Dossier d’œuvre architecture IA63001260 | Réalisé par
  • enquête thématique régionale, pentes de la commune de Thiers
Immeuble des Jaiffours
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Auvergne - Inventaire général du Patrimoine culturel, ADAGP

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Auvergne - Thiers
  • Commune Thiers
  • Adresse rue Claude-Antoine-Rudel , rue des Jaiffours
  • Cadastre 1982 AH 341 ancien n° de parcelle avant destruction  ; 1982 AH 342 ancien n° de parcelle avant destruction  ; 1982 AH 343 ancien n° de parcelle avant destruction  ; 2012 AH 342 nouveau n° de parcelle après reconstruction ; 2012 AH 343 nouveau n° de parcelle après reconstruction ; 2012 AH 371 nouveau n° de parcelle après reconstruction ; 2012 AH 372 nouveau n° de parcelle après reconstruction ; 2012 AH 373 nouveau n° de parcelle après reconstruction ; 2012 AH 374 nouveau n° de parcelle après reconstruction ; 2012 Ah 375 nouveau n° de parcelle après reconstruction ; 2012 AH 376 nouveau n° de parcelle après reconstruction
  • Précisions
  • Dénominations
    immeuble à logements
  • Appellations
    Les Jaiffours
  • Parties constituantes non étudiées
    garage, parc

L'immeuble de logements dit "Les Jaiffours", du nom du quartier, a été construit dans les années 1960 au nord de la ville, au-dessus du quartier de la gare. Il a été démoli fin 2007 et remplacé sur le même site par 33 logements répartis dans des pavillons et un bâtiment collectif de faible hauteur (ainsi que d'autres logements dans d'autres quartiers de la ville). Ces "nouveaux Jaiffours", appelés "Clos des Vignes", ont été inaugurés en avril 2013.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par tradition orale , (détruit)
    • Principale : 1er quart 21e siècle , daté par tradition orale

L'ancienne "barre" des Jaiffours présentait une courbure convexe côté sud, ouverte sur le paysage. Cet immeuble épousait les courbes du dénivelé mais, par sa grande hauteur, faisait front au reste de la ville, en marquant ainsi fortement le paysage (même de très loin) de sa silhouette facilement reconnaissable. Cette caractéristique permettait, à l'inverse, à tous les logements de bénéficier d'une vue exceptionnelle sur la plaine et la chaîne des puys.

L'immeuble comprenait un étage de soubassement, dû à la pente, un rez-de-chaussée et 9 étages, dans lesquels étaient répartis 132 logements.

  • Murs
    • béton enduit
  • Toits
    béton en couverture
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 9 étages carrés
  • Couvrements
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • État de conservation
    détruit après inventaire
Date(s) d'enquête : 2006; Date(s) de rédaction : 2013
© Région Auvergne - Inventaire général du Patrimoine culturel
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