Conservatrice du patrimoine, chercheure au Service de l'Inventaire (2014- ).
- inventaire topographique, Pays d'art et d'histoire de Trévoux Dombes Saône Vallée
- © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Pays d'art et d'histoire de Trévoux Dombes Saône Vallée
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Commune
Savigneux
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Lieu-dit
Juis
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Adresse
1726 route de Rancé
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Cadastre
2017
ZK
101
;
1935
B
759
;
1832
B
706
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Dénominationsmaison forte
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Appellationschâteau de Juis
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Parties constituantes non étudiéesfossé, four à pain, ferme, puits, cour
Texte rédigé par M.Berthet, décembre 2019
En 970, une dame nommée Ailmode donne à l'abbé de Cluny, Maieul, trois condamines qu'elle possède au village de Juys. En 1097, l'abbé de Montberthoud reçu, au nom de Cluny, des dons au village de Juys. Etienne de Juys est cité vers l'an 1000 et cette famille se poursuit jusqu'à Antoine de Juys en 1495. En 1336, Eléonore de Juys se marie avec Hugues de la Palud vassal d'Edouard de Beaujeu. Veuve en 1342, elle se remarie avec Jean de Grolée, chevalier, qui devient seigneur de Juys. La guerre des hommages commence en 1377 entre Edouard II de Beaujeu et le Comte de Savoie. Elle durera quatre-vingts ans. En 1400, Edouard II de Beaujeu cède la Dombes au Duc Louis de Bourbon. Antoinette de Grolée et son mari Amédée de l'Aubépin refusèrent, en 1457, de donner au Duc de Bourbon leur dénombrement de Juys. Le 28 mai 1458, le Duc prend le château de force, le déclare confisqué puis le fait fortifier. En 1496, Antoine de Grolée revend Juys à Robert de Balzac. Jeanne de Balzac l'apporte en dote à Claude d'Urphé qui l'échange en 1550 à un seigneur de Mars.
François 1er décide, en 1523 la séquestre de la Dombes à son profit. Les rois de France deviennent souverains de Dombes. Antoine de Mars épouse le 17 mars 1573, Chrétienne de Champier. Son petit neveu, Philippe-Charles de Champier, bailli du Beaujolais vend la seigneurie de Juys, le 4 mai 1660, à Nicolas Deschamps, conseiller et maître ordinaire des comptes de Son Altesse Royale de Savoye. Nicolas Deschamps, Marquis de Chaumont, Baron de Juys, petit-fils du précédent et son épouse Dame Marie Bouchage demeurant à Lyon, place Louis Le Grand, paroisse d'Aynay, ruinés par leur train de vie fastueux, sont contraint par la coalition de leurs fournisseurs dont certains n'avaient pas été payés depuis dix ans, de vendre aux enchères la totalité de leurs biens au terme d'un long procès.
En 1743, Juis est adjugé à Gilbert Delafont, seigneur de Curis, greffier en chef du bureau des finances de la généralité de Lyon. Son fils Jean Marie de Lafont, Baron de Juis lègue la totalité de ses biens, le 5 avril 1793, à Melle Antoinette Favre sa cousine germaine épouse de Louis Delafond son cousin germain et meurt le 23 mai 1793 à Lyon, pendant la révolte de Lyon. Louis Delafont est guillotiné le 26 novembre 1793. Sa veuve, Marie Antoinette Favre fait une pétition, le 24 messidor An 3, pour être rayée de la liste des émigrés et reconnue comme héritière de Juis. Elle lègue Juis à son neveu, Marc Antoine Hervier, né le 12 janvier 1741, conseiller municipal de Lyon sous l'Empire. La république n'ayant pas autorisé l'exercice du culte dans la chapelle du château, Marc Antoine Hervier obtint, suite à une transaction avec la mairie de Savigneux, que la commune et ses habitants renoncent à la chapelle et au cimetière construits dans l'enceinte du château. Cette transaction est confirmée par un arrêté du Sous-Préfet de Trévoux daté du 10 fructidor An 11. L'unique petite fille de Marc Antoine Hervier, Adélaïde Mornant épouse le 6 février 1824, le Baron Emile-Anacharsis de Maillet Vachère qui fait démolir, vers 1840, la chapelle tombée en ruine. Après leur décès, leurs héritiers revendent le château le 19 mars 1881 au Comte Laurent-Gabriel-Léonore Cholier de Cibeins. Après son décès, le 28 juillet 1897, sa veuve, Gabrielle de Damas d'Antigny est contrainte de mettre en vente le château pour payer ses dettes. Juis est mis aux enchères le 3 octobre 1935 pour la deuxième fois de son histoire. Juis est adjugé à Maître Courroye qui le revend, le 1er février 1937, aux trois frères Berthet, Marcel, Paul et Barthélémy. Leurs héritiers en sont toujours propriétaire à ce jour.
La famille et l'ancienne seigneurie de Juys sont connues depuis l'an Mil jusqu'à l'extrême fin du 15e siècle. La fondation de l'église, accolée au château, remonte à 1097. La construction des bâtiments conservés s'échelonne entre le 13e siècle et le 16e siècle ; ils sont remaniés aux 19e et 20e siècle.
Le rez-de-chaussée du corps de logis (bâtiment est) paraît la partie la plus ancienne du château. Elle a pu être datée du dernier tiers du 13e siècle par analyse dendrochronologique (arbres abattus entre 1265 et 1270). Le château appartenait alors à Guillaume de Juis, connu par deux actes d'hommage en 1276 et 1284. L'édifice est ensuite agrandi au 14e siècle, peut-être après son acquisition par Hugues de la Pallud en 1337. Ce dernier est considéré comme le bâtisseur du château de Bouligneux, qui présente une forte analogie avec Juis : corps de logis disposé en équerre à l'intérieur d'une enceinte de brique. L'édifice présente les caractéristiques des châteaux dombistes de la deuxième moitié du 14e siècle, dont ceux d'Ambérieux-en-Dombes (IA01000596), Trévoux (IA01000027) ou Saint-Trivier-sur-Moignans (PA01000016). D'après Humbert de Varax, les fortifications (chemin de ronde, merlons et créneaux, ainsi probablement que la tourelle) ont été élevées dans la deuxième moitié du 15e siècle par le duc Louis de Bourbon, qui s'est saisi du château en 1458. L'escalier en vis au sud-est, probablement contemporain d'une surélévation du logis, date du début du 16e siècle. La tour d'escalier porte en effet les armes de Robert de Balsac, sénéchal de Gascogne, officier au service d'Anne de Beaujeu pendant la guerre folle puis de Charles VIII pendant les guerres d'Italie, devenu propriétaire de la baronnie de Juis en 1496. On peut dater de cette campagne les grandes baies à traverses et meneaux de l'élévation sur cour et la fenêtre finement moulurée conservée en élévation extérieure sud.
La chapelle, ancienne église paroissiale de Juis construite dans l'enceinte du château, est désaffectée et abandonnée pendant la Révolution. Les habitants de Juis ayant officiellement renoncé à l'usage public de l'église et du cimetière en l'an 11, les vestiges de la chapelle sont démolis en 1824. Seuls subsistent les anciens fonts baptismaux, sculptés, et une statue de sainte Anne en remploi sur le portail principal.
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Période(s)
- Principale : 3e quart 13e siècle , daté par dendrochronologie
- Principale : milieu 14e siècle, 1er quart 16e siècle , daté par travaux historiques
- Secondaire : 19e siècle, 20e siècle
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Auteur(s)
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Personnalité :
Balsac Robert depropriétaire attribution par travaux historiquesBalsac Robert de
Homme de guerre, administrateur et écrivain (1440-1503). Baron d'Entraigues, seigneur de Paulhac et Riomartin, chambellan, sénéchal d'Agenais et de Gascogne.
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Personnalité :
Il s'agit d'une construction massive et carrée, dotée d'une cour intérieure et surmontée de créneaux ; un chemin de ronde en fait le tour et une tourelle est construite sur un angle évidé en trompe. Il existe encore le mur d'enceinte, les douves - matérialisées par des haies arborées, l'emplacement du pont-levis. Une statue de sainte Anne provenant de l'église anciennement située dans l'enceinte du château est placée au-dessus du porche. Actuellement bordé par la route départementale 88, le château lui-même s'inscrit dans un carré presque parfait, de 23 et 25 mètres de côté. La hauteur des murs est de 16 mètres jusqu'au chemin de ronde, la tourelle se dresse sur 12 mètres de hauteur. Les merlons des quatre faces des murs font 2 mètres de haut. Une tourelle cylindrique couronnée d'une mitre tronconique s'élève en encorbellement sur l'angle sud-ouest. Les bâtiments d'habitation ouvrent sur la cour intérieure où ils occupent les faces sud et est. Ce sont des constructions de plain pied, à rez-de-chaussée formant cave (est) et communs (sud) ; à l'étage sont les pièces de réception (sud) et les chambres (est). Le sol de la cave est en terre battue, le plafond en poutres de chênes de 9 mètres de long. Les étages sont desservis par un escalier hors-œuvre en vis sans jour, en maçonnerie, aménagé dans l'angle sud-est. Un second escalier est construit au sud-ouest, contenu dans une tour en briques. Les ouvertures pratiquées sur le mur fortifié sont larges et ébrasées, occultées pour certaines d'une grille en fer forgé. Au nord-est du château, à l'intérieur et en bordure de l'enceinte, est bâtie une ferme de plan rectangulaire, également en briques.
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Murs
- brique
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Toitstuile plate
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Plansplan centré
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Étages2 étages carrés
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Couvertures
- toit à un pan
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Escaliers
- escalier hors-oeuvre : escalier en vis sans jour en maçonnerie
- escalier hors-oeuvre
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État de conservationbon état, restauré
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Représentations
- armoiries
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Précision représentations
Armoiries de Robert de Balsac (sculptées, au-dessus de la porte dela tour d'escalier) : d’azur à trois flanchis d’argent, brisé d’une croisette de même en abîme, au chef d’or chargé de trois flanchis du champ (d’azur).
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Statut de la propriétépropriété privée, Propriété d'une société privée
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Éléments remarquablesdonjon, puits, fossé, tour
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Protectionsinscrit MH partiellement, 1984/05/04
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Précisions sur la protection
Façades et toitures ; puits dans la cour ; partie subsistante du mur d'enceinte (cad. B 758, 759, 760) ; inscription par arrêté du 4 mai 1984.
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Référence MH
Fermé au public.
- © Ministère des finances et des comptes publics, www.cadastre.gouv.fr
- © Archives départementales de l'Ain
- © Communauté de communes Dombes Saône Vallée
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- © Archives départementales de l'Ain
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- © Conservation régionale des Monuments Historiques de Rhône-Alpes
- © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
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Documents d'archives
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AD Ain. 2 O 8. Chapelle et cimetière du château de Juis, rejet de la prétention des habitants du hameau d’y exercer le culte et de procéder à des inhumations (1801-1802).
-
MAP. 1998/008/0106. Château de Juis. Avis sur la protection (1981).
-
DRAC Rhône-Alpes. Dossier de protection du château de Juis à Savigneux. (1980-1984).
-
AP Château de Juis. ARCHEOLABS. Rapport d'expertise dendrochronologique d'échantillons provenant du plafond de la "cave" du donjon de Juis à Savigneux. Saint-Bonnet-de-Chavagne. 2020.
Bibliographie
-
Album. Le pèlerinage d'Ars, illustré de 14 gravures et 8 culs-de- lampe d'après Fonville et Dubief,... Par Ad. C.. 1852.
-
REVEREND DU MESNIL, Edmond. Armorial historique de Bresse, Bugey, Dombes, Pays de Gex, Valromey et Franc-lyonnais. D'après les travaux de Guichenon, D'Hozier, Aubret, Dassier, Steyert, Baux, Guigue, Albrier, Arcelin, les archives et les manuscrits, etc. Lyon : Vingtrinier, 1872
P. 61 : armes de Balsac. P. 356 : Guillaume de Juifs (Juis), réception de terre de Louis de Beaujeu, 1276 ; déclaration d'hommage à Robert de Bourgogne, 1286. P. 360 : JUYS (Juis), famille chevaleresque de la Dombes. -
GUIGUE, Marie-Claude. Topographie historique du département de l'Ain, ou Notices sur les communes, les hameaux, les paroisses, les abbayes, les prieurés, les monastères,... : accompagnée d'un précis de l'histoire du département depuis les temps les plus reculés jusqu'à la Révolution. Trévoux. Imprimerie Damour. 1873. 518 p.
Juis : p. 190 -
De VARAX, Humbert. Histoire locale de la principauté et souveraineté de Dombes, Ain. [Francheleins] 1999. 2 vol. 459 et 463 p.
-
BERTHET, Jacques, RENOUX, Carine. Richesses touristiques et archéologiques du canton de Saint-Trivier-sur-Moignans. Bourg-en-Bresse, 2000.
p. 251-252
Documents figurés
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Plan géométral des bâtiments, cours, puits, four, écuries & remise Pourpris, qui furent château de Juis, et chapelle et cimetière y enclavés. Levé & dessiné sur la réquisition du C[] Hervieu, par Pierre Aubry, géomètre demt à Mâcon / Aubry, Pierre, géomètre à Mâcon [1801]. 1 plan, papier, encre, noir et couleur (AD Ain. 2 O 8).
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Carte Hydrographique de la Dombes / [s.n.] 1857. Dressée en exécution de la décision de son excellence M. le Ministre de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux Publics en date du 18 mai 1854. Feuille n° 7. Ponts-et-Chaussées, département de l'Ain. 1:20.000. (Gravée par Renier et Dourdet, et lithographiée chez Gratia à Paris).- 1 carte en 12 feuilles : lithographie, papier, colorée ; 57 x 76 cm + 1 exemplaire. 1 tirage papier moderne (CC Trévoux Dombes Saône Vallée).
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ARS. Château de Juys / 1 impr. photoméca. n. et b. (carte postale) (Archives départementales de l’Ain. 5 Fi 398/0001).
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Château de Juis : reportage photographique, vers 1980 / Paul Cattin. Photogr. n. et b. (Archives départementales de l’Ain. Fonds Paul Cattin 6 Fi).
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[Le château depuis le sud-ouest] / Aimé Vingtrinier, limite 19e siècle 20e siècle. 1 photogr. n. et b. marouflée sur carton (AD Ain. 38 Fi p. 30).
Chercheuse indépendante depuis 2003 auprès des services régionaux de l'Inventaire et de collectivités. A réalisé ou participé en tant que prestataire aux opérations suivantes : " Patrimoine des lycées " (avec la collaboration de Frederike Mulot), 2010-2015, " 1% artistiques ", 2019-2020 (avec la collaboration de Valérie Pamart), " Inventaire topographique de deux communes de l'ancien canton de Trévoux " (Pays d'Art et d'Histoire Dombes Saône Vallée, pour la communauté de communes Dombes Saône Vallée), 2019.
Conservatrice du patrimoine, chercheure au Service de l'Inventaire (2014- ).
Chercheuse indépendante depuis 2003 auprès des services régionaux de l'Inventaire et de collectivités. A réalisé ou participé en tant que prestataire aux opérations suivantes : " Patrimoine des lycées " (avec la collaboration de Frederike Mulot), 2010-2015, " 1% artistiques ", 2019-2020 (avec la collaboration de Valérie Pamart), " Inventaire topographique de deux communes de l'ancien canton de Trévoux " (Pays d'Art et d'Histoire Dombes Saône Vallée, pour la communauté de communes Dombes Saône Vallée), 2019.