Germain, Paris). Cette opération immobilière implantée sur une vaste parcelle ne s'affranchit pas totalement de l'alignement par rapport à la voirie mais adopte une non mitoyenneté ménageant un effet de dissémination en bord de rive.

      Le milieu catholique lui assura des commandes importantes, parmi lesquelles, à Clermont-Ferrand, dans les années 1930, les chapelles de la Maîtrise (école Massillon) et de l’évêché (rue Pascal), et dans les années 1950-1960, les églises Notre-Dame de la Route, Sainte-Thérèse de l’Enfant-Jésus (avec Jean-Louis Douat), Sainte-Bernadette et Saint-Austremoine.

      Il construisit aussi à Clermont-Ferrand trois cinémas : l’« ABC », « L’Ambiance », « Le Globe », ainsi que la salle Saint-Genès (à l’arrière du n° 9 place Michel-de-l’Hospital). Il fut enfin le maître d’œuvre de nombreuses maisons (certaines très modestes) et d’immeubles d’habitation (par exemple à Clermont-Ferrand n° 9 place Michel-de-l’Hospital et n° 13 avenue des États-Unis).

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La différence morphologique entre le découpage parcellaire et le bâti d'origine a été rattrapée par l'implantation d'un corps de bâtiment dans l'axe de l'avenue d'Italie, se développant en un angle biais flanqué d'une travée en saillie raccordant l'alignement sur l'avenue Albert-et-Elisabeth. L'effet de redan est amoindri au rez-de-chaussée par le porche suivant la limite de parcelle et respectant son pan coupé, ce qui contribue à faire de l'immeuble un élément de connexion entre les deux avenues (angle traité en négatif). La surélévation du début des années 1950 crée un mur d'héberge au nord, signant une rupture d'échelle avec le mitoyen droit. L'austérité de l'absence de décor, d'ornement des baies régulières à angles droits se marie à une animation par les volumes se développant en biais en élévation et en effet pyramidant en plan (avancée du porche, présence d'un étage en retiré). L'animation de façade tient aussi à la présence de matériaux formant contraste par leur texture et leur couleur : placage de brique rouge, traitement du rez-de-chaussée en pierre de Volvic à joints marqués.

  • Murs
    • béton enduit
  • Toits
    béton en couverture
  • Étages
    3 étages carrés, 1 étage de comble
  • Couvrements
    • dalle de béton
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
  • Typologies
    Edification linéaire ; Alignement régulier par marge de reculement bâtie ; Composition indépendante ; Elévation à avant-corps ; Traitement des angles: présence de pans coupés ; Baies non ornées ; Rez-de-chaussée à baies ; Animation de l'élévation par jeu de volume ; Animation de l'élévation par matériau
  • Techniques
  • Statut de la propriété
    propriété d'un établissement public départemental

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°686 12A, demande d'alignement maison 50 avenue d'Italie, 1897

    AC Clermont-Ferrand : O216 686 12A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1138 13A, demande de surélévation immeuble, 44 avenue d'Italie, 1909

    AC Clermont-Ferrand : O216 1138 13A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°692 25A, demande d'alignement immeuble 50 avenue d'Italie et 29 avenue Albert et Elisabeth, 1939

    AC Clermont-Ferrand : O216 - 692 25A
  • AC Clermont-Ferrand, sPC 6598, demande de surélévation immeuble 50 avenue d'Italie et 29 avenue Albert et Elisabeth, 1962

    AC Clermont-Ferrand : PC 6598

Documents figurés

  • AC Clermont-Ferrand, 1 O 83, Alignements, extrait du plan d'alignement du quartier de la gare, tronçon sud de l'avenue d'Italie, "Voies nouvelles du quartier de la Gare", chemise n°2 1890. Ech: 0,002 m/m, tirage sur papier.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 83
  • Carrefour de l'avenue d'Italie et de l'avenue Albert-et-Elisabeth, extrait d'une vue aérienne IGN, photographie noir et blanc, échelle 1/7370, mission n°63, réf. C2531-0251C2531-0251 du 10/01/1947

    IGN : C2531-0251C2531-0251_
  • carrefour avenue d'Italie et avenue Albert-et-Elisabeth, extrait d'une vue aérienne IGN, photographie noir et blanc, échelle 1/4765, mission n°29, réf. C2531-0381_1953_CDP3726_0029 du 19/05/1953

    IGN : C2531-0381_1953_CDP3726_0029
  • carrefour avenue d'Italie et avenue Albert-et-Elisabeth, extrait d'une vue aérienne IGN, photographie noir et blanc, échelle 1/3467, mission n°89, réf. C2531-0361_1956_CDP1141_0089 du 17/12/1956

    IGN : C2531-0361_1956_CDP1141_0089
Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2024
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Fougère Félicie
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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