Dossier d’œuvre architecture IA63002774 | Réalisé par
Fougère Félicie (Contributeur)
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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  • inventaire topographique, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
Villa de la confiserie Parcelier actuellement immeuble
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse 23 avenue Charras
  • Cadastre 2022 HW 208
  • Dénominations
    immeuble
  • Genre
    d'industriel
  • Destinations
    immeuble
  • Parties constituantes non étudiées
    atelier de fabrication

Morphologie urbaine

Certainement édifiée dans le dernier quart du XIXe siècle, la villa qui s'élevait dans la cour de l'usine Parcelier est figurée sur le plan d'alignement de 1885 (l'entreprise est mentionnée pour la première fois dans l'annuaire du Puy-de-Dôme en 1888). Son implantation est donc antérieure à l'ouverture de l'avenue d'Italie. Placée en retrait de l'avenue Charras vers laquelle s'oriente son élévation principale, elle conserve un recul d'alignement non intentionnel à l'égard de l'avenue d'Italie dont l'ouverture s'effectue le long de sa limite parcellaire. L'en-tête des factures de la maison Auger, donne, au début du XXe siècle, une représentation de la villa et de l'usine. Malgré les précautions d'usage à l'égard de ce type de figuration volontiers enjolivée, on peut constater qu'alors la cour plantée entourant la villa patronale s'étendait en un vaste périmètre. Le dossier consacré au n°17 de l'avenue d'Italie analyse le progressif comblement de l'espace situé entre l'ouverture sur l'avenue d'Italie (à gauche sur le dessin Auger) et l'élévation nord de la maison, comblement qui s'achève, dans les années 1950, par l'édification d'un immeuble à l'alignement provoquant l'apparition d'un mur aveugle le long du jardin (voir figure IVR84_20236300291NUC4A). L'oeil perçoit de façon presque instinctive l'identité formelle de la villa du n°36 avenue d'Italie, décalée de quelques mètres vers le nord, formant une sorte d'effet miroir par son quasi vis-à-vis (voir plan cadastral, le n°36 parcelle HW26). Le schéma d'implantation est le même : un retrait d'alignement voisinant avec un immeuble à l'alignement, ce dernier présentant par conséquent une élévation aveugle surplombant le jardin (voir figure IVR84_20236300250NUC4A). L'histoire de la constitution de ce schéma redoublé n'est pourtant pas similaire. Le n°34 est édifié un an avant la villa du n°36 (en 1913 pour le première et 1914 pour la seconde) par des membres de la même famille. Cette famille de commerçants aisés (la veuve Gorce est propriétaire d'un commerce de luminaire et ameublement d'intérieur) entend sans doute marquer, par l'édification de cette villa, dont les plans sont de l'architecte Méridier et le portail sur l'avenue est signé par les ateliers Bernardin, son statut bourgeois. On peut s'étonner de la faute de goût consistant à laisser un mur latéral d'immeuble d'assez grande hauteur jouxter le jardin de la villa. Or, les dates de construction ne laissent pas de doute : il y a intentionalité du retrait, quel que soit par ailleurs l'effet peu urbain d'un mur aveugle visible depuis la voie. Il est fort probable que ce parti ait été pris en référence à la villa Parcelier, édifice cossu d'industriel se conformant aux canons de l'architecture bourgeoise de la fin du XIXe bénéficiant d'un retrait planté en jardin. Le modèle est rattrapé par la copie, puisque, dans les années 1950, l'implantation à l'alignement du n°21 dote également la villa Parcelier de la discordance d'un mur aveugle en bord de jardin.

Historique de l'édification

La villa et l'usine sont des éléments préexistants à l'avenue. Le mur de clôture entourant le jardin jusqu'aux élévations sur les avenues (sur l'avenue d'Italie les n°17 et 17bis, sur l'avenue Charras le n°25) sert de repère d'alignement aux n°46, 44, 27 avenue d'Italie et au n°31 avenue Albert-et-Elisabeth (voir figure IVR84_20236301184NUDA, les bâtiments de l'usine sont colorés en violet). L'édification de la villa et de l'usine, à l'époque où les parcelles environnantes n'étaient pas encore bâties, s'effectue de façon autonome et déterminera en partie l'implantation des bâtiments ultérieurs. Malgré le comblement de la cour de l'usine par des immeubles, la forme globale de l'édifice est encore lisible à l'heure actuelle. Les ouvertures en brique plein cintre de l'allée de desserte du cœur de la parcelle HW199 évoquent celles qui figurent sur le dessin du papier à en-tête Auger. L'élévation sud sur la cour de cœur de parcelle a fait l'objet d'une restauration après le départ de l'entreprise Cartonna dans les années 1990 (au début des années 90, à l'heure actuelle) ; restauration qui a préservé la modénature de façade. En revanche, la cheminée figurée tant sur le dessin de l'en-tête que sur le plan parcellaire de 1887 à l'angle angle nord-est de la cour n'existaient déjà plus. Sur l'avenue Charras, se trouve à l'emplacement du corps de bâtiment oriental de la cour de l'usine un édifice à caractère industriel (voir figure IVR84_20246300030NUCA qui fut des années 1950 au 1990 le site de l'usine Cartona).

Le morcellement parcellaire intervient après la cessation de l'activité de la confiserie (voir figure IVR84_20246300118NUDA, partie coloré à l'est de l'avenue avec date d'édification). En 1924, le bâtiment industriel donnant sur l'avenue d'Italie devient un garage de mécanique automobile et la cour de l'usine se trouve réduite par la construction d'une maison au n°19 (Amadon architecte). En parallèle, la villa change d'affectation ; l'autorisation de transformer et agrandir la construction précise qu'elle était "à usage commercial" et qu'il s'agit d'en faire une "maison à loyer". En 1925, une demande est déposée afin d'ouvrir le portail situé sur l'avenue d'Italie, indiquant sans doute une emprise parcellaire conforme à l'actuelle (l'immeuble du n°21 en fond de parcelle poursuivant l'amputation de la cour est édifié en 1928). Enfin, en 1935 la ville acte par délibération la réalisation d'un pan coupé de 6 mètres à l'angle de la parcelle en raison des "accidents [qui] se sont produits à ce carrefour, où la circulation est particulièrement intense".

La plus ancienne attestation de la demeure est celle du plan d’alignement de l’avenue de l’Esplanade (actuelle avenue d’Italie) de 1885 (figure IVR84_20236301165NUCA). Il serait périlleux d'interpréter la parcimonie d'emploi de la pierre de Volvic - uniquement utilisée pour les degrés du perron d'entrée, la corniche, la chaine d'angle et les encadrement de baies du niveau de sous-bassement - comme un effet du règlement architectural du quartier du Château rouge (avenue de la Gare, actuelle avenue Albert-et-Elisabeth, et rues du marché Saint-Joseph), d'autant que la demeure a vraisemblablement été construite avant la rédaction de ce document daté de 1885 (extrait reproduit en annexe). Cependant, le règlement traduit une mentalité d'époque voulant que l'urbanité passe par l'emploi de matériau de couleur claire perçu alors comme plus nobles que la sombre pierre volcanique. Ce trait souligne la volonté d'édifier un bâtiment conforme au bon goût bourgeois du temps.

Sur les plans de 1885 et 1887 (voir figure IVR84_20246300165NUC4A), la parcelle est indiquée comme appartenant à M. Parcellier Conchon, confiseur (Conchon étant le nom de son épouse, fille de l'industriel clermontois). En 1887, M. Parcellier demande à édifier un mur de clôture, effectivement figuré sur le plan de 1893. Sur ce plan, son nom "Parcelier Georges, confiseur" est à présent orthographié avec un seul L ; enfin le plan d'expropriation de 1896 se contente de l'appellation Parcelier.  La mention de la confiserie Parcelier avenue Charras apparaît dans l'annuaire du département du Puy-de-Dôme (section commerce, industrie) en 1888 et disparaît en 1896. Pourtant, en 1897, M. Parcelier demande à percer une ouverture dans le mur de sa propriété donnant sur la future rue d'Alsace (elle était alors en projet). Une demande d’apposer une enseigne « au-dessus de la porte d’entrée de son usine située avenue Charras » est faite en 1899 par M. Paul Auger (texte de l’enseigne : « Maison Auger-Sorel fondée en 1865, Paul Auger successeur. Confiserie générale du Centre »). Au début du XXe siècle, l'en-tête des factures de la Confiserie Générale du Centre, maison veuve Auger-Sorel, comporte une représentation de la villa entourée du mur de clôture et des bâtiment industriels. Le lien avec Paul Auger trouverait également à se confirmer par le titre de la carte postale représentant l'immeuble situé en face de la villa : "consulat de Belgique", or ce fut un titre de Paul Auger. Cependant, aucun document d'archive ne vient attester une cession de l'usine Parcelier à la famille Auger. La parcelle sur laquelle se trouve la villa est encore aux mains de la famille Parcelier en 1923 qui la vend à la société de vente de biens immobiliers Bernheim, laquelle revendra ce bien l'année suivante, en 1924 à la veuve Miolane (origine de propriété reportée dans l’acte notarié de vente pour l’édification du pan coupé, 1935). Enfin en 1924, la veuve Miolane sollicite l’autorisation de « transformer et agrandir sa construction à usage commercial en maison à loyer ». L’architecte est M. Rabany. La veuve épousera l’architecte après 1925, puisque le nom Veuve Miolane est présent sur le plan de numérotation de l’avenue d’Italie dressé en 1925 et qu’elle se nomme Mme Rabany lors de la vente du terrain pour l’aménagement du pan coupé en 1935.

Les plans de1885 et 1887 reproduisent le perron à double volée en pierre de Volvic. L'en-tête des factures de la maison Auger représente fidèlement la villa s'y l'on se fie aux massives cheminées en pierre d'arkose, au plan carré et au nombre de travées d'origine (antérieurs à 1924 et à la restructuration opérée par Rabany). Les derniers acquéreurs (en 2007) ont procédé à une restauration de la villa remarquablement respectueuse et fidèle aux éléments d'origine.

  • Période(s)
    • Principale : 4e quart 19e siècle , daté par source
    • Secondaire : 1er quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1924, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Rabany Marcel
      Rabany Marcel

      Architecte à Clermont-Ferrand. En 1924, il signe les plans d'agrandissement et transformation de l'immeuble du 23 avenue Charras (ancienne villa patronale de la confiserie Parcelier) avant d'épouser sa propriétaire et de s'y installer. En 1938, il réalise le projet de la villa du n°21 boulevard Cote-Blatin (son adresse est bien le 23 avenue Charras). il fait parti de l'association provinciales des architectes français, syndicat des architectes du plateau central.

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Le bâtiment d'origine a été perturbé par une extension au nord le dotant d'un plan en L et l'adjonction d'éléments architecturaux perturbant l'élévation occidentale. Le plan d'origine, carré coiffé d'un toit à quatre pans brisés et verrière centrale, s'accompagnait d'une égalité dans le soin donné au traitement d'au moins trois des quatre élévations. L'élévation nord ne comporte pas les éléments de décor visibles sur les trois autres parements, sans que nous ne puissions dire si c'est un fait d'origine ou une modification. Les élévations latérales (à l'ouest et à l'est) sont moins développées que la façade (au sud) tout en conservant les frises et encadrements en carreaux de céramique bleue (allèges du rez-de-chaussée, bas de trumeaux du premier étage) ainsi que les pilastres corniers coiffés de chapiteaux en bas-relief, les moulurations d'encadrement des lucarnes et les cheminées à section hexagonale. On lit encore, malgré l'ajout d'oriels, la symétrie de l'élévation occidentale (trois travées, une lucarne encadrée par les cheminées). Ce schéma adopte une légère variation sur l'élévation orientale due à la présence, à l'origine, de la cage d'escalier en troisième travée. La raideur, qui pourrait émaner de la symétrie conjuguée à l'effet de quadrillage du marquage des horizontales et des verticales, est corrigée par l'emploi des arcs en anse de panier des ouvertures. L'élévation principale, exposée au sud, donne son extension maximale à cette composition. Ordonnée en symétrie, elle équilibre les lignes horizontales que forment le perron à double volée, la limitation des niveaux, les corbeaux de la corniche d'avant-toit et les tracés verticaux produits par les liaisons des niveaux, les chaines d'angles en bossage harpé surmontées de pilastres corniers, les lucarnes et cheminées alternées. L'effort de composition architecturale étendue aux élévations latérales marque la position d'interface du bâtiment : placé à l'entrée de l'usine au centre d'une cour, il était visible de différents points de vue. Sa fonction industrielle est sans doute soulignée par la référence à la cheminée d'usine opérée par le traitement des souches des nombreuses cheminées en puissants fûts. Les décors répètent un motif qui semble avoir été spécifiquement pensé pour l'édifice sans que nous n'en connaissions l'origine : motifs de méandres de type grecque alternés avec des motifs floraux évoquant le lys ou la tulipe pour les frises et encadrements de terre cuite émaillée que l'on retrouvent sur le garde-corps du perron.

Les travaux de restauration de la seconde moitié des années 2000 se sont accompagnés de relevés d'état des lieux précis dressés par Mme Agenis, lui permettant d'inférer la nature des transformations réalisées par l'architecte Rabany, d'en déduire l'organisation antérieure et de constater que l'édifice n'a pas connus de remaniements notables depuis 1924. L'architecte Rabany cloisonne le rez-de-chaussée qui, à l'origine devait accueillir deux pièces de part et d'autre du couloir de distribution, celle de l'est développée sur trois travées, celle de l'ouest sur deux travées puisque l'escalier occupait la troisième travée (voir figure IVR84_20246300189NUDA restitution en plan de l'état d'origine, figure IVR84_20246300053NUCA du projet d'aménagement Rabany, figure IVR84_20246300185NUDA d'état des lieux 2006). C'est là sans doute que se tenaient les activités commerciales mentionnées dans la demande de modification du bâti. On peut alors imaginer que le sous-sol était dévolu à des activités de service de la maisonnée (lavoir de la buanderie, potentielle cuisine, voir figure IVR84_20246300188NUD restitution de l'aménagement d'origine, figure IVR84_20246300056NUCA projet d'aménagement Rabany, figure IVR84_20246300181NUDA état des lieux 2006), tandis qu'à l'étage se trouvaient les chambres (voir figure IVR84_20246300186NUD restitution de l'aménagement d'origine, figure IVR84_20246300055NUCA projet d'aménagement Rabany, figure IVR84_20246300184NUD état des lieux 2006) et dans le comble à surcroit les chambres de bonnes (voir figure IVR84_20246300187NUD restitution de l'aménagement d'origine, figure IVR84_20246300054NUCA projet d'aménagement Rabany). Dans cette configuration, les cabinets d'aisance devaient se trouver hors-œuvre et la demeure ne comportait pas de salle de bain.

La modification opérée par Rabany en 1924, affecte le plan de l'édifice : le déport de la cage d'escalier au nord du bâtiment le transforme en L (il était auparavant carré). Ceci libère la travée nord-est du corps du bâtiment d'origine transformée alors en une étroite chambre. La salle de bain qui la jouxte implique de modifier l'aménagement antérieur, ce qui se traduit par l'occultation de l'ouverture en travée médiane et par le déplacement de la cheminée de la pièce d'angle sud-est. En rez-de-chaussée, la pièce ouvrant à l'ouest est partitionnée en deux. La cloison produit là encore une occultation de la baie médiane et reçoit une cheminée décorative (elle ne possède pas de conduit). L'aménagement de la demeure en appartements pourvus d'un confort qui se généralise alors (cabinets d'aisance, salle de bain et cuisine individuels dans les appartements) rendent les espaces contraints; les pièces plus nombreuses sont petites. Il est par conséquent possible que l'ajout des éléments flanquant l'élévation orientale (oriel surmonté d'une terrasse et excroissance vitrée couverte en dalle de béton) ait été fait dans la foulée. En revanche, la fermeture de la terrasse couronnant l'oriel est de facture récente sans que nous n'ayons pu la dater précisément.

Rabany dissocie les espaces en déplaçant l'escalier. Il crée au rez-de-chaussée un appartement indépendant des étages puisque distribué par la porte de l'élévation sud. L'accès à l'escalier distribuant les étages se fait par la porte de l'est dans le corps de bâtiment en prolongement. Ce parti pris est similaire à celui de l'immeuble placé en vis-à-vis (immeuble dit "villa Giraudon") : immeuble-maison (un seul appartement par étage) et accès indépendant au rez-de-chaussée; le plan précise que les étages sont destinés aux locataires, laissant ainsi entendre que jardin et accès indépendant au rez-de-chaussée sont dévolus au propriétaire.

  • Murs
    • pierre crépi
  • Toits
    ardoise
  • Plans
    plan régulier en L
  • Étages
    1 étage carré, comble à surcroît
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à plusieurs pans brisés pignon couvert
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour suspendu
  • Typologies
    rupture d'alignement ; Composition indépendante ; Animation de l'élévation par symétrie ; Animation de l'élévation par décor ; Elévation à plan vertical ; Effet de quadrillage ; Traitement des angles: présence de courbes ; Baies ornées ; Distribution intérieur de l'immeuble: immeuble-maison ; Distribution intérieure double avec couloir ; Edification autonome ; Rez-de-chaussée à baies indépendant
  • Techniques
    • céramique
  • Représentations
    • fleur, représentation non figurative
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Sites de protection
    abords d'un monument historique
  • Protections

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand, 1 O 231, Expropriations, Quartier de la gare et quartier Saint-Joseph, 1885 - 1907

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 231
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°420 12A, demande Parcelier de percer une porte, rue d'Alsace, 1897

    AC Clermont-Ferrand : O216 420 12A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°16557 A, demande d'alignement mur de clôture Parcelier, 1887

    AC Clermont-Ferrand : O216 16557 A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1349 12A, demande Auger de poser une enseigne avenue Charras, 1899

    AC Clermont-Ferrand : O216 1349 12A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 675 14A. [Demande d'alignement immeuble 34 avenue d'Italie]. 1913

    AC Clermont-Ferrand : O216 675 14A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 794 14A. [Demande d'alignement maison 36 avenue d'Italie]. 1914

    AC Clermont-Ferrand : O216 794 14A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1688 16A, modification intérieure immeuble 23 avenue Charras, 1924

    AC Clermont-Ferrand : O216 1688 16A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°889 16A, demande d'alignement maison 19 avenue d'Italie, 1924

    AC Clermont-Ferrand : O216 889 16A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1485 16A, demande d'alignement, garage automobile, 17 avenue d'Italie, 1924

    AC Clermont-Ferrand : O216 1485 16A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°140 17A, demande veuve Miolane (23 avenue Charras) d'ouvrir un portail avenue d'Italie, 1925

    AC Clermont-Ferrand : O216 140 17A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°2528 18A, demande d'alignement maison 21 avenue d'Italie, 1928

    AC Clermont-Ferrand : O216 2528 18A
  • AC Clermont-Ferrand, 1 O 826 à 1 O 865, Acquisitions, Expropriations, dossiers individuels, 1910-1950, chemise n°1 O 847, Acquisition Rabany, angle avenue Charras et avenue d'Italie

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 847
  • AC Clermont-Ferrand. PC 545. [Demande permis de construire, immeuble 21 avenue d'Italie]. 1952.

    AC Clermont-Ferrand : PC 545
  • AC Clermont-Ferrand, PC 063 113 96 Y 0054, Permis de construire aménagement d'un bâtiment (10 logements et bureaux) 17bis avenue d'Italie, 1996

    AC Clermont-Ferrand : PC 063 113 96 Y 0054

Périodiques

  • Annuaire du département du Puy-de-Dôme, liste des commerçants, Reproduction photocopiée sous chemise cartonnée - années 1884 à 1914

    CDP Clermont-Ferrand

Documents figurés

  • [Plan de l'avenue du tronçon nord de l'avenue d'Italie] / Ville de Clermont-Ferrand. 1885. Dess. 0,002 m/m. Tirage sur papier. Extr. de [liasse d'archives], "voies nouvelles du quartier Saint-Joseph", AC Clermont-Ferrand, 1 O 83, dossier n°1-71, 1863-1953.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 83
  • AC Clermont-Ferrand, 1 O 62, Alignements, quartier Saint-Joseph, chemise Alignements 1887.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 62 à 1 0 65
  • AC Clermont-Ferrand, 1 O 231, Expropriations, Quartier de la gare et quartier Saint-Joseph, 1885 - 1907

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 231
  • AC Clermont-Ferrand, série 1 O 119, n°678, Acquisitions Actes administratifs, plan du tronçon nord de l'avenue d'Italie, 1896

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 119

Annexes

  • Registre d'arrêtés d'alignement - n°18923 - 1893
  • Conditions architecturales imposées aux constructions à élever dans le quartier dit du Château rouge
Date(s) d'enquête : 2024; Date(s) de rédaction : 2024
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Fougère Félicie
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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