Dossier d’œuvre architecture IA63002840 | Réalisé par
Fougère Félicie (Contributeur)
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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  • inventaire topographique, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
École supérieure d'art de Clermont métropole
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Hydrographies Tiretaine (la)
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse 25 rue Kessler
  • Cadastre 2022 HS 336  ; 1831 1279 K 3ième feuille
  • Dénominations
    école d'art

Le temps long de la ville

Retracer l'histoire de l'aménagement de l'actuelle parcelle HS 336 nous offre l'occasion d'évoquer un cas de projection viaire au long cours. Contrairement à ce qui se produit pour le prolongement du cours Sablon, via le cours Raymond-Poincaré bientôt surmonté et prolongé par le viaduc Saint-Jacques (délibération en 1919, réalisation en 1967, voir dossier  IA63002801), le délai imposé au projet de prolongement de la rue Kessler ne provient pas de difficultés financières ou administratives de la Ville. Les ateliers d'une entreprise, certes frappés d'alignement mais demeurant tels quels tant que ne survient aucune demande de les transformer, entrave la procédure, actée par l'autorité municipale en 1913 et qui ne sera effective qu'en 1965.

Une note de l'ingénieur de la Ville, datée du 14 octobre 1919, répond à la demande de MM. Montmège et Masclet demandant l'abandon du projet de prolongement de la rue Kessler, qui traverse l'emprise de leurs ateliers, en précisant que "le classement au plan d'alignement des rues du quartier de Rabanesse a été fait par arrêté préfectoral du 8 février 1913, après enquête et accomplissement de toutes les formalités réglementaires. Il n'est pas surprenant que les pétitionnaires [MM. Montmège et Masclet] n'aient pas eu connaissance de cette procédure attendu que ce n'est que bien postérieurement qu'ils ont succédé à M. Tardy précédent propriétaire" (voir note complète en annexe). Faut-il envisager que les ateliers existaient déjà lors de l'acquisition par Montmège et Masclet ? Sinon, comment auraient-ils pu obtenir le permis de les construire ? De fait, nous n'avons pu trouver dans les archives la demande de permis de construire des ateliers figurés sur un plan de 1920. Ce dernier, concernant la demande de prolonger les bâtiments en direction du sud, en retrait oblique de la rue Charles-Fabre, est le premier document que nous ayons vu apparaître. La partie du terrain donnant sur la rue de Rabanesse (en bas à gauche de l'image) indique que la propriété est toujours aux mains de M. Tardy. A la même période, le papier à en-tête des Ateliers métalliques d'Auvergne, nom donné par MM. Montmège et Masclet à leur "entreprise générale des activités de ponts et charpentes, serrurerie, chaudronnerie, installation hydraulique, matériels pour mines et chemins de fer, wagonnets et berlines", précise qu'il s'agit des anciens établissements Chaussegros et Tardy et que la maison fut fondée en 1838. Nous pouvons donc considérer que le projet de prolongement de la rue Kessler est tracé, dès 1913, sur des constructions déjà existantes, motif visible sur le Plan d’Aménagement, d’Embellissement et d’Extension (PAEE) dit Cornudet en 1926 (au milieu en bas du plan) ainsi que sur le plan, de 1926, d'ouverture de la rue Henri Brisson. Cet état durera tant que sera active l'entreprise. Le détail d'une photographie aérienne de l'IGN, prise en 1947, montre comment la rue Kessler, parallèle à la rue de Rabanesse, butte contre les ateliers sans pouvoir relier le boulevard. Il faudra donc attendre que les locaux de l'entreprise disparaissent. C'est chose faite en 1956. Un extrait d'une photographie aérienne de l'IGN, montre alors un terrain vague séparant le carrefour des rues Kessler et Charles-Fabre du boulevard Cote-Blatin et, une dizaine d'année plus tard, en 1965, le percement effectué (sur le bord droit de l'image). L'aménagement du secteur se fera cependant encore attendre. En 1996, le terrain, parfaitement dégagé, reste nu et ça n'est qu'en 2004 que débute le chantier de construction de l'école supérieure d'art (achevée sur l'image IGN de 2013). L'achèvement de l'aménagement de cette partie de la rue Kessler intervient en 2018 avec la construction de la résidence Le Kessler. Résidence et école d'art s'orientent vers la rue Kessler, leurs positions respectives dégageant une placette en esplanade qui met en valeur les vestiges du château de Rabanesse (dit tour de Rabanesse ou tour Pascal, station météorologique au XIXe siècle, inscrite MH, PA63000096).

Un monument "familier"

L'école supérieure d'art reflète le défi de l'insertion dans la ville d'un bâtiment pouvant créer une rupture urbaine : le caractère monumental que l'on souhaite lui donner risque de dénoter dans ce quartier d'habitation du début du XXe siècle essentiellement constitué de petits immeubles. La monumentalité s’exprime généralement par une hauteur contrastant avec le bâti ordinaire, par un dégagement des abords de façon à souligner le caractère exceptionnel d'une architecture nécessitant de se déployer largement et par un traitement spécifique de la façade et de l'entrée soulignant la fonction publique de l'édifice. La générosité de l'entrée s'associe volontiers au développement magistral de certains espaces intérieurs (hall, escaliers). Le développement des techniques de construction modernes permet de jouer avec les volumes et les matériaux de façon à parfois introduire une légèreté démentant les proportions de l'édifice. Or, le parti architectural de l'école d'art ne se conforme pas à ces préceptes – le pourrait-il d'ailleurs alors que sa parcelle est de taille relativement modeste (2650 m²) ? – sans pour autant que l'on puisse lui dénier tout caractère monumental.

D'après la note d'intention des architectes, l'objectif est de couvrir l'ensemble du périmètre de la parcelle d'une peau en cuivre1. Dès l'abord est donc écarté le principe d'un bâtiment épousant les contours de la parcelle en organisant la circulation et l'apport de lumière par une cour centrale intérieure (formule du 19e siècle héritée des cloîtres, pour une analyse des plans d'édifices scolaires voir "Lycées publics en espace urbain (1802-1988)" chapitre « La situation/2 : lycée et paysage urbain », dossier IA00141405). Le respect de l'alignement sur les voies rejette également la solution de bâtiments disjoints regroupés en centre de parcelle, morphologie du bâti qui d'une part nécessite un espace de très grande dimension et, d'autre part, traduit difficilement la monumentalité dans la mesure où elle ne peut s'exprimer sans un rapport spécifique à la rue (le monument est censé s'imposer à l'espace public). Le parti est donc de se conformer à la morphologie parcellaire sans créer de rupture d'échelle puisque le bâtiment de l'école d'art ne se signale par sa taille que d'une façon progressive : son élévation arrière s'appuie aux bâtiments existants (n°16 rue Charles-Fabre et n°78 boulevard Cote-Blatin) et gagne en hauteur à mesure que l'on s'approche de la rue Kessler tout en restant plus bas que la tour de la résidence qui lui fait alors face. Si l'on s'en tient donc au critère de hauteur et de visibilité dans l'espace public, l'immeuble du 29 rue de Rabanesse est plus monumental que l'école d'art (reprenant ainsi un phénomène par ailleurs bien étudié de monumentalisation des immeubles d'habitation au détriment des édifices publiques). Ce mouvement progressif est lisible sur le boulevard par la ligne de retrait oblique de l'habillage métallique s'épanouissant dans le traitement d'angle en pan translucide à croupe de métal. Semblant ainsi un point d'orgue, le pan coupé formant liaison entre la rue Kessler et le boulevard Cote-Blatin aurait pu ménager un dispositif mettant l'entrée en exergue. Ça n'est pourtant pas l'option retenue. L'entrée est placée au centre de l'élévation donnant sur la rue Kessler, à l'endroit où l'habillage métallique est rabattu sur les étages. Cette orientation la dote cependant d'un parvis généreux si l'on admet l'idée qu'il s'articule, par-delà la rue, avec la placette ménagée autour de la tour Pascal. C'est en tout cas l'effet que le passant en retire puisque la chaussée ne tranche, ni par des trottoirs, ni par son revêtement, avec la placette. Cette dernière, fruit de l'aménagement d'un terrain vague situé en vis-à-vis de l'école d'art atténue l'enclavement du bâtiment dans l'îlot, sans atteindre cependant à la parfaite politique de dégagement des abords des monuments. Enfin, si le jeu des volumes et des matériaux n'est pas absent de cette construction, on peine à dire qu'il concourt à l'alléger : la couverture métallique, percée d'étroites ouvertures oblongues paraissant des meurtrières, retombe jusqu'au niveau de soubassement, ce qui crée un aspect monolithique particulièrement sensible en élévation nord (boulevard Cote-Blatin, pan grisé à droite du dessin d'élévation) et sud (rue Charles-Fabre, à gauche du dessin d'élévation).

Projeter un édifice d'un seul tenant d'une hauteur limitée pourrait conduire à une massivité renforcée par l'emploi d'un matériau métallique de couleur sombre. Il pourrait en résulter un bâtiment trapu et compact, caractéristiques qui contreviendraient à la monumentalité recherchée. Cela pourrait également entraver la pénétration de la lumière nécessaire à la fonction de l'édifice si l’on s’en tient à la tradition des ateliers d’artistes. L'allègement de la masse du bâtiment s'opère par la scission en deux corps, l'un offrant la façade de l'édifice sur la rue Kessler, l'autre placé à l'arrière en parallèle du premier, les deux étant reliés par une passerelle enjambant un espace vide ménagé entre eux. Le bâtiment sur la rue Kessler adopte une forme rectangulaire qui aurait pu l'alourdir. Cependant, la retombée progressive de l'habillage métallique sur les élévations crée un mouvement qu'amplifie les plis dont il est animé. Les pans de la couverture de la toiture semblent commander à ce mouvement, singeant l'effet de la retombée d'un drapée sur les aspérités d'un corps ou d'un objet. En cela, Robert Venturi l'aurait qualifié « d’architecture canard »2. L'intention de l'architecte est peut-être de nous dire que le bâtiment n'entend pas être l'oeuvre en elle-même mais l'espace dans lequel s'opère le processus artistique, message qui s'inscrirait alors en faux par rapport à la tradition architecturale des écoles d'art dont l'académisme se devait d'être inspirant et de tremper l'esprit des étudiants.

Le fait que les pans de la couverture se rejoignent au point le plus élevé de la toiture, comme le ferait un clocher écrasé sur sa base, commande à la liaison du bâtiment arrière puisqu'il s'inscrit dans la pente donnée dès l'entrée de la couverture de la passerelle et oriente la convergence de ces pans vers le point sommital. Ainsi la rue intérieure séparant les deux corps de bâtiment semble être une saignée creusée au centre d'un module d'un seul tenant. Le bâtiment arrière évite de plus tout effet de masse par son traitement en deux corps reliés par une coursive et encadrant un jardin intérieur. L'étroitesse de la rue intérieure aurait pu induire un éclairage chiche. Cet effet est évité par les façades écrans translucides montant de fond de part et d'autre de la rue intérieure. C'est dans cette dernière, par la passerelle qui l'enjambe, que se retranche l'aspect magistral; les espaces intérieurs, y compris ceux qui reçoivent du public (hall, amphithéâtre, bibliothèque) s'en tenant à une modestie fonctionnelle. Dans la rue intérieure se développe l'absence de limite plafonnée et la vision de la structure architecturale dans sa globalité.

La monumentalité de cet édifice échappe donc à la définition que nous donnions en introduction. L'implantation de l'entrée et son jeu avec l'aménagement de la rue Kessler, l'équilibre et le mouvement du bâtiment dicté par la couverture retombant sur les élévations, le traitement de l'espace par la rue intérieure, tous ces éléments sont caractéristiques du bâtiment en lui-même : ils produisent des effets monumentaux à l'endroit où on ne les attend pas. En cela, on peut dire que l'école d'art opère la synthèse entre la tradition de l'architecture scolaire et l'innovation en ce domaine en produisant un édifice à la fois monumental et familier, pour reprendre les termes d'André Lurçat (dossier IA00141405, cité plus haut). La notion qui s'impose est alors celle d'édifice repère, jouant une partition autour de l'élargissement de la rue Kessler avec la résidence et la tour Pascal.

1"La façade de la nouvelle Ecole des Beaux-Arts se présente comme une peau protectrice couvrant les espaces de formation et de création. Elle développe tout autour de la parcelle une surface plissée monumentale (...)" (Note d'intention du cabinet d'architecte Architecture-Studio)2Le nom de ce concept provient de l'exemple donné dans la publication L'enseignement de Las Vegas : un bâtiment en forme de canard abritant un restaurant spécialisé dans la volaille. La forme rejoint la fonction, dans son acception extrême, à savoir publicitaire. Pour notre école d'art, le drapé de la peau métallique renverrait au geste de dévoilement de l'oeuvre, opéré par la tenture recouvrant la peinture ou la sculpture dans l'attente du levé du voile qui signerait son achèvement.

L'actuelle parcelle HS 336 correspond à la parcelle 1279 section K (3e feuille) du cadastre de 1831. Elle accueille, à partir de 1838, les ateliers des établissements Chaussegros et Tardy. L'entreprise est vendue à M. Montmège, ingénieur des Arts et Métiers, et M. Masclet, ingénieur des mines, entre 1913 et 1920 qui la baptisent Ateliers de constructions métalliques d'Auvergne. Les bâtiments de cette société sont installés sur l'emprise du projet de prolongement de la rue Kessler, arrêté par le Préfet en 1913, tandis que l'ouverture du boulevard Cote-Blatin n'emporte que l'angle sud-ouest de la parcelle où se trouvait une cour. La propriété est ainsi rognée en 1927, à la suite d'un procès d'expulsion. Il n'empêche que Montmège et Masclet, constatant sans doute par la suite l'avantage que procure le boulevard réclameront son achèvement, au droit de leur propriété, en 1929, à une date où tout le reste du tracé semble être achevé. Le prolongement de la rue Kessler est, en revanche, en suspens jusqu'à la disparition de l'entreprise et la destruction de ses infrastructures, en 1956. Ce prolongement est achevé en 1965. Le terrain reste inoccupé jusqu'en 2004, date à laquelle débute le chantier de l'école supérieure d'art. La poursuite de l'aménagement de cette portion de la rue Kessler se poursuit par la construction d'une résidence, en vis-à-vis de l'école d'art, en 2018, la création d'une placette et la végétalisation des abords de la tour Pascal.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 21e siècle , daté par source
  • Dates
    • 2002, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Architecture - Studio
      Architecture - Studio

      Groupement constitué par les architestes assistants A. Franc, P.M. Nolasco, A.C. Romier, domiciliés à Paris, et par les architectes associés Bourbonnais - Jacob, Sébastien Roche, Richard Tabesse, domiciliés à Clermont-Ferrand et Chamalières, dans le cadre de la conception du bâtiment de l'école supérieure d'art de Clermont-Ferrand, au 25 rue Kessler.

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La monumentalité de l'édifice provient moins de son gabarit ou de son implantation urbaine que de la peau dont les élévations sont en partie recouvertes : "La façade de la nouvelle Ecole des Beaux-Arts se présente comme une peau protectrice couvrant les espaces de formation et de création. Elle développe tout autour de la parcelle une surface plissée monumentale (...)". Cette peau solidarise couverture et élévations, oblitérant la ligne de corniche, pour proposer un édifice qui joue des ouvertures par des écrans vitrés, essentiellement placées de part et d'autre de la rue intérieure, et des fermetures par le recouvrement de la peau métallique à peine percées d'étroites baies oblongues, côté rues. Sa fonction d'enseignement artistique implique que la lumière puisse pénétrer dans les bâtiments, tout en préservant un retrait par rapport à la ville, qualifié de propice à l'étude. Les deux corps de bâtiment sont simples en profondeur. Toutes les salles de cours et les ateliers donnent sur le vitrage de la rue intérieure. La circulation dans le bâtiment avant s'opère par des escaliers, implantés aux extrémités de la façade, reliés par un couloir masqué par la peau métallique dont les étroites ouvertures offrent des vues cadrées sur l'espace urbain (essentiellement la placette du bout de la rue Kessler). Pour le bâtiment arrière, une coursive extérieure, protégée par l'entablement de la toiture, dessert les salles. On gagne les étages par un escalier hors-oeuvre central, surplombant le jardin intérieur, et deux escaliers latéraux. L'activité se concentre autour de la rue intérieure qui, n'était sa forme, joue le rôle d'un atrium : les espaces de création sont orientés vers elle qui constitue un lieu de passage et de rencontre.

  • Murs
    • béton béton armé mur-rideau
  • Toits
    cuivre en couverture
  • Étages
    4 étages carrés
  • Couvertures
    • toit à longs pans brisés demi-croupe
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit suspendu
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Statut de la propriété
    propriété d'un établissement public, EPCC - métropole Clermont Auvergne, ville de Clermont-Ferrand et ministère de la Culture et de la Communication

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 O 70. Alignements : quartiers de Rabanesse et de Coubertin,1909-1929, [3e chemise] Rues ouvertes dans les terrains Fabre, traité avec la ville, pétitions et réclamations des riverains (1912 à 1921).

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 70 [3e chemise]
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1788 14A. [Demande d'alignement ateliers, angle rue de Rabanesse et boulevard Cote-Blatin]. 1920.

    AC Clermont-Ferrand : O216 1788 14A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 O 224. Expropriations : boulevard Sud. Partie comprise entre le Pont de Naud et le boulevard Duclaux : enquête parcellaire, déclaration d'utilité publique, état estimatif des terrains à acquérir, jugement d'expropriation, notifications, devis estimatif des travaux (plan d'alignement, plan parcellaire, plan du calcul des surfaces, plan des lieux après exécution des travaux : 1926). 1916-1928.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 224
  • AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 O 1468. Achèvement du boulevard Côte Blatin à son arrivée sur la rue de  Rabanesse. 1929. Demande de Monsieur Montmège. Note.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 1468
  • AC Clermont-Ferrand. PC 063 113 02 Y 0273. [Demande de permis de construire école d'art, 25 rue Kessler]. 2002.

    AC Clermont-Ferrand : PC 063 113 02 Y 0273

Bibliographie

  • VENTURI Robert, SCOTT BROWN Denise, IZENOUR Steven. L'enseignement de Las-Vegas. Paris : Mardaga, 1978. ISBN: 978-0-262-22015-6

Documents figurés

  • AM de Clermont-Ferrand. Services techniques, sans cote. Plan d'extension de Clermont-Ferrand, par Morel.

    Déclaration d'utilité publique obtenue le 30/11/1926.

    AC Clermont-Ferrand : sans
  • Rues Branly, Brisson, prolongement Kessler / Ville de Clermont-Ferrand, service de la voirie. 1926. Dess. Extr. de [liasse d'archives] "Alignements, quartiers de Rabanesse et de Coubertin", AC Clermont-Ferrand, série O : 1 O 71.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 71
  • [Boulevard Cote-Blatin, carrefour rue Kessler et Rabanesse], / [extrait d'une vue aérienne] IGN, mission n°46, réf. C2531-0251_1947_CDP2345_0046. 1 : 7196. 01 octobre 1947. Photogr. pos.

    IGN : C2531-0251_1947_CDP2345_0046
  • [Boulevard Cote-Blatin et Jean-Jaurès, quartiers Kessler et Rabanesse] / [extrait d'une vue aérienne] IGN, mission n°532, réf. C2531-0361_1956_CDP1141_0013. 1 : 3458. 17 décembre 1956. Photogr. pos.

    IGN : C2531-0361_1956_CDP1141_0013
  • [Boulevard Jean-Jaurès, secteur stade nautique Coubertin] / [extrait d'une vue aérienne] IGN, mission n°4058, réf. C2531-0201_1965_CDP5227_4058. 1 : 1779. 1er juillet 1965. Photogr. pos.

    IGN : C2531-0201_1965_CDP5227_4058
  • [Boulevard Cote-Blatin, entre viaduc et rue Kessler] / [Extrait d'une vue aérienne] IGN, mission n°171, réf. C96SAA1182_1996_FR5159_0171. 1 : 10608. 18 juillet 1996. Photogr. pos.

    IGN : C96SAA1182_1996_FR5159_0171
  • [Boulevard Cote-Blatin, entre viaduc et rue Kessler] / [Extrait d'une vue aérienne] IGN, mission P13000492, réf. CP13000492_312_0343. Résolution 25 cm. 15 juillet 2013. Photogr. pos.

    IGN : IGNF_PVA_1-0__2013-07-15__CP13000492_312_0343

Annexes

  • Note sur le quartier de Rabanesse par l'ingénieur de la ville de Clermont-Ferrand
Date(s) d'enquête : 2024; Date(s) de rédaction : 2024
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Fougère Félicie
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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