• enquête thématique régionale, Points de franchissement du Rhône
Pont routier de Groslée
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Rhône-Alpes - Lhuis
  • Hydrographies Rhône
  • Commune Groslée
  • Lieu-dit 01 Groslée, le), Grand Por Port de Groslée, 38 Brangues
  • Adresse R.D. 19b , R.D. 60
  • Précisions oeuvre située en partie sur le département 38 ; oeuvre située en partie sur la commune Brangues
  • Dénominations
    pont
  • Précision dénomination
    pont routier
  • Appellations
    pont de Groslée

1. HISTORIQUE

Le pont suspendu de Groslée, destiné à remplacer un bac à traille établi de longue date, est construit à partir de 1910, pour relier Groslée (Ain) à Brangues (Isère) (BROCARD, p. 107).

Brocard résume les vicissitudes qui ont précédé l'édification du pont suspendu (idem, p. 107). Dès le début du 19e siècle, il existait un projet de pont sur le Rhône à Groslée, qui était autorisé par décret de l'Empereur en 1807. Le projet n'aboutit pas, faute de moyens financiers en ces temps de guerres impériales.

En 1842, une Compagnie parisienne (Dupan ?), sollicite l'autorisation d'établir, par voie de concession de péage, un pont suspendu sur le Rhône en remplacement du bac de Groslée (AD Ain, 2S 88 et AD Isère, 1S4/9).

Au milieu du 19e siècle, vers 1845, le projet de construction émerge à nouveau mais est ajourné à cause des élections législatives, et c'est finalement Evieu (commune de Saint-Benoît), à 5 km en aval, qui hérite d'un pont. Le projet refait surface à la fin du 19e siècle, lorsqu'en 1896, Joseph Pochon, président du Conseil général de l'Ain, instaure une commission interdépartementale Ain-Isère pour étudier la question (PV des délibérations du Conseil général, annexe n° 2). Des difficultés administratives et financières ainsi que des mouvements hostiles mettent fin au projet (BROCARD, p. 107).

Ainsi, en janvier 1898, l´agent voyer de l´arrondissement de la Tour-du-Pin mentionne toujours le bac à traille de Groslée pour franchir le Rhône entre les ponts d´Evieu et de Briord (AD Isère, 15S 13).

Le projet de construction d´un pont interdépartemental est approuvé par le Conseil général de l´Isère le 22 août 1905. Au départ, le pont avait été prévu "rigide", capable de supporter une ligne de tramway, mais le coût étant trop lourd, on lui a préféré un pont suspendu (AD Isère, 7553W 114).

Fin août 1907, le Conseil général de l´Ain adopte le principe de la construction du pont de Groslée. Mais on a du mal à s'entendre sur la dépense qui devait être répartie ainsi : 3/5 pour l´Ain et 2/5 pour l´Isère (AD Isère, 15S 13).

En septembre 1907, M. Blanc, conseiller général du canton de Lhuis, relance le projet, et en août 1908, un compromis financier est finalement trouvé. Le devis de construction s'élève alors à 300 000 F (répartis ainsi : Etat 152 500 F ; département et communes de l'Ain 50 000 F et 32 500 F ; département et communes de l'Isère 35 000 F et 30 000 F). La commune de Groslée bénéficie de 5 000 F légués par le châtelain Pierre Rousseau (selon volonté testamentaire), et par don de sa veuve, Thérèse Triol (BROCARD, p. 107 ; MARREY, 2004, p. 92) ; donation qu'une pancarte scellée sur l'arc d'entrée du pont de la rive droite perpétue (annexe n° 1).

La première pierre de l'ouvrage est posée le dimanche 24 avril 1910, sous l'autorité du sénateur de l'Ain, président du Conseil général, M. Bérard.

Son inauguration, le 17 août 1913, par Pierre Baudin, ministre de la Marine, donne lieu à une véritable fête (BROCARD, p. 107-108)

Le pont a été construit par Les anciens établissements Marion de Bellegarde (Ain) (pour la partie métallique selon BROCARD, p. 108 ; MARREY, 1990, p. 281 ; sur les plans d'Arnodin selon MONTENS, p. 125 ; MARREY, 2004, p. 92).

En 1920, il faut remplacer un culot en fonte rompu et les deux étriers assemblant un câble d´amarrage au chariot de dilatation du pylône amont de la rive gauche (AD Isère, 7093W 77 et 7553W 114).

En septembre 1920, il est projeté d´établir une ligne de transport d´énergie électrique à haute tension entre Brangues et Groslée, sur le pont suspendu de Groslée, ce qui ne fait pas d'objection (AD Isère, 7553W 114).

En 1939, l'ouvrage éprouve des dégâts de l´armée française lors de l´avance allemande. En septembre, des travaux de première urgence sont en cours ; ils ont été confiés à Daubard, ingénieur-constructeur à Lyon (établissements Daubard et Cie), spécialiste des travaux de construction et de réparation des ponts suspendus. Ces travaux comprennent : la reprise de l´ensemble des câbles de retenue sur culots de tête et de pied, avec remplacement des étriers sur chariots de dilatation ; le redressement et réglage en tête du pont des appareils d´appui ; le relèvement et réglage de la suspension du tablier. Le nettoyage, graissage et hydrofugeage de l´ensemble des nappes de câbles est opéré en octobre 1939 (AD Isère, 7093W 77, Chemise sur les réparations 1939).

Pendant le seconde guerre, le pont de Groslée, un des rares ouvrages franchissant Rhône épargné par la destruction de juin 1940, par fausse manoeuvre, devient un lieu stratégique pour les Allemands (COGOLUENHE, livre 2, p. 76 et BROCARD, p. 108).

Ces derniers dynamite l'ouvrage en septembre 1944, lors de leur retraite, et on réinstalle alors un bac à traille à Groslée (COGOLUENHE, livre 1, p. 36 et livre 2, p. 76).

Dans les années 1970, le trafic routier de plus en plus dense, nécessitait le renforcement et l'allègement du pont, dont la charge était limitée à huit tonnes (4 tonnes par essieu). En 1977, il est décidé de procéder uniquement à la réfection de la charpente métallique du tablier et des câbles porteurs, qui étaient alors en mauvais état, tout en conservant les massifs d'ancrage, les culées et les pylônes en bon état. Pour le tablier on opte pour une structure mixte aluminium et béton (Bulletin AFPC, p. 293 ; BROCARD, p. 108 ; MARREY, 2004, p. 92)

Ces travaux de restauration sont réalisées, sous la responsabilité de l'ingénieur Cohas, par l'entreprise Arnodin (pour la charpente métallique) et les Grands Travaux de l'Est (pour le Génie civil). Le pont est remis en service au mois de septembre 1977 (Bulletin AFPC, p. 295 et p. 296 ; MARREY, 1990, p. 281 ; MARREY, 2004, p. 92).

La réception provisoire de l'ouvrage, le 13 juillet 1977, a lieu en présence de l´ingénieur divisionnaire des TPE, Louis Convert, qui en a été chargé, et de l'entrepreneur (ou les représentants des Etablissements Arnodin et Cie). Plusieurs modifications sont à exécuter : notamment les gargouilles non conformes sont à refaire et la chape d'étanchéité à corriger.

Le 11 août 1977, lors des épreuves provisoires (effectuées avec deux camions de 30 tonnes), bien qu'aucune anomalie n'ait été constatée, il est décidé d´étudier les mesures nécessaires pour renforcer la stabilité des pylônes, avant d´effectuer les essais définitifs, le 16 septembre, avec quatre camions de 30 tonnes, et d´ouvrir le pont à toute circulation. Le pont suspendu est livré ce même mois.

Lors de la réception définitive (procès-verbal du 13 juillet 1978) ont été levées les réserves faites lors de la réception provisoire, sauf en ce qui concerne la chape d´étanchéité (AD Ain, 178W 33, Groslée, Sous-dossier 2).

"L'étude de son renforcement se fit au moment où Pechiney [groupe industriel français produisant de l'aluminium], à la suite des Canadiens, s'intéressa au marché des ponts. Le pont de Groslée est devenu un témoin rare d'usage d'aluminium, les métallurgistes de l'aluminium ayant abandonné les ponts" (MARREY, 2004, p. 92).

2. DESCRIPTION

Le pont de Groslée est un pont suspendu à travée unique de 174 m (177,20 m selon les sources) de portée.

Les massifs d'ancrage, les culées et les pylônes sont en maçonnerie (pierre de taille).

L'ancien ouvrage était à tablier métallique en acier, platelage en bois et suspension en fil de fer.

Depuis la réfection de 1977, qui n'a pas affecté l'aspect général de l'ouvrage d'art, le tablier offre une structure mixte à charpente d'alliages d'aluminium, du type poutres treillis et entretoises sous chaussée, et dalle en béton de granulats légers. Sa hauteur hors tout, dalle comprise, est de 2,60 m. Il porte une voie de circulation de 5 m de large et deux trottoirs de 0,90 m, soit 6,80 m entre les garde-corps.

La structure est entièrement boulonnée.

Chaque nappe de câbles est constituée par quatre câbles porteurs - continus d´un ancrage à un autre - de 9 mm de diamètre composés d'un monotoron en fils ronds galvanisés, recouvert d'une couche de fils Z en acier galvanisé et d'une dernière couche de fils Z en acier inoxydable. Les suspentes sont constituées par des monotorons en acier inoxydable .

(AD Ain, 178W 33, Groslée, Sous-dossier 2 ; Bulletin AFPC, p. 293-294 et Le savoir-faire français en matière d'ouvrages d'art, p. 328-329).

Bien qu'engagée au début des années 1910, la construction du pont suspendu de Groslée, destiné à remplacer un ancien bac à traille, est envisagée depuis plus d'un siècle. Depuis 1807, date à laquelle le pont est autorisé par décret impérial, les différents projets présentés restent, le plus souvent pour des raisons administratives et financières, sans suite. Lorsqu'un plan de financement est trouvé à l'été 1908, le projet de construction relancé en 1907 par le Conseil général de l'Ain se concrétise enfin. La première pierre de l'ouvrage est posée le 24 avril 1910. Le pont, construit par l'entreprise Marion de Bellegarde dans l'Ain, sans doute terminé dès 1912, est inauguré le 17 août 1913. Au début de la seconde guerre, le pont ayant subi des dégâts, des travaux d'urgence sont entrepris par les établissements Daubard de Lyon, en septembre 1939, comprenant notamment la reprise de l´ensemble des câbles de retenue. Épargné par la destruction de juin 1940, l'ouvrage n'échappe en revanche pas au dynamitage allemand en septembre 1944, nécessitant alors le rétablissement d'un bac à traille à Groslée. En 1977, le pont étant devenu trop faible en charge, on procède à son renforcement et à son allègement par la réfection du tablier et des câbles porteurs, alors en mauvais état. La réception de ces travaux de restauration, réalisés par les Etablissements Arnodin et les Grands Travaux de l'Est, a lieu en septembre 1977.

Situé juste à l'amont de l'ancien bac à traille qu'il remplace, le pont de Groslée, reliant le lieu-dit Grand Port de Groslée (Ain) à Brangues (Isère), est un pont suspendu à travée unique d'environ 180 m de long. La réfection de 1977 a gardé l'aspect général de l'ouvrage ancien, en conservant notamment les massifs d'ancrage, les culées et les pylônes qui les surmontent en pierre de taille. Ces derniers, formant arc monumental à l'entrée de chaque côté du pont, offrent une partie supérieure ajourée par un triplet d'arcatures. Le tablier est constitué, depuis 1977, par une structure mixte à charpente métallique en alliages d'aluminium et dalle en béton léger. Large de 6,80 m entre les garde-corps métalliques, il porte une voie de circulation à double sens encadrée de deux étroits trottoirs. La suspension comporte quatre câbles porteurs en acier pour chaque nappe, reliés au tablier par des suspentes également en acier.

  • Murs
    • pierre
    • métal
    • aluminium
    • acier
    • béton
    • pierre de taille
  • Typologies
    pont suspendu à travée unique
  • Statut de la propriété
    propriété du département
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

Repérage carto.

Documents d'archives

  • AD Ain. 2S 88. Ponts sur le Rhône

    Projet de construction de ponts en remplacement des bacs de Lagnieu (1833-1835) et de Groslée (1842-1845)
  • AD Ain. 178 W 33. Construction et reconstruction de ponts dans les communes de... Groslée. 1969-1982

    Etat de référence de l´ouvrage 1977-1979 (document de synthèse) ; vie de l´ouvrage
  • AD Isère. 1S 4/9. Routes, voiries et ponts, ponts sur le Rhône. Projets de ponts. 19e siècle

    Chemise Groslée, 1840-1845
  • AD Isère. 15S 13. Pont suspendu sur le Rhône à Groslée : correspondance, rapports, 1895-1908

  • AD Isère. 7093 W 77. Pont suspendu de Groslée sur le Rhône (1920-1939) et pont de Briord (1856-1952)

    Chemise Pont suspendu de Groslée sur le Rhône
  • AD Isère. 7553 W 114. Visites de ponts, 1895-1919

    Groslée

Bibliographie

  • ASSOCIATION FRANÇAISE POUR LA CONSTRUCTION. Le savoir-faire français en matière d'ouvrages d'art / French know-how in bridge building. Paris : ISTED, 1987

    Pont suspendu de Groslée, p. 328-329
  • BROCARD, Maurice. L'Ain des grands ponts. Ain. Rhône. Valserine. Saône. Lyon : Editions de la Tour Gile, [D.l. 1993]

    p. 107-108, ill. p. 109
  • COGOLUENHE, Henri. Histoire des bacs pour traverser le Rhône. Recherches historiques et sociologiques. Thèse de doctorat, Institut de Recherche et d'Enseignement Philosophiques, Département Sociologie. Lyon : Facultés catholiques de Lyon, 1980. 3 volumes

    livre 1, p. 36 ; livre 2, p. 76
  • DEPARTEMENT DE L'AIN. CONSEIL GENERAL. Rapport du Préfet et Procès-verbaux des délibérations. Session d´Avril 1896. Bourg : Imprimerie générale, 1896. Accès Internet : <URL : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54522865.r=.langFR> Partie Procès-verbal des délibérations du Conseil général. Session d'Avril 1896

    Séance du 14 avril 1896, p. 53-57, et Rapport, p. 82-83
  • MARREY, Bernard. Les ponts modernes 18e-19e siècles. [Paris] : Picard Editeur, 1990

    p. 281
  • MARREY, Bernard. Guide Rhône-Alpes de l´architecture du XXe siècle (1914-2003). Paris : Editions A. et J. Picard, Lyon : Union régionale des CAUE Rhône-Alpes, 2004

    Groslée, p. 92
  • MONTENS, Serge. Les plus beaux ponts de France. Paris : Bonneton, [D.l. 2001]

    p. 125
  • Pont de Groslée dans l´Ain. Association Française des Ponts et Charpentes, Bulletin, 1978-1979, p. 293-300. 1 fig., 3 ill. en noir

Documents figurés

  • [Plan du pont] / 24 février 1842 (extr. de : AD Ain, 2S 88 : Pont de Groslée, projet de pont suspendu à établir ; mémoire explicatif et descriptif)

  • Profil en long / Agent voyer cantonal de l´Isère. 7 février 1910. 1:1000 et 1:200 (extr. de : AD Isère, 7553W 114 : Visites de ponts, 1895-1919 : Groslée) Notes : Approuvé le 18 novembre 1910 par la préfecture ; échelle de 1:1000 pour les longueurs et de 1:200 pour les hauteurs

  • Le nouveau Pont de Groslée (Ain) sur le Rhône, inauguré le 17 Août 1913. 1913-1914. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (MdFR. Collection Rondeau, CP RON 0206) Notes : timbre et tampon ; a voyagé le 14/06/1914

  • Groslée - Le nouveau Pont sur le Rhône et les Montagnes du Bugey / Perrin pap. Les Avenières : Perrin, [avant 1922]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (MdFR. Collection Rondeau, CP RON 0240) Notes : timbre et tampon ; a voyagé le 01/01/1922

  • Groslée (Ain) - Les bords du Rhône et le pont / Perrin pap. Les Avenières : Perrin, [avant 1933]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (MdFR. Collection Rondeau, CP RON 0241) Notes : timbre et tampon ; a voyagé le 17/08/1933

  • Groslée - Les bords du Rhône et le Nouveau Pont. [1ère moitié du 20e siècle]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (MdFR. Collection Dürrenmatt, CP DUR 1406) Notes : timbre et tampon

  • Groslée - Pylône pour la construction du Pont / Perrin pap. Les Avenières : Perrin, [1ère moitié du 20e siècle]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (MdFR. Collection Dürrenmatt, CP DUR 1554) Notes : vue verticale

  • Brangues (Isère) - Le pont de Groslée sur le Rhône / Bataillon phot., [1ère moitié du 20e siècle]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (AD Isère. 9 Fi 652) Notes : a voyagé

  • 53. Groslée - Les bords du Rhône et le Nouveau Pont / Perrin pap. Les Avenières : Perrin, [1ère moitié du 20e siècle]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (AD Ain. Série Fi, CP2203947)

  • [Pont vu depuis les bords du Rhône]. [1ère moitié du 20e siècle]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (AD Ain. Série Fi, CP2203948) Notes : a voyagé

  • 8. - Pont de Groslée (Côté Ain) et l´Hôtel Massard. [1ère moitié du 20e siècle]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (AD Ain. 5 Fi 182-10) Notes : a voyagé

  • Ponts détruits par faits de guerre, photographies de la destruction et de la reconstruction / Dossiers DDE. [1940]. Photogr. : n. et b., 18 x 24 cm (AD Ain. 494 W 1)

    Pont de Groslée, 1940
  • [Groslée, pont sur le Rhône]. [1947]. 1 photogr. pos. : n. et b. (AD Ain. Fonds Coste, 31 Fi 24)

  • [Groslée, pont sur le Rhône] / Jean Lanaud phot., [21/08/1960]. 1 photogr. pos. : n. et b. ; 18 x 24 cm (AD Ain. Fonds Lanaud, 12 Fi 3/376)

  • [Groslée, pont sur le Rhône] / Cellard phot., 1950-1970. 1 photogr. pos. : n. et b. (AD Ain. Fonds Cellard, 27 Fi 11 Groslée 78905)

  • [Groslée, pont sur le Rhône, vue depuis la rive] / Cellard phot., 1950-1970. 1 photogr. pos. : n. et b. (AD Ain. Fonds Cellard, 27 Fi 11 Groslée 78912)

  • [Groslée, pont sur le Rhône, vue aérienne] / Cellard phot., 1950-1970. 1 photogr. pos. : n. et b. (AD Ain. Fonds Cellard, 27 Fi 11 Groslée 78915)

  • [Groslée, pont sur le Rhône, vue aérienne] / Cellard phot., 1950-1970. 1 photogr. pos. : n. et b. (AD Ain. Fonds Cellard, 27 Fi 11 Groslée 78927)

  • [Groslée, vue de détail du pont]. 1950-1985. 1 photogr. pos. : n. et b. ; 13 x 18 cm (AD Ain. Fonds de la Société de presse et d´édition de l´Ain, 40 Fi boîte 3)

  • Le Pont de Groslée, sur le Rhône / Cellard édit. Bron : Cellard, [2e moitié du 20e siècle]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : coul. (AD Ain. 51 Fi 182-0001)

  • Photographies de la construction du Pont de Loyettes, 1989 ; réparation du pont suspendu de Groslée. 9 x 14 cm (AD Ain. 494 W 4)

Annexes

  • Annexe n°1
  • Annexe n°2
Date(s) d'enquête : 2010; Date(s) de rédaction : 2011