Une histoire séculaire
La ville de Valence a bénéficié de la présence d'un collège dès le milieu du 16e siècle, mais la première fondation pérenne date de 1643. Le collège, placé sous la direction de la Congrégation du Saint-Sacrement, jouit d'une piètre réputation. Déclaré propriété nationale en 1792, il est déclaré collège de première classe le 15 septembre 1812. L'enseignement est désormais assuré par des fonctionnaires laïques. L’idée d'ériger le collège en lycée est formulée par la commune dès le mois de janvier 1812. Sébastien Collombier, professeur à l’école impériale d’artillerie de Valence, est chargé d'estimer les capacités du collège, installé dans les locaux du séminaire, destiné à accueillir un lycée de 200 élèves pensionnaires.
Tout au long du 19e siècle, le projet de donner au collège un établissement convenable est une préoccupation récurrente, jusqu'à ce que, à partir de 1883, la volonté du Conseil municipal se fasse plus insistante et se cristallise dans la construction actuelle. En 1883, le conseil municipal réitère son désir de transformer le collège en lycée (AD Drôme 5 T 10-1, délibération du conseil municipal du 6 janvier 1883) : « Le vieux collège communal de Valence construit à une époque où l’on ne tenait aucun compte des conditions (...), ne représente plus aujourd’hui qu’une construction informe, incommode, malsaine, d’un entretien très coûteux (...), ne donnant satisfaction à aucune des exigences réglementaires qui viennent d’être décrites, (...), plus susceptible d’en éloigner les élèves et les familles que de les attirer, et absolument indignes d’un département et d’une ville dont les aspirations sont également tournées vers le progrès des idées, de l’éducation et du bien-être matériel de la jeunesse. ». En effet, les élèves continuent d'être envoyés dans les lycées de Tournon, Grenoble ou Lyon. Par ailleurs, la Drôme reste l’un des rares départements à être dépourvu de lycée, malgré l’augmentation régulière de la population scolaire : en 1863, le collège accueille 275 élèves, dont 109 internes ; entre 1879 et 1894 : 250 à 275 élèves, 90 à 109 internes (AC Valence, 4 M 26) ; en 1890, la population scolaire est évaluée à 420 élèves, dont 170 pensionnaires (AC Valence, 4 M 28).
Plan projeté du nouveau lycée de garçons,1890Une étude est demandée à Émile Vaudremer en 1890 (AC Valence, 4 M 26), lequel a livré le lycée de garçons de Grenoble (IA38000951) en 1887, ainsi que plusieurs lycées à Paris et Montauban entre 1883 et 1888 ; fort de cette expérience qui se voulait innovante en matière d’établissement d’enseignement scolaire, Vaudremer propose un plan assez similaire à celui adopté à Grenoble : les bâtiments s’élèvent en périphérie d’un trapèze ; le bâtiment destiné à l’administration occupe une place centrale sur le côté nord, tandis qu’à l’ouest les constructions s’interrompent pour aérer librement les trois cours de récréations délimitées strictement pour les petits, moyens et grands. À l’est sont placés les locaux de l’infirmerie et du gymnase dont la disposition génère deux cours intérieures. Le devis, estimé pour 170 pensionnaires, 50 demi-pensionnaires et 200 élèves, sur le terrain du clos Doyon offrant une capacité de 17 085 mètres carrés, se monte à 1 500 000 Frs, et, précise l’architecte, « la dépense ne peut être évaluée à un chiffre inférieur, étant entendu qu’il sera fait emploi des rabais ».
Le projet n’est pourtant pas adopté, les discussions entre la Ville et le Ministère de l’Instruction publique et des beaux-arts revenant régulièrement sur la transformation du collège en lycée d’une part, l’urgence d’ériger un nouveau bâtiment pour pallier la vétusté de l’actuel collège d’autre part. Dans cette perspective, la commune recherche activement un emplacement qui puisse réunir, à Valence, les conditions requises, telles qu’exprimées dans la Note relative aux conditions d’installation des lycées et collèges (1891 ; AC Valence, 4 M 28) : un terrain de 20 000 mètres carrés, élevé, bien exposé, sans mitoyenneté gênante, présentant des facilités d’évacuation des eaux pluviales et ménagères et d’amenée d’eau potable et aussi éloigné que possible des établissements pouvant présenter des nuisances ou des risques (hôpitaux, casernes, cimetières, usines, établissements insalubres ou bruyants…) tout en étant assez rapproché du centre ville pour en faciliter l’accès.
Fort de ces recommandations, le conseil municipal recherche l’emplacement idéal et visite plusieurs lieux : clos du Bord, Faventines, Japperenard, Renoard, Gaillard, Doyon. C’est lors de sa séance du 1er juin 1901 qu'il délibère en faveur du clos Doyon, situé à l’extrémité du Champ-de-Mars et de la rue de la Comète (actuelle rue du Lycée) au nord ; à l’ouest par l’avenue des Balives ; au sud par le canal de la Cascade avec portion de terrain en façade sur la rue Marguerite et à l’est par des propriétés particulières avec une bande de terrain ayant une façade sur l’avenue Victor-Hugo. La déclaration d’utilité publique de la construction d’un collège à Valence est décrétée le 9 mai 1902 par Émile Loubet, président de la République (AC Valence, 4 M 26).
La maison érigée sur le clos Doyon est conservée dans le projet et destinée à accueillir l’administration du collège. Car c’est bien un collège qui va être construit à cet emplacement, et non un lycée pourtant ardemment souhaité par la municipalité. L’État s’engage à prendre en charge la moitié du coût de la construction, à condition que la Ville finance l’autre moitié. De nouveaux plans et devis sont demandés aux architectes parisiens Bertsch-Proust et Bischoff en juillet 1901. Pourquoi ne pas avoir conservé l’offre d’Émile Vaudremer ? Peut-être le plaquage du plan adopté à Grenoble, un budget estimatif conséquent et n’incluant pas les frais d’acquisition du terrain, a-t-il fait réfléchir la municipalité, laquelle doit encore acquérir le clos Doyon, pour un montant de 350 000 Frs. La municipalité s’adresse donc à deux disciples de Vaudremer. L’acte de vente du clos Doyon est passé devant Me Clément, notaire à Valence, le 16 juillet 1902, l’état des lieux dressé le 23 janvier 1903 (AC Valence 4 M 26).
Les architectes Bertsch-Proust et Bischoff tiennent compte de la configuration du terrain, particulièrement riche en eaux, et proposent un projet incluant l’ensemble des frais de construction, achat de mobilier, imprévus et honoraires et frais d’acquisition de terrain pour un total de 932 635,44 Frs. Les plans et devis sont approuvés par le Ministre de l’Instruction publique et des beaux-arts le 7 avril 1902 (AC Valence, 4 M 26) : les bâtiments sont largement éclairés et ventilés, les cours de récréations spacieuses, et l’ensemble des locaux est judicieusement disposé pour faciliter la surveillance et les mouvements des élèves.
L’État prend à sa charge la moitié de la dépense, soit 466 317,72 Frs ; les sommes sont débloquées par acomptes au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Le projet inclut d’emblée l’évacuation des eaux usées par un tout-à-l’égout avec mise en place de chasses d’eau automatiques pour les toilettes. Les travaux sont lancés la même année et ne subissent pas de retard particulier, malgré le décès le 22 mars 1902 de Paul Bischoff. Un conducteur de travaux est alors désigné par Bertsch-Proust le 20 septembre 1902, en la personne de M. Roche, lequel a travaillé à la construction de l’hôtel de ville de Valence. En 1903, Bertsch-Proust suggère des travaux complémentaires, qui comprennent la construction d’un lavoir, d’une galerie reliant l’administration aux bâtiments nord et sud, et l’installation d’un chauffage à vapeur à basse pression, plus efficace que les poêles, pour un montant total de 34 119,94 Frs, portant le coût total à 1 001 423,23 Frs.
Les bâtiments sont livrés à la rentrée de Pâques 1905.
Du collège au lycée
Les tractations continuent entre la ville et le Ministère de l’Instruction publique pour doter Valence d’un lycée ; la population scolaire ne cesse de croître, la crainte de voir le lycée de Tournon (IA07000241), éloigné d’une vingtaine de kilomètres, se vider d’une bonne partie de son effectif n’étant pas justifiée. De 210 élèves en 1899, la population scolaire passe à 298 en 1905, 305 en 1906 (AC Valence 4 M 29). La demande officielle de la Ville à l’État de transformer le collège en lycée de garçons est formulée le 12 avril 1906.
Le rapport sur le nouveau collège dressé par le délégué du Conseil d’administration du lycée, le 23 novembre 1909 (AC Valence 4 M 28), est éloquent et non dénué d’humour quant à l’aspect du nouveau collège. Bien qu’installé dans des « conditions exceptionnellement favorables au point de vue de l’hygiène : situation entourée de vastes promenades, disposition des locaux recevant de toute part et à profusion la lumière et l’air, le mode de chauffage par circulation de vapeur », le nouveau collège ne répond que de manière partielle aux besoins d'un lycée et n’a fait que déporter dans de nouveaux bâtiments l’aménagement existant dans l’ancien collège : « on retrouve, installés dans des conditions infiniment meilleures, mais en nombre identique, les classes, dortoirs, chambres de surveillants et d’agents. La capacité de ces divers éléments n’avait même pas été augmentée dans des proportions suffisantes pour faire face au développement qu’aurait eu dans sa nouvelle installation le collège s’il avait été maintenu. On avait en un mot édifié un collège en réservant la possibilité de sa transformation en lycée. » L’auteur évoque le Festin ridicule de Nicolas Boileau (1665) pour illustrer l’indigence des places au réfectoire :
… Et leur troupe serrée / Tient avec peine autour de la table carrée / Et chacun, malgré soi, l’un sur l’autre porté / Fait un détour à gauche et mange de côté.
Et évoque la surpopulation des élèves dans des locaux déjà saturés et donc inappropriés à l’enseignement : « Le dessin de figure et d’ornement est enseigné dans le local préparé pour les travaux manuels qui n’est pas pourvu d’un éclairage suffisant. L’enseignement du dessin graphique cependant si important est pratiqué dans des conditions déplorables, faute d’une salle appropriée. Mais ce qui est plus grave, c’est la nécessité à laquelle on a été acculé : 1° d’entasser jusqu’à 44 élèves dans une salle qui ne devrait normalement en recevoir que 34 au maximum. 2° d’installer 3 études dans des salles de classes et une quatrième dans la permanence. » Il y a donc urgence à intervenir.
Les instances ministérielles consentent à transformer le collège en lycée, par décret du 8 avril 1908 ; ce texte rappelle la délibération du 5 avril 1906, par laquelle le conseil municipal s’est engagé à fournir les bâtiments et le mobilier usuel et scientifique prescrits par les règlements.
De nombreuses modifications sont nécessaires pour satisfaire aux besoins du futur lycée, bien que les locaux du nouveau collège soient tout à fait convenables. Les transformations sont précisées dans une note adressée au maire de Valence par l’inspecteur général du Ministère de l’Instruction publique, M. Chevrel, le 30 juin 1908 (AM Valence 4 M 28) : surélévation d’un étage sur le bâtiment des dortoirs au nord pour y aménager des dortoirs supplémentaires, transformation de salles pratiques en salles de classes. La chapelle, initialement placée au-dessus du gymnase, a disparu. Les dépenses s’élèvent à 255 394 Frs.
Les agrandissements sont demandés à Bertsch-Proust, lequel s’adjoint les compétences d'un jeune architecte valencien, Georges Allingry. Outre les agrandissements prévus, le nouveau projet comprend l'aménagement d'une galerie en ciment armé reliant l'aile sud au bâtiment nord par l'administration (AC Valence 4 M 28, cf annexe) ; la construction d’un laboratoire de manipulations chimiques à l’extrémité de l’aile sud ; des ateliers de travaux manuels en prolongement du chemin de ronde de l’aile sud ; une réorganisation du bâtiment administratif, une nouvelle implantation de la salle des professeurs et de bains-douches, la mise en œuvre d’un téléphone intérieur.
Les travaux sont commencés dès l’été 1909, de manière à livrer pour la rentrée les dortoirs du bâtiment nord ; ils se poursuivent les années suivantes. Au décès de Bertsch-Proust en 1911, Georges Allingry est chargé seul de la conduite et surveillance des travaux ; mobilisé en 1915, c’est à Louis Brunel, architecte voyer de la Ville nommé le 1er juillet 1907, que revient la tâche d’établir les comptes définitifs (AC Valence, 4 M 28). Les travaux sont réceptionnés en 1916.
Un lycée du 20e siècle…
Émile Loubet, alors président de la République, avait inauguré le nouveau collège le 13 aout 1905, en même temps que le pont en pierre sur le Rhône et le parc Jouvet. Le lycée est inauguré en septembre 1908 par Gaston Doumergue, alors Ministre de l'Instruction publique. Ce n’est qu’en 1932 que le lycée de garçons est appelé Lycée Émile-Loubet, en hommage à l'enfant du pays (Valence sur Rhône. Ville de Valence, Office de Tourisme : Valence. 1991).
Des effectifs accrus, de nouvelles dispositions réglementaires pour l’enseignement, particulièrement celui des sciences, et de nouvelles règles de sécurité dans les établissements entrainent de nouveaux aménagements tout au long du 20e siècle.
Les premiers sont confiés aux architectes valentinois Béranger et Bozon en 1937, d'après leurs plans établis entre 1931 et 1935 (AC Valence, 4 M 26 et 4 M 29). Il est prévu de suréléver l'aile sud, de créer des escaliers de secours pour la salle des fêtes et des loges, d’agrandir le gymnase avec création de douches et de vestiaires, de transformer des lavabos, d’installer des paratonnerres, et le chauffage central dans les nouveaux locaux. La dépense totale s’élève à 1 073 650 Frs. En 1955, la création d'un bloc scientifique est projetée par surélévation de la partie est de l’aile sud du lycée, qui jusqu’alors accueillait les classes de physique et chimie. L’aménagement permet d’abriter les deux salles de collections, une salle de cours, une de travaux pratiques, deux petites salles de manipulations, le tout sur une superficie de 225 m2. La réception des nouveaux locaux a lieu le 30 mai 1958. En 1959, Julien Lick, directeur des services d’architecture, voirie et eaux de la ville de Valence, se voit confier un projet d’agrandissement du bloc scientifique, soit en fermant la cour à l’ouest en joignant les deux pavillons en retour des bâtiments nord et sud, soit en construisant au même endroit un bâtiment de trois niveaux (2 étages sur rez-de-chaussée) (AC Valence, 7 WsT 1) ; mais ce projet restera dans les cartons. En 1957, la toiture du bâtiment sud est entièrement refaite, deux dortoirs et la salle des fêtes restaurés (AD Drôme, 906 W 291).
En 1962, deux classes démontables sont installées au nord du tènement (AC Valence, 4 M 29). Une salle de science est construite en 1966, en 1968 surviennent des travaux d’équipement sportif. La mise en conformité électrique des bâtiments existants est décidée en 1971 (AC Valence, 7 Wst 2), la réfection totale des installations électriques effective en 1974 (AC Valence, 7 Wst 3). Le centre de documentation et d’information est créé en 1974 et livré en 1976, par transformation de trois classes, lesquelles sont aménagées au 1er étage du bâtiment nord par transformation d’un dortoir (AD Drôme, 906 W 291).
En 1994 une restructuration générale du lycée est lancée par la région Rhône-Alpes, en raison de l’exigüité et de la vétusté des locaux, ainsi que de l’inadaptation aux concepts pédagogiques en vigueur. Le programme porte essentiellement sur la construction du bâtiment scientifique, la création du centre de vie du lycée regroupant C.D.I. et espace des professeurs, la création de circulations verticales rendant accessibles tous les niveaux de tous les bâtiments, l’extension et la restructuration de l’administration, l’aménagement de coursives permettant la distribution des classes hors du volume existant, enfin l’aménagement des cours intérieures depuis la rue Marguerite et l’avenue Maurice-Faure (A Région Rhône-Alpes, 791 W 5/1). Le nouveau bâtiment scientifique, bloc rectangulaire de 44 x 27 mètres, prévoit deux étages sur rez-de-chaussée et ferme l’enceinte du lycée à l’est. En rez-de-chaussée est aménagé un centre de vie scolaire, escaliers et ascenseur conduisant aux étages. (A Région Rhône-Alpes, 5242 W 1). Les espaces verts sont entièrement revus et l’arrosage amélioré. Ce sont au total 7 793 m2 qui ont été soit repris en réhabilitation (4 107 m2), soit construits (3 686 m2). La maîtrise d’œuvre est confiée au Cabinet SORHA à Valence, l’étude de faisabilité et le programme présentés par l’architecte Vignali. Les travaux sont conduits en trois tranches : 1ère tranche de février 1998 à septembre 1999 : construction du bâtiment scientifique, réhabilitation de l’aile sud-est et extension de l’administration ; 2ème tranche de février à décembre 1999 : réhabilitation de l’aile sud ; 3ème tranche, de janvier 2000 à août 2001 : construction du C.D.I. et réhabilitation de l’aile nord.
… lancé dans le 21e siècle
Bien que conséquents, les travaux de restructuration décidés en 1994 et réalisés entre 1999 et 2001 devaient encore s'adapter aux nouveaux besoins ayant émergé à l’orée du siècle. Parmi les nouvelles demandes figurent la création d’une salle d’activité pour les élèves. Élaboré en 2004, le programme est ambitieux, car il porte sur la remise en état de 4 000 m2 et l’aménagement de 1 430 m2 (A Région Rhône-Alpes, 5242 W 1, 791 W 6, 5443 W 3).
Les nombreuses opérations prévues portent aussi bien sur les bâtiments que sur les espaces non bâtis. Tout est repris dans l'optique d'améliorer les services (cuisine, demi-pension, infirmerie, atelier de maintenance) par remplacement de matériel, réaménagement et modernisation des espaces existants, les lieux fonctionnels (logements de fonction, dont celui du factotum), les lieux pour les lycéens (aménagement d'un local d'éducation physique avec douches, d'un foyer pour les élèves avec bar), avec reprise complète de la signalétique. Les cours sont redessinées, les accès revus et sécurisés, des garages et places de parking aménagés.
Les travaux sont placés sous la maîtrise d’œuvre du cabinet ICADE à Grenoble, et de l’architecte Denise Rey-Huet à Bourg-lès-Valence ; les lots d’aménagement des équipements de cuisson, du restaurant libre-service et des équipements de la laverie (n°17, 18) sont confiés à l’architecte Ariès à Valence. Les travaux sont conduits en deux phases : la phase 1 – OS de démarrage des travaux donné le 6 mars 2006, réception prononcée le 18 septembre 2007 – porte sur les bâtiments I (foyer), H (activités), G (garages), F (ateliers) et voirie réseaux divers (VRD) correspondants. Les garages terminés seront utilisés pour le déménagement provisoire du bâtiment F ; la phase 2 – OS de démarrage des travaux donné le 1er février 2009, réception des travaux en novembre 2009 et décembre 2010 – sur les bâtiments F (atelier), A (infirmerie/Appartement 1), B (lingerie/bureau chef cuisine / appartement 2), C (cuisine / appartement 3), D (réfectoire / laverie), VRD correspondants. Des travaux d’aménagement paysager de la cour nord complètent la réhabilitation, effectués en 2008 par l’agence les Espaces Vers à Jarcieu (A Région Rhône-Alpes, 5443 W 6).
Le 16 octobre 2009, la livraison de l’œuvre d’Agnès Perroux, Comme toi, (IM26000709) parachève la réhabilitation entreprise cinq ans auparavant. Commencés en 2006, ces travaux sont réceptionnés en 2012 (A Région Rhône-Alpes, 5476 W 1).
Au cœur du centre ville de Valence, la cité scolaire Émile-Loubet confirme la conviction des édiles de donner à la ville l’équipement nécessaire à la formation initiale de sa jeunesse.
Chercheuse indépendante depuis 2003 auprès des services régionaux de l'Inventaire et de collectivités. A réalisé ou participé en tant que prestataire aux opérations suivantes : " Patrimoine des lycées " (avec la collaboration de Frederike Mulot), 2010-2015, " 1% artistiques ", 2019-2020 (avec la collaboration de Valérie Pamart), " Inventaire topographique de deux communes de l'ancien canton de Trévoux " (Pays d'Art et d'Histoire Dombes Saône Vallée, pour la communauté de communes Dombes Saône Vallée), 2019.