Dossier d’œuvre architecture IA63002719 | Réalisé par
Renaud-Morand Bénédicte (Contributeur)
Renaud-Morand Bénédicte

Conservatrice du patrimoine, chercheure de 1994 à 2023 au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (Clermont-Ferrand).

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
  • enquête thématique régionale, Patrimoine des lycées
Lycée d'enseignement professionnel, puis lycée professionnel Desaix
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton aire d'étude de la région Auvergne-Rhône-Alpes - Saint-Eloy-les-Mines
  • Commune Saint-Éloy-les-Mines
  • Lieu-dit
  • Adresse 8 impasse du Mas-Boutin
  • Cadastre 2017 ZW 126
  • Dénominations
    lycée
  • Précision dénomination
    lycée professionnel
  • Appellations
    Desaix
  • Parties constituantes non étudiées
    atelier, cour, stade

Conservé dans les archives du lycée professionnel Desaix, un extrait du Courrier de l'éducation paru en janvier 1978, portant sur les "Nouvelles architectures scolaires" et dans lequel figure un encadré sur les avantages de la construction industrialisée, entouré à la main, témoigne de l'intérêt de son lecteur pour le sujet. Il s'agit selon toute probabilité du proviseur en place à l'époque de la reconstruction. Celui-ci a pu se trouver rassuré puisqu'il y est relaté que le procédé a été perfectionné au point d'en garantir la qualité esthétique grâce à l'intervention d'un architecte d'adaptation et que des normes de sécurité ont été renforcées depuis la promulgation d'un décret en octobre 1973.

Sur cette double page conservée sont présentés également deux établissements dont les caractéristiques sont d'une part la construction en pavillons séparés (collège de Blagnac et lycée d'enseignement professionnel du Clos-d'or à Grenoble), d'autre part, la discrétion. Deux caractéristiques que l'on retrouve au lycée Desaix. Sur le premier des points, l'architecte d'adaptation choisi, Pierre Sirvin, avait écrit de son côté (au sujet d'un Centre d'instruction électrique construit avant 1977 à Gurcy-le-Châtel1) que ce type de composition architecturale où les pavillons sont séparés, "reliés entre eux par des constructions basses" [ici, par une passerelle sur poteaux] permet une "réalisation par étapes, une utilisation partielle, et a le gros avantage d'isoler les bâtiments en cas d'incendie". Sur le second point, la discrétion de l'établissement dans le paysage, on citera au sujet du Clos d'or "la véritable réussite de l'architecture", c'est qu'elle s'est notamment "pliée aux exigences du milieu extérieur, [...]", et surtout, l'auteur de l'article rapporte le propos d'un habitant du quartier : "On n'imaginait pas que c'était un lycée". On ne peut mieux exprimer l'absence de monumentalité et de symbole, qui contraste avec les recherches des périodes précédentes.

On peut ainsi se poser la question des effets de son aspect, conjugué à l'emplacement choisi par la ville. Certes, le lycée est en position haute (donc à l'abri des désordres du sous-sol ayant conduit à l'abandon du premier site occupé par l'établissement, et bénéficiant d'un air sain), à proximité d'un lotissement, d'un collège et d'un gymnase, mais il est surtout entouré de champs et bois. Le lycée se perçoit peu depuis l'extérieur et ne semble pas avoir exercé de pouvoir attractif. A moins que délibérément la municipalité n'ait décidé d'en faire une lisière plutôt qu'un pôle urbain structurant.

1Situé en Seine-et-Marne. Construit en collaboration avec son père Paul Sirvin, mort en1977. Centre des archives d'architecture contemporaine, 133 ifa 1030/5.

Le collège d'enseignement technique, qui prendra le nom de lycée d'enseignement professionnel, était situé essentiellement à l'arrière de l'hôtel de ville, en plein centre, dans la partie basse de la ville. En janvier 1975, l'architecte local Denis Ameil avait produit un plan pour sa reconstruction au même emplacement. Puis, dans un article de La Montagne daté du 4 mars 1980, rédigé à l'occasion de la venue du préfet dans la commune, la reconstruction du LEP figure comme "un des buts de la visite" du haut fonctionnaire. "Le choix du terrain sur le plateau "Chez Ponet", du modèle et de l'architecte ont été imposés par l'Education nationale qui assure 100% du financement de cette opération", est-il ensuite révélé. Le préfet promet que les travaux démarreront avant décembre 1980.

En effet, le ministère, dans ce cas, finançait entièrement la reconstruction car le collège avait été affecté par des affaissements miniers, autrement dit "sinistré par une entreprise nationalisée". En choisissant un des points hauts de la commune pour y installer le nouveau collège, les conseillers municipaux mettaient les élèves hors de ce type de danger tout en adoptant une attitude courante : le choix d'un lieu aéré, et en lisière de ville, de manière notamment à orienter l'extension urbaine. La vue sur les collines boisées et sur la ville dont bénéficieraient les usagers a pu également être prise en compte à cette époque-là puisque l'ouverture sur le monde et les relations avec l'extérieur de l'établissement étaient préconisés par les pédagogues (la clôture actuelle est récente, elle date de 2019).

Pierre Sirvin, architecte en chef des Bâtiments civils et des palais nationaux, avait été désigné par le ministère comme "architecte d'adaptation". Ce titre se justifie dans le cas d'architecture industrialisée pour laquelle l'architecte d'adaptation est distingué de l'architecte de conception [du procédé d'industrialisation], ici le cabinet d'architecture représenté par P. Raoux et D. Avgoustinos. Ces derniers sont les auteurs du devis descriptif général (portant le titre de "Collège 600-Campagne 1979", l'entreprise qui leur est associée est la SICRA, société industrielle des constructions rapides). On suppose que la SICRA fournit les éléments préfabriqués (acrotères, allèges, panneaux de façades), quand la SMC locale Barrat s'occupe de leur mise en oeuvre. Les architectes d'opération étaient Denis et Louis Ameil, installés à Chamalières et Saint-Eloy-les-Mines. Pierre Sirvin et les deux Ameil signent un avant-projet le 22 mai 1980, puis les plans définitifs (le premier jeu de plans date du 15/3/1981, les dernières modifications d'octobre 1982). La construction semble avoir démarré en 1981. La municipalité avait fait l'acquisition du terrain, vierge de toute construction, en juillet 1980.

Le lycée a ouvert ses portes à la rentrée de 1983.

En 2022, la démolition du bâtiment de l'internat est imminente, de même que la restructuration des autres bâtiments. Un nouveau bâtiment d'internat en arc de cercle doit être reconstruit.

  • Période(s)
    • Principale : 4e quart 20e siècle
  • Dates
    • 1981, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Sirvin Pierre
      Sirvin Pierre

      Un "P. Sirvin, architecte en chef des Bâtiments civils et palais nationaux", est l'auteur, en Auvergne, en tant qu'"architecte d'adaptation", du lycée de Saint-Eloy-les-Mines (1981), et du lycée de Romagnat, en 1979, associé à Chavarot, architecte d'opération domicilié à Billom (d'après le procès-verbal de mise à disposition de l'établissement lors de la décentralisation). Paul Sirvin (1891-1977), également architecte en chef des Bâtiments civils et palais nationaux, père du premier, étant mort en 1977, il s'agirait donc de Pierre.

      Pierre a fait ses études à l'école d'architecture de Clermont-Ferrand puis à Paris (élève de Roger Expert). Ses travaux s'échelonnent entre le début des années 1950 et la fin des années 1990. Père et fils ont collaboré sur plusieurs chantiers et Pierre a pris la suite de Paul.

      Grâce à leur même titre "d'architecte des Bâtiments civils et palais nationaux" (obtenu en 1962 pour Pierre), l'un et l'autre ont accédé de manière privilégiée à la commande publique.

      Pierre est nommé membre de la Commission nationale du 1% artistique à la fin des années 1970.

      D'après l'auteur de son éloge funèbre à l'Académie d'architecture, "le site avant tout" constitue une de ses devises.

      En matière de lycées, il est également l'auteur du lycée de Dax, et, avec son père, du lycée d'Aire-sur-l'Adour (1967). Sans que les lycées évoqués ici ne constituent une liste exhaustive.

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      architecte des Bâtiments civils attribution par source
    • Auteur :
      Ameil Denis
      Ameil Denis

      L'architecte auvergnat Denis Ameil a été l'auteur, en 1991-1993, des transformations intérieures et de la surélévation de la faculté de chirurgie dentaire (UFR d'otonlogie, ex-faculté mixte de médecine et de pharmacie de Clermont-ferrand).

      En matière de lycées, il est l'un des deux architectes d'opération pour le lycée Desaix de Saint-Eloy-les-Mines en 1981 (architecte principal : Pierre Sirvin, ACBCPN), il semble être l'architecte principal du lycée Marie-Laurencin de Riom (1987), de même que l'architecte associé au mandataire CHM architectes, pour la restructuration de la cité scolaire Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand, en 2018.

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
    • Auteur :
    • Auteur :
      Barrat
      Barrat

      Employé pour la maçonnerie de l'immeuble dit Muraille de Chine, 1958 (AD 63. 328 W 99).

      En 1965-1966, l'entreprise Barrat est préférée à l'entreprise Delbigot pour la construction du collège mixte d'Ambert, A-V. Blanc, architecte (AD 63. 141 J 33). Comme à la Muraille de Chine, le procédé industriel proposé est le Costamagna, tandis que Delbigot proposait le procédé Barets.

      Le 16 novembre 1971, pour la construction de l'agrandissement du CET devenu lycée Roger-Claustres de Clermont-Ferrand (A. Blanc et Albéric Aubert, architectes), l'entreprise est désignée en tant que "membre de notre groupement national d'entreprises" par les Procédés Costamagna (AD 63. 141 J 43. Fonds André Blanc).

      La "SMC Barrat" (société mixte de construction ?) de Clermont-Ferrand est l'entreprise choisie en 1980 pour le gros-oeuvre du lycée d'enseignement professionnel Desaix de Saint-Eloy-les-Mines. De même, c'est la "SGE" Barrat qui est l'entreprise désignée pour la construction du lycée professionnel de Romagnat (désaffecté actuellement ; information collectée sur le PV de mise à disposition de la Région). A titre d'hypothèse, la famille clermontoise Barrat, que l'on trouve sur le chantier de la "Muraille de Chine", est à l'origine de la société du même nom (que l'on trouve sur le chantier du lycée de Saint-Eloy-les-Mines).

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
    • Auteur :
      SICRA
      SICRA

      Société industrielle des constructions rapides associée aux architectes de conception du lycée professionnel Desaix de Saint-Eloy-les-Mines (1981-1983). Sur un programme "collège 600-campagne 1979".

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      entrepreneur attribution par source
    • Auteur :
      Raoux Pierre
      Raoux Pierre

      Architecte concepteur de la SICRA, société industrielle des constructions rapides, avec D. Avgoustinos.

      Voir les références documentaires du lycée professionnel Desaix de Saint-Eloy-les-Mines.

      D'après le site internet "PSS [pour ParisSkyScrapers]-ARCHI.EU, consulté le 8/9/2022, le prénom de P. Raoux est Pierre, sa date de naissance est le 14/1/1935 et il serait diplômé de l'école des Beaux-Arts de Paris depuis le 1er/3/1962.

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      architecte de l'entreprise attribution par source
    • Auteur :
      Avgoustinos Dimitri
      Avgoustinos Dimitri

      Architecte concepteur de la SICRA, société industrielle des constructions rapides, avec P. Raoux.

      Voir les références documentaires du lycée professionnel Desaix de Saint-Eloy-les-Mines.

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      architecte de l'entreprise attribution par source

Le lycée est composé de quatre bâtiments, élevés tout au plus de deux étages carrés sur rez-de-chaussée semi-enterré : en premier lieu, l'externat et les ateliers, reliés par une galerie, puis indépendamment de ces premiers bâtiments dits "plots" d'entrée, le bâtiment de l'internat et celui des logements de fonction. Les deux premiers plots sont situés sur le plateau, à peine enterré pour l'externat, et les deux autres sont sur le versant, creusé, de façon à y installer également une piste d'athlétisme et de jeux collectifs. C'est ainsi que le lycée peut être perçu comme spécialement discret dans le paysage. L'oeuvre du 1% artistique pourrait être considéré comme une partie constituante de l'architecture, étant définie par son auteur comme "un cheminement, un lieu de rencontre", "un aménagement de l'espace" plus qu'une "sculpture-objet", en lien aussi avec le vestibule d'entrée d'où elle doit être visible.

L'ossature générale des bâtiments est constituée de poteaux et poutres en béton armé formant portique, sur une trame de 7,20 m x 7,20 m. Sauf pour les ateliers où la trame est de 14,40 m. Les poteaux ont été coulés sur place, les poutres étaient préfabriquées. Les murs des cages d'escaliers sont en béton banché, de même que les refends et les pignons porteurs du bâtiment des logements (dans ce cas, les poteaux de l'ossature sont en saillie sur la façade). Sinon les murs intérieurs sont en blocs agglomérés de ciment, ou en béton banché, ou en blocs de béton cellulaire. Les escaliers sont formés de volées préfabriquées, larges de 1,67 m.

En façade, les rez-de-chaussée sont constitués d'un remplissage entre poteaux de blocs de "Siporex" préfabriqués (béton cellulaire, c'est-à-dire avec vides d'air stabilisés, considérés comme isolants) enduits, les allèges filantes des étages sont préfabriquées. Le parement extérieur choisi à St-Eloy est du gravillon de l'Allier désactivé, avec du ciment blanc (décrit dans le devis complémentaire au descriptif général). Les menuiseries extérieures sont en bois (en rez-de-chaussée principalement) ou aluminium.

Les bâtiments sont couverts de terrasses avec chape bitumée et étanchéité, bloquées en façade par des parties hautes des murs (acrotères) préfabriquées. Des dalles de béton armé servent d'auvents (sur l'entrée principale en particulier), la verrière couvrant le préau (actuel "patio") dispose d'une ossature métallique, les ateliers ont une toiture en bacs acier, avec lanterneaux "double dôme". Quant à la galerie de liaison, longue de 29,50 m et large de 2,40 m, elle est élevée sur poteaux et poutres de béton armé et constituée d'arceaux en tubes.

  • Murs
    • béton béton armé enduit partiel
  • Toits
    bitume, métal en couverture, verre en couverture
  • Étages
    2 étages carrés, en rez-de-chaussée
  • Couvrements
    • dalle de béton
  • Couvertures
    • terrasse
    • verrière
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre
    • escalier de distribution extérieur
    • escalier dans-oeuvre : escalier en vis sans jour en charpente
  • Jardins
    pelouse, groupe d'arbres, arbre isolé
  • Statut de la propriété
    propriété de la région

Lycée étudié dans le cadre des opérations d'urgence avant travaux de restructuration, et de démolition (bâtiment de l'internat).

Documents d'archives

  • Archives du lycée Desaix de Saint-Eloy-les-Mines. Reconstruction du LEP. Dossier n°1. 1975-1980.

    Projet d'aménagement de l'ancien collège. Plan de situation et plan de masse du CET, par D. Ameil. Où l'on voit que l'ancien CET était construit à l'arrière (à l'est) des bâtiments de la mairie, à l'emplacement du "Parc à bois de la mine".

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines
  • Archives du lycée Desaix de Saint-Eloy-les-Mines. Reconstruction du LEP. Dossier n°2. 1975-1983.

    Acte de vente de la parcelle, 21 juillet 1980. Formulaire "Programme de construction". Avant-projets, 1980. Divers, dont article de La Montagne daté du 4 mars 1980, relatant la visite du préfet dans la commune, dont instructions variées comme Circulaire du 22 octobre 1981 signée de A. Savary, ministre de l'EN, dont tiré-à-part du Courrier de l'éducation, n°64, 30 janvier 1978, p.3-6, "Nouvelles constructions scolaires" donnant en modèle le LEP du Clos d'or de Grenoble [1977, restructuré en 2002] et les collèges de Rebais et de Blagnac. Correspondances variées (1975-1980). Documents concernant le 1% artistique attribué en 1983 à P. Marion, domicilié à Durtol (63).

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines
  • Archives du lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines. Dossier "Logements" [et externat], 1980-1982.

    Contient un "document ayant servi à l'étude du PC" (permis de construire), 7 novembre 1980.

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines
  • Archives du lycée Desaix de Saint-Eloy-les-Mines. Reconstruction du LEP. Les procès-verbaux de chantier. Du n°1 daté du 8 octobre 1981 au n° 59 daté du 23 juin 1983.

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines
  • A du lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines. Equipement du nouveau LEP, 1983-1985.

    Devis des ateliers masculin et féminin, 4 mai 1985. Equipement général "sauf sciences physiques et incendie". Puis : Matériel scientifique (physique et chimie). Incendie.

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines
  • Archives du lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines. Dossier de récolement pour réalisation du diagnostic énergétique.

    Plans des réseaux divers, d'après plans des architectes, 1981.

    Devis de description générale "collège 600, campagne 1979", 172 pages.

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines

Bibliographie

  • Nouvelles architectures scolaires : Le Clos d'Or à Grenoble. Courrier de l'Education, n°64, 30 janv. 1978, p. 5-6.

    Hormis le Clos d'or, sont donnés en modèles les collèges de Rebais et de Blagnac, et un encadré porte sur les avantages de la construction industrialisée.

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines : Reconstruction du LEP. Dossier n°2. 1975-1983

Documents figurés

  • Archives du lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines. Dossier de plans "Externat", 1981.

    Maîtrise d'ouvrage : ministère Education nationale ; maîtrise d'oeuvre : conception P. Raoux et D. Avgoustinos, Paris ; adaptation P. Sirvin, ACBCPN, Boulogne-sur-Seine ; opération D. et L. Ameil, Saint-Eloy-les-Mines. Entreprise SMC Barrat, Clermont-Ferrand. Bureau d'études K. Seroc, Chamalières.

    Plans par niveau, coupes, calepinage des façades (cf. panneaux préfabriqués).

    Tous les plans n'ont pas été photographiés.

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines
  • Archives du lycée Desaix de Saint-Eloy-les-Mines. Dossier de plans "Internat", 1981-1982.

    Plans des entreprises.

    Tous les plans n'ont pas été photographiés.

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines
  • Archives du lycée Desaix de Saint-Eloy-les-Mines. Dossier de plans "Logements". Plans du bâtiment des logements de fonction et de l'externat. 1981-1982.

    Tous les plans n'ont pas été photographiés.

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines
  • Archives du lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines. Dossier de plans "Ateliers" (menuiserie, métallerie, mécanique, électricité). 1981-1982.

    Tous les plans n'ont pas été photographiés.

    A Lycée Desaix, Saint-Eloy-les-Mines
Date(s) d'enquête : 2020; Date(s) de rédaction : 2022
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Renaud-Morand Bénédicte
Renaud-Morand Bénédicte

Conservatrice du patrimoine, chercheure de 1994 à 2023 au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (Clermont-Ferrand).

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.