Dossier d’œuvre architecture IA63002779 | Réalisé par
Fougère Félicie (Contributeur)
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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  • inventaire topographique, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
Garage automobile, puis cinéma "le Vox" actuellement chapelle Notre-Dame de la Merci
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse 17 avenue d' Italie
  • Cadastre 2022 HW 205
  • Dénominations
    garage de réparation automobile
  • Genre
    d'industriel
  • Destinations
    cinéma, chapelle

Origine industrielle

L'actuelle parcelle HW205 correspond à la partie septentrional de la parcelle 37, section I (1ière feuille) du cadastre de 1831. Sur le plan parcellaire d'expropriation préfigurant, en 1893, l'ouverture de l'avenue d'Italie (alors dénommée avenue de l'Esplanade), elle est figurée, tout comme sa voisine (HW199) qui deviendra le n°17 bis, comme étant bâtie. La confiserie de Georges Parcelier occupait alors l'angle de la future avenue et de l'avenue Charras (la première mention dans la liste des commerçants de l'annuaire du Puy-de-Dôme date de 1888). Les bâtiments étaient répartis autour d'une cour au centre de laquelle se dressait la villa patronale. Les bâtiments des actuels 17 et 17bis participaient du bâti industriel, servant d'atelier et de magasin en 1887, ayant potentiellement servi d'écuries (voir en annexe la demande du registre des arrêtés d'alignement). Il ne reste de l'état d'origine que les ouvertures à encadrement de brique en plein ceintre de l'allée de desserte et de la cour de la parcelle en drapeau HW199 (les vues de la cour complètent la perception) ainsi qu'une baie visible entre les immeubles bordant la rue Victor-Hugo.

Evolution de l'alignement

Le bâtiment du n°17 est, par conséquent, antérieur à l'ouverture de l'avenue, ce qui lui vaut une façade implantée en oblique par rapport à l'axe de la voie (voir figure IVR84_20246300332NUCA le corps de bâtiment en L au nord de la propriété Parcelier présente en effet un alignement en oblique de la ligne rouge délimitant l'avenue). Les plans de l'architecte Jean Amadon lors de la transformation en garage automobile, en 1924, ne semblent pas opérer de modification d'orientation de la façade (voir image 20246300052NUCA, la façade en plan est implantée en oblique, en revanche le dossier ne comprend pas de coupe qui nous permettrais de préciser la chose). Le second réaménagement de ce bâtiment pour le transformer en cinéma, toujours par Jean Amadon, en 1937, montre clairement l'implantation d'une façade écran permettant une liaison à l'alignement. Sur la coupe du cinéma le Vox, la partie postérieure de la façade en alignement sur l'avenue est constituée d'un rez-de-chaussée de plan triangulaire surmonté d'une terrasse sur laquelle se trouve la cabine de projection. La salle du cinéma se développe dans l'enveloppe de l'ancien bâtiment. Ce dispositif est complété, également en 1937, par la scission du bâtiment d'origine constituant le n°17bis (Amadon qualifie l'opération de "restauration d'immeuble"). Ainsi, on peut considérer qu'il s'agit là d'un alignement régulier par marge de reculement bâtie (Gauthiez, Espace urbain. Vocabulaire et morphologie, p. 292).

Le long du 17bis, la discontinuité créée par l'allée de desserte du cœur de la parcelle, engendrant une rupture du bâti de rive, persiste. Des projets de comblement par superposition qui auraient permis d'atteindre à un alignement régulier furent ébauchés à la fin des années 1990 mais ne furent pas suivis d'effet. Une notice d'insertion du projet au quartier argumente d'ailleurs dans le sens d'une homogénéisation du bâti de rive en qualifiant l'allée de desserte du terme un peu exagéré de "dent creuse". "L'objectif prioritaire étant de reconstituer sur rue un front bâti de limite séparative à limite séparative afin que l'entrée voiture ne soit plus considérée comme "un trait de scie" entre deux bâtis mais comme un porche (PC 063113 97 Y 0302)". (voir figure IVR84_20246300147NUCA, relevé d'état des lieux de la façade du 17bis, figure IVR84_20246300148NUCA premier projet d'élévation puis figure IVR84_20246300143NUCA second projet).

Mode d'édification de rive

L'édification de cette rive orientale de l'avenue s'effectue en un damier (voir figure IVR84_20246300118NUDA, ensemble coloré en rose au sud-est de l'avenue) dont la caractéristique est d'être de la main d'un même architecte s'appropriant ainsi le lieu. Lorsqu'en 1924 Jean Amadon transforme le bâtiment de la confiserie en garage automobile, il investit également l'actuelle parcelle HW206 située alors dans l'emprise de la cour de l'usine, créant ainsi l'allée de desserte du cœur de l'actuelle parcelle en drapeau HW199 (voir plan cadastral du secteur). Il y édifie, au n°19, une maison à rez-de-chaussée professionnel, afin d'y installer son bureau (en parallèle de sa carrière institutionnelle, Amadon mène une activité en libéral) et étage d'habitation. Il est probable que l'activité de la confiserie cesse alors, puisque l'année 1924 voit également la transformation de la villa patronale qui de local commercial devient immeuble d'habitation (dossier villa de la confiserie Parcelier). En 1928, poursuivant le comblement de l'ancienne cour de l'usine, tout en conservant en partie sa forme, Amadon construit au n°21 un immeuble d'un étage d'habitation sur rez-de-chaussée aménagé en garages automobiles. Cet édifice, dont l'alignement s'inscrit selon le même retrait que la villa de la confiserie Parcelier, occupe le fond de parcelle HW207 (sur la figure IVR84_20246300124NUCA depuis la cour arrière du n°19, on voit son élévation latérale et postérieur en moellons de pierre de Volvic). Il sera occulté dans les années 1950 par un immeuble en alignement régulier, le repoussant en fond de cour intérieure et le rendant indécelable depuis l'avenue (n°21, Antoine Fustier architecte). Enfin, en 1937, Amadon revient sur la transformation du 17 par l'aménagement du cinéma le Vox. C'est alors, que naît la parcelle du n°17bis, située entre le 17 et le 19, édifiée selon un programme reprenant le principe d'un rez-de-chaussée commercial et d'un étage d'habitation.

Homogénéité architecturale

Jean Amadon se conforme à un modèle d'immeuble à un étage d'habitation surmontant un rez-de-chaussée à vocation commerciale (17bis et 19) ou à usage collectif (21). Les deux bâtiments de part et d'autre de l'allée desservant le cœur de la parcelle HW199 adoptent un plan rectangulaire en profondeur, l'élévation principale sur l'avenue occupant par conséquent le plus petit côté. Il en résulte une distribution intérieure se développant en double voire triple en profondeur. La destination d'origine des rez-de-chaussée (activités professionnelle et commerciale) et l'aménagement d'un étage d'habitation correspond au schéma des maisons de commerçant ou artisan. La cessation d'activité professionnelle et commerciale entraîne un effet de rez-de-chaussée aveuglé (la travée gauche du n°19 a par ailleurs subi une modification de baies indiquant le réaménagement du garage, voir dessin de l'élévation d'origine).

L'élévation principale de l'immeuble du n°17bis se caractérise par une rigoureuse symétrie du rez-de-chaussée, soulignée par la courbe de l''encadrement des baies au niveau de soubassement et celle des colonnes engagées flanquant les ouvertures ; symétrie brisée à l'étage par la proéminence du bow-window correspondant à la pièce de réception (le salon). Cette mise en avant d'une pièce de réception se retrouve au n°19 par le balconnet de la travée droite correspondant à l'emplacement de la salle à manger. Le n°21, à présent invisible depuis l'avenue, quitte le modèle de la maison d'artisan. Il est doté d'un rez-de-chaussée aveugle puisque dédié au remisage des automobiles. L'étage est régi par une symétrie correspondant à une distribution intérieure des appartements de part et d'autre de l'escalier central. Les traits distinctifs de cet ensemble architectural sont une prise en compte fonctionnelle des intérieurs (les garages automobiles ne sont pas si courants à l'époque), une rigueur esthétique et une modestie de l'enveloppe des bâtiments. Au début des années 1950, Antoine Fustier, pour l'immeuble implanté en devant de parcelle au n°21, adopte un schéma synthétisant l'ensemble de ces éléments (rez-de-chaussée aveugle pour l'implantation des garages, emploi de la courbe pour l'embrasure et l'entablement de la porte d'entrée, modénature de l'élévation principale traitée en symétrie, distribution symétrique des appartements implantés de part et d'autre de l'escalier central) en s'inscrivant en revanche dans une enveloppe plus développée entraînant une rupture d'échelle qui crée l'apparition d'un mur d'héberge à gauche et d'une élévation aveugle à droite.

L'ouverture de l'avenue d'Italie (alors dénommée avenue de l'Esplanade) longe la parcelle 37 section I (1ière feuille) sans paraître l'affecter. En effet, aucune trace de cession n'atteste la modification de l'emprise parcellaire sur laquelle s'élève la confiserie de Georges Parcelier. A l'emplacement de l'actuel n°17 se dressait l'un des bâtiments industriels de l'usine. Il fut tout d'abord aménagé en garage par Jean Amadon, en 1924, ce qui entraîna une reprise de façade sans modification de l'orientation oblique par rapport à l'axe de la voirie. En 1937, il connut une nouvelle affectation le transformant en cinéma, pour laquelle une façade écran à l'alignement fut édifiée (toujours par Jean Amadon). Après s'être spécialisé dans la projection de films pornographiques, le Vox ferme ses porte le 3 avril 1990. Enfin, dans les années 1990 (projet 1994 - fin de réalisation 1997), une métamorphose n'affectant sa modénature qu'en substituant aux portes vitrées des venteaux de bois rigoureusement clos, et plus malheureusement en éliminant l'arrondi des vitrines latérales (forme que l'on retrouve au n°17bis et qui à l'origine pouvait donc participer d'un jeu d'autocitation de l'architecte), le transforma en lieu de culte (cabinet Marol 3 architecte). Le rituel tridentin qui y est pratiqué est dispensé par les prêtres de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X, rattachés au prieuré de l'Enfant-Jésus de Plauzat, s'inscrivant dans une mouvance traditionnaliste que l'on peut qualifier d'intégriste. Aléa des affectations successives, d'une vox populi à une vox dei...

  • Période(s)
    • Principale : 2e quart 20e siècle , daté par source
    • Secondaire : 4e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1937, daté par source
    • 1994, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Amadon Jean
      Amadon Jean

      Jean Amadon (Le Mont-Dore, 5 septembre 1886 - Clermont-Ferrand, 20 juillet 1954), fils d’un menuisier, se forma à l’architecture en travaillant comme dessinateur. À l’instar de la plupart des architectes de l’époque, il exerça son métier sans avoir obtenu de diplôme professionnel. Sa carrière n’en fut pas moins réussie.

      Conducteur des travaux des hospices de Clermont-Ferrand depuis le 1er juin 1909, Jean Amadon put porter à partir du 15 décembre 1911 le titre d’architecte des Hospices de Clermont-Ferrand. À l’hôtel-Dieu de Clermont-Ferrand, Jean Amadon est l’architecte du pavillon des militaires (Desaix) et de l’hôpital pour enfants (1911-1925), ainsi que de la polyclinique (1927-1930). Le 31 décembre 1929, il obtint une mise à la retraite anticipée pour raisons de santé. Également architecte des hospices de Riom et de Thiers, Jean Amadon édifia notamment le sanatorium Saint-Jean-d’en-Haut à Enval (Puy-de-Dôme, 1929-1932).

      En 1924, il dresse les plans de son cabinet d'architecte en libéral au 19 de l'avenue d'Italie. La même année, il reprend la façade et aménage le n°17 de la même avenue pour transformer le bâtiment (probablement les anciennes écuries de la confiserie Parcelier) en garage automobile. Dans le même secteur, il est l'auteur des plans de l'immeuble en fond de parcelle au N°21 (occulté dans les années 1950 par un immeuble édifié en devant de parcelle). En 1937, il poursuit les remaniement de ce secteur en transformant le garage automobile du n°17 en cinéma et en reprenant façade et distribution du 17bis.

      À partir de 1930, Amadon poursuivit sa carrière à titre libéral. Il bâtit entre autres la mairie-groupe scolaire de Ceyrat (1932-1933), la mairie et le foyer municipal de Messeix (vers 1932), les laboratoires du Centre de recherches agronomiques du Massif central (Clermont-Ferrand 18 avenue de l’Agriculture, 1932-1934, en partie détruits), le cinéma Le Vox (idem, 17 avenue d’Italie, 1937, réaffecté). Pour l’École nationale professionnelle de Thiers (mise en service en 1933), il reprit et compléta à partir de 1931 les plans de l’architecte parisien Paul Guadet, puis il dirigea la construction des bâtiments.

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    • Auteur :
      SARL Marol 3 architecte
      SARL Marol 3 architecte

      Cabinet auteur de la transformation du cinéma le Vox en lieu de culte (chapelle Notre-Dame de la Merci) en 1994 (domicilié 42 rue de Navarre, à Bellereive sur Allier)

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      agence d'architecture attribution par source

La façade du n°17 est commandée par la symétrie que procurent les deux pans, traités en bossage régulier, redoublés par des cannelures verticales, qui encadrent le dispositif central. Cependant, Amadon joue de l'irrégularité symétrique de baies, ronde à droite et horizontale à gauche, amendant la rigueur géométrique de l'ensemble (ce que l'on a pu voir, dans les réalisations des 17bis, 19 et 21, par l'emploi d'une symétrie surmontant ou en soubassement d'un niveau asymétrique). Les documents antérieurs à l'aménagement en lieu de culte montrent que le retour en arc des vitrines encadrant les portes d'entrée devait participer d'un adoucissement de la transition vers la partie centrale. Il répondait au dispositif formel du rez-de-chaussée du n°17 bis, encore visible malgré la réduction des baies.

L'écriture architecturale conserve son horizontalité renforcée par les entablements de la partie centrale de la façade mais a perdu de sa force d'évocation avec le changement de destination. Si le cartouche central se prête à l'exposition d'un Christ en croix, on ne peut guère plus voir dans le motif des cannelures, positionnées en bandeaux verticaux et frise supérieure horizontale, la référence au rideau de scène encadrant l'écran de projection (voir la description d'Armando Alves reproduite en annexe).

L'édifice se déploie en un vaisseaux dont l'extrémité orientale est occupé par le maître autel, axé par rapport à la porte d'entrée principale (il n'y a pas, contrairement à ce qu'imagine le dessin d'architecte de chaire à prêcher). La structure de la charpente métallique est perceptible par les larges caissons partitionnant le plafond.

  • Murs
    • béton béton armé enduit
  • Toits
    tuile
  • Plans
    plan allongé
  • Étages
    1 vaisseau
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée sans travées
  • Couvertures
  • Typologies
    Alignement régulier par marge de reculement bâtie ; Combiné ; Edification en damier
  • Statut de la propriété
    propriété d'une association cultuelle, Prieuré de l'Enfant-Jésus à Plauzat
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°16557 A, demande d'alignement mur de clôture Parcelier, 1887

    AC Clermont-Ferrand : O216 16557 A
  • AC Clermont-Ferrand, registre d'arrêtés d'alignement du 10/04/1891 au 09/01/1896, numéro d'entrée 18923, demande Parcelier

    AC Clermont-Ferrand
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1485 16A, demande d'alignement, garage automobile, 17 avenue d'Italie, 1924

    AC Clermont-Ferrand : O216 1485 16A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°889 16A, demande d'alignement maison 19 avenue d'Italie, 1924

    AC Clermont-Ferrand : O216 889 16A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°2528 18A, demande d'alignement maison 21 avenue d'Italie, 1928

    AC Clermont-Ferrand : O216 2528 18A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°615 24A, demande d'alignement, cinéma, 17 avenue d'Italie, 1937

    AC Clermont-Ferrand : O216 615 24A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1175 24A, demande d'alignement immeuble, 17bis avenue d'Italie, 1937

    AC Clermont-Ferrand : O216 1175 24A
  • AC Clermont-Ferrand, Permis de construire 545, immeuble 21 avenue d'Italie, 1952

    AC Clermont-Ferrand : PC 545
  • AC Clermont-Ferrand, PC 063113 94 Y 0286, demande d'alignement, lieu de culte, 17 avenue d'Italie, 1994

    AC Clermont-Ferrand : PC 063113 94 Y 0286
  • AC Clermont-Ferrand, PC 063 113 96 Y 0054, Permis de construire aménagement d'un bâtiment (10 logements et bureaux) 17bis avenue d'Italie, 1996

    AC Clermont-Ferrand : PC 063 113 96 Y 0054
  • AC Clermont-Ferrand, PC 063 113 97 Y 0302 Permis de construire surélévation et construction de deux logements, 17bis avenue d'Italie, 1997

    AC Clermont-Ferrand : PC 063 113 97 Y 0302

Bibliographie

  • ALVES Armando, Les cinémas clermontois, travail personnel de fin d'études, sous la direction de Jean-Paul Vernet, écoles d'architecture de Clermont-Ferrand, 1994

    CDP Clermont-Ferrand : 63.164

Périodiques

  • Annuaire du département du Puy-de-Dôme, liste des commerçants, Reproduction photocopiée sous chemise cartonnée - années 1884 à 1914

    CDP Clermont-Ferrand

Documents figurés

  • AC Clermont-Ferrand,1 O 83, Alignement, dossier n°1-71, 1863-1953, chemise n°8 "voies nouvelles du quartier Saint-Joseph", 1887. Ech: 0,002 m/m, tirage sur papier.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 83

Annexes

  • Registre d'arrêtés d'alignement - n°18923 - 1893
  • Extrait du mémoire d'étude d'Armando Alves, 1994
Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2024
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Fougère Félicie
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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Articulation des dossiers
Fait partie de