Chercheuse au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel d'Auvergne-Rhône-Alpes (2006-...)
- enquête thématique régionale, Patrimoine des lycées
- © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Auvergne-Rhône-Alpes - Aurillac-3
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Commune
Aurillac
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Adresse
18 rue du Collège
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Cadastre
1812
H
190
Sur les matrices cadastrales (3 P 470/1), l'église ne fait pas partie des propriétés de la commune ;
2020
AB
90 partie
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Dénominationséglise, musée, salle
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Genrede clercs réguliers de la compagnie de Jésus
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Précision dénominationsalle polyvalente
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Dossier dont ce dossier est partie constituante
L'église du collège est bâtie sur un terrain acquis par les jésuites au Sieur Cabrol, portant maison en ruine et dépendances, situé rue Saint-Jacques et " confrontant du devant avec ladite rue, du derrière avec une autre rue appelée de Tras Las Sales, d'un côté avec la maison de Sire Nicolas Dumas appelée de la Baldeilhie et d'autre côté avec autre maison qu'a été des héritiers de feu Me Bernard Mosset unie audit collège et avec le jardin d'icellui collège et avec leurs autres confrontations ". La vente est conclue le 28 octobre 1622 avec le père Parra, vice recteur du collège, pour la somme de mille livres tournois1.
Le projet de construction a été établi en même temps que celui du collège, en 1621. Soumis à Rome pour approbation, il est en partie modifié par le père Christoph Grienberger2, chargé de la révision des plans d’édifices jésuites. Le collège étant situé dans une rue étroite, l'église a été positionnée en retrait d'alignement, ménageant ainsi un semblant de parvis. La forme du plan n'évolue pas d'un projet à l'autre : elle est rectangulaire, avec un transept légèrement saillant, un chevet plat et une abside semi-circulaire. Le premier projet comporte en effet quelques maladresses : la nef comprend trois travées au niveau du sol, mais quatre au niveau des tribunes, trois piliers y compris celui de la croisée du transept au niveau du sol, et un de plus au niveau des tribunes Les autels secondaires sont bizarrement positionnés, celui de droite " coupant " le bras du transept.
Plan du rez-de-chaussée, 1er projet, 1621 (B.n.F., Est., FOL-HD-4 (9))
Plan du rez-de-chaussée, 2e projet, 1621 (B.n.F., Est., FOL-HD-4 (9))
Le projet dessiné par le père Christoph Grienberger corrige ce défaut et régularise les proportions ainsi que les circulations. La nef de trois travées est rythmée par des piliers délimitant des espaces pouvant faire office de petites chapelles latérales ; deux autels secondaires sont positionnés dans les bras du transept, à l'entrée du choeur, le maître-autel est placé dans une abside semi-circulaire.
Contrairement à un certain nombre de collèges jésuites, dont les églises ne sont érigées que plusieurs années voire décennies après leur fondation, le chantier de celle d'Aurillac débute rapidement, avant même que de nouveaux bâtiments ne soient édifiés pour le collège. Les premiers prix-faits datent de 16253 (voir Annexe n°1) ; ils sont passés avec le maître-maçon aurillacois François Quié et le maître charpentier Michel Montaignier. Le prix convenu est de 13000 livres, dont un premier acompte de 3000 livres est versé au maçon le jour de la signature. Deux autres maçons interviennent en 1632 " pour réparations à l'église "4. Y a-t-il eu des malfaçons, le gros oeuvre n'étant pas achevé ? Le 21 mai 1633, prix fait est passé avec Pierre Jolha, charpentier à Aurillac, pour une voûte en lambris, travail qui est entièrement repris en 1635 par autre charpentier de la région de Saint-Flour, Guillaume Boussughe5, lequel construit une voûte " avec clefs pendantes et culs de lampes ". On peut considérer qu'à cette date le gros-oeuvre est achevé. En témoigne une estampe conservée aux archives départementales du Cantal sur laquelle figure une vue de la ville où est l'église du collège est représentée (voir ill. ci-dessous).
Les aménagements intérieurs le seront plus tardivement : en 1656, un procès-verbal de visite du collège dit l'église inachevée : " il y manque une chapelle du côté gauche en entrant, il n'y a point aussi de sacristie, ni de clocher, ni de retable au grand autel que de bois et de toile peinte "6. De fait, le plan d'état des lieux réalisé en 1835 (ill. ci-dessous) la montre toujours dépourvue de sacristie, et présentant un chevet plat. Des vitraux sont probablement réalisés en 1657 par Dabernard, " peintre vitrier "7. Une dernière tranche de travaux est réalisée entre 1686 et 1696 : le portail date de 1688 et en 1696 le maître-charpentier Jean Carrier, qui travaille également à la construction du collège intervient pour des réparations à faire au couvert8.
En 1775, l'intérieur est modifié : les arcades des chapelles de la Vierge et Saint-Régis sont démontées et leurs pierres remployées pour la construction des portes du collège côté rue et côté cour9. Faisant occasionnellement office de salle de réunion pour la société populaire puis pour le cercle constitutionnel pendant la Révolution, elle est transformée en 1798 en salle de théâtre10 avant d'être réaffectée au collège après 180711. L'existence d'une salle de spectacles dans l'ancienne église du collège n’étant pas compatible avec la présence de jeunes gens dans l’établissement, celle-ci n'est cependant pas rendue à sa destination de lieu de culte pour la pratique religieuse des élèves avant au mieux 181312.
Elle est restaurée et sa toiture est modifiée en 1835-36, sous maîtrise d'oeuvre de l'architecte voyer Gabriel Marie Lacaze par l'entreprise Laplaise et Eusèbe13, puis transformée en musée de peinture et de sculpture en 1895. L'auteur du projet architectural n'est pas révélé dans le rapport que le directeur du musée, Henri Matre, présente au conseil municipal le 4 février 1891, le désignant comme " un peintre et architecte, souhaitant garder l'anonymat " et se faire représenter par le rapporteur du projet14. Il s'agit en fait de l'ingénieur des Ponts et Chaussées Pierre François Eugène Marion15, lequel était ingénieur du département et effectivement également peintre16. Les travaux sont conduits par l'architecte Louis Grandin17 sur la base du programme approuvé par la commune : créer une salle unique haute de six mètres avec une charpente métallique (elle sera finalement réalisée en métal et bois) et une verrière zénithale afin d'avoir un jour constant pour l'éclairage des œuvres (voir ici). Le plafond de la chapelle, trop haut pour l'accrochage de tableaux est donc rabaissé, et un vestibule d'entrée monumental avec colonnes et pilastres et ornements en staff en relief ménagé dans la première travée de l'église. La maçonnerie en pierre de taille est confiée à l'entreprise Faillitous ; les marches de l'escalier sont en pierre de Limagne, et le palier en pierre d'Echaillais18. Les objets du culte ont préalablement été transférés à la chapelle du nouveau lycée de garçons, actuel lycée Emile-Duclaux19.
En 1942, le musée est rattaché à l'école primaire supérieure de jeunes filles, dans l'idée de le transformer en salle de gymnastique. Le projet n'aboutit pas, faute de disposer de matériaux de construction pour le mener à bien20. En 1958, Pierre Moisy signale que le bâtiment " est en train d'être démoli sous prétexte qu'il n'a plus d'utilisation "21. En fait, il a été transformé en salle de conférence au rez-de-chaussée, salle de classe au premier étage et de dessin au dernier. Les travaux, confiés à l'entreprise de maçonnerie Delfour et au menuisier Fau et Rixain, sont réceptionnés en juin 195422. Entièrement remanié lors de la restructuration du collège en 2009, il ne reste de l'église d'origine que les murs, le portail, et deux colonnes à l'entrée de la salle actuelle, qui fait office de salle polyvalente.
L'église est construite pour l'essentiel entre 1625 et 1635 sur un plan du père jésuite Christoph Grienberger, et achevée entre 1686 et 1696 : clocher, portail (1688), sacristie. Elle est restaurée en 1835-36 avec modification du toit par l'architecte voyer Lacaze puis transformée en musée de peinture et de sculpture en 1895 (plans de l'ingénieur des Ponts et Chaussées Pierre-Eugène Marion, maîtrise d'oeuvre L. Grandin). En 1942, le bâtiment est rattaché à l'école primaire supérieure de jeunes filles (ancien collège des jésuites puis lycée de garçons), avec le projet de le transformer en salle de gymnastique. Le projet n'aboutit pas, et l'ancien musée est finalement transformé en salles de conférence, de classe et de dessin au dernier étage (travaux réceptionnés en juin 1954). Le bâtiment est à nouveau entièrement remanié et agrandi lors de la restructuration du collège en 2008-2009 par l'Atelier d'architecture Jean-François Laurent.
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Remplois
- Partie déplacée Commune : Aurillac Adresse : 18 rue du Collège
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Période(s)
- Principale : 2e quart 17e siècle , daté par source
- Secondaire : 2e quart 19e siècle , daté par source
- Secondaire : 4e quart 19e siècle , daté par source
- Secondaire : 3e quart 20e siècle , daté par source
- Secondaire : 1er quart 21e siècle , daté par source
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Dates
- 1635, daté par travaux historiques
- 1835, daté par source
- 1895, daté par source
- 1954, daté par source
- 2009, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Grienberger Christoph pèrearchitecte attribution par sourceGrienberger Christoph père
Père jésuite, astronome et mathématicien né au Tyrol, se forme à Prague et Vienne. En 1612 est nommé professeur de mathématiques au Collegio romano. A ce titre, chargé de la révision des plans d'édifices jésuites envoyés à Rome, conjointement avec le père Orazio Grassi. Il est l'auteur des plans d'au moins trois établissements jésuites : les collèges d'Aurillac et de Charleville, et la maison professe d'Anvers (conservés à la Bibliothèque nationale de France).
Pour une biographie détaillée, essentiellement centrée sur ses travaux scientifiques, voir GORMAN, Michael John. MATHEMATICS AND MODESTY IN THE SOCIETY OF JESUS. The Problems of Christoph Grienberger (1564-1636) [en ligne] ; URL <https://swap.stanford.edu/20120821183318/http:/hotgates.stanford.edu/Eyes/modesty/index.htm#_ftn17>
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Auteur :
Laplaise et Eusèbeentrepreneur de maçonnerie attribution par sourceLaplaise et Eusèbe
Entreprise de maçonnerie active à Aurillac dans le 2e quart du 19e siècle. Interviennent sur la chapelle de l'actuel collège Jeanne de La Treilhe
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Auteur :
Grandin Louis Martin Alexismaître d'oeuvre, architecte communal attribution par sourceGrandin Louis Martin Alexis
Diplômé de l'école des beaux-arts de Paris, section architecture. Architecte de la ville d'Aurillac (Cantal) à la fin du 19e siècle. Maître d'oeuvre de la transformation de la chapelle du lycée d'Aurillac (ancien collège des jésuites) en musée en 1895-1897. Construit l'hôtel de ville d'Aurillac entre 1893 et 1895 dans un style éclectique relevant du néo-Renaissance, du néo-classicisme et de références médiévales (notice base Mérimée PA15000025 : Caisse d'Epargne - Hôtel de ville (culture.gouv.fr)).
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Auteur :
Marion Pierre François Eugèneingénieur des Ponts et Chaussées attribution par sourceMarion Pierre François Eugène
Ingénieur des Ponts et Chaussées, élève du corps en 1871, auteur du plan d'alignement de Mauriac (Cantal), 1880. Donne les plans pour le musée d'Aurillac aménagé dans l'ancienne chapelle du collège des jésuites en 1895. Etait également peintre.
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Auteur :
Lacaze Gabriel Mariearchitecte voyer attribution par sourceLacaze Gabriel Marie
Architecte voyer à Aurillac, 2e quart du 19e siècle
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Auteur :
Atelier d'architecture Jean-François Laurent (1979 - )architecte attribution par sourceAtelier d'architecture Jean-François Laurent
Cabinet d'architecture créé en 1979, installé 89 rue Lafayette, Paris 9e
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Auteur :
Quié Françoismaître maçon attribution par sourceQuié François
Maître maçon à Aurillac (15) dans la première moitié du 17e s.
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Auteur :
Montaignier Michelmaître charpentier attribution par sourceMontaignier Michel
Maître charpentier à Aurillac (15) dans la première moitié du 17e s.
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Auteur :
Carrier Jeanmaître charpentier attribution par sourceCarrier Jean
Maître charpentier à Aurillac, fin 17e s.
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Auteur :
A l'origine église de plan allongé avec transept non saillant, actuellement bâtiment de plan rectangulaire comprenant un vestibule et une salle de spectacle. La façade est percée de trois baies : deux en plein cintre de part et d'autre de la porte, et un oculus dans l'axe de cette dernière. Dans le vestibule se déploie un escalier à volée droite et double volée en fer à cheval avec rampe en fer forgé, limon en pierre de taille et palier en dalles de pierre appareillées. Le mur qui sépare le vestibule de la salle est orné sur ses deux faces d'un décor d'architecture constitué de colonnes, pilastres et ornements en staff en bas-relief.
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Toitsardoise
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Plansplan allongé, plan rectangulaire régulier
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Couvertures
- toit à longs pans brisés croupe
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier symétrique en maçonnerie
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État de conservationremanié
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Statut de la propriétépropriété du département
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Éléments remarquablesporte
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Protectionsinscrit MH partiellement, 1930/10/11
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Précisions sur la protection
Porte d'entrée : inscription par arrêté du 11 octobre 1930
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Référence MH
Le vestibule, remanié pour servir d'entrée monumentale au musée d'Aurillac, mérite d'être également signalé.
- © Bibliothèque nationale de France
- © Bibliothèque nationale de France
- © Bibliothèque nationale de France
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- © Archives départementales du Cantal
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- © Musée d'art et d'archéologie d'Aurillac
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- © Atelier d'architecture Jean-François Laurent
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- © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
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Documents d'archives
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AD Cantal : 3 E 29/26. Etude de maître Pierre Contrastin, notaire à Aurillac : acte de vente de la propriété Cabrol au père Parra en vue de la construction de l'église du collège, 28 octobre 1622
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AD Cantal : 3 E 29/29. Etude de maître Pierre Contrastin, notaire à Aurillac : prix-faits de maçonnerie et charpente pour la construction de l'église du collège, 1625
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AD Cantal: E DEP 1500/221. Archives communales d'Aurillac. Collège des jésuites - revenus et travaux, 1633-1662 ; ancienne cote : GG 31
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AD Cantal : 27 J 172. Fonds Delmas - Collège d'Aurillac. Carnets, notes manuscrites, dont copie du prix-fait de l'église, 19e siècle.
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AD Cantal : E DEP 1500/277. Archives communales d'Aurillac. Biens des jésuites, compte des revenus et dépenses du collège d'Aurillac, 1762-1791 ; ancienne cote : GG 78
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AD Cantal : E DEP 1500/1487. Archives communales d'Aurillac. Réparations à l’église du collège, adjudications du 22 mars 1835
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AD Cantal : E DEP 1500/1509. Musée. Ecole municipale de dessin. Bibliothèque, 1829-1927
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AD Cantal : E DEP 1500/1510. Création d'une salle de théâtre dans l'ancienne église du collège, ventôse an VII / février 1799
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AC Aurillac : 1 D 1/7. Registre des délibérations du conseil municipal, an VII-an VIII (1798-1800)
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AC Aurillac : 1 D 1/19. Registre des délibérations du conseil municipal, 1889-1892
fol. 72 -
AC Aurillac : 1 D 1/20. Registre des délibérations du conseil municipal, 1893-1895.
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AC Aurillac : 1 D 1/32. Registre des délibérations du conseil municipal, 1953-1958
p. 280-281
Bibliographie
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DELATTRE, Pierre. Les établissements des Jésuites en France depuis quatre siècles ; répertoire topo-bibliographique publié à l’occasion du 4e centenaire de la compagnie de Jésus, 1540-1940. Enghien : Institut supérieur de théologie, 1949
vol. 1, col. 405 -
GERBEAU Lucien. Constructions et réparations d’édifices religieux après l’occupation calviniste d’Aurillac, Revue de la Haute-Auvergne, janv.-mars 2008, t. 70
p. 19-27 -
Revue de la Haute-Auvergne / publiée par la Société des lettres, sciences et arts "La Haute-Auvergne ". Clermont-Ferrand : typogr. et lith. G. Mont-Louis, 1899-...
1902, fasc. 2 p. 73-74 -
MOISY, Pierre. Les églises de l'ancienne assistance de France. Rome : 1958
p.167
Documents figurés
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[Thèse soutenue au collège d'Aurillac] / Ganière Jean (graveur, imprimeur), Viallanes Léopold (imprimeur), 1640. 1 Est. : burin, papier beige (AD Cantal, 449 F 1).
La gravure, signée Ganière (Jean Ganière, graveur et imprimeur à Paris, décédé en 1666) a été commandée à ce dernier par les jésuites du collège d'Aurillac en 1640, et payée 450 livres (AD Cantal, E DEP 1500/36). Le texte est imprimé postérieurement, en 1714 (date portée)
Un second exemplaire de cette estampe, découpé et réassemblé, est conservé au Musée d'art et d'archéologie d'Aurillac (Ni.1644.Affiche.01) : https://bibliotheque-numerique.aurillac.fr/notices/item/2161-affiche-these-de-philosophie?offset=1
Pour une analyse iconographique de la gravure, voir VERNIERE A. Lettre de Léon Godefroy à son père Théodore Godefroy l'historiographe (du 11 septembre 1645). In Revue de la Haute-Auvergne, 1901, t. 3, p. 110-112.
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Plans, coupes et élévations de l'église du collège d'Aurillac, avec projet de reconstruction des portions de murs surplombés et de son toit à la Philibert Delorme / Lacaze, Gabriel Marie (architecte-voyer), 12 janvier 1835. 1 Dess. plume, encre et aquarelle. (AD Cantal : E DEP 1500/1487)
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[Ensemble de plans, coupes et élévations dressés par l'architecte communal en vue de la transformation du collège de la Ville d'Aurillac] / Szumlanski Léopold (ingénieur voyer, 1814-?), 5 août et 10 octobre 1854. 12 Dess., plume, encre, lavis et aquarelle (AD Cantal, E DEP 1500/1487)
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194 - Aurillac - La porte du musée / déb. 20e s. 1 impr. Photoméc. (carte postale) ; 9x14 cm (Musée d'art et d'archéologie d'Aurillac – Collections de Photographie, 82-10-02)
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Rue du Collège. Porte de la chapelle des jésuites / Parry Léger (photographe), entre 1885 et 1920. 1 photogr. n. et b., tirage d'après négatif au gélatinobromure d'argent ; 18x24 cm (Musée d'art et d'archéologie d'Aurillac – Collections de Photographie, fonds Parry, 989.20.832)
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[Collège Jeanne de la Treihle. Travaux de restructuration : photographies du chantier] / Atelier d'architecture J.-F. Laurent v. 2006. 3 photogr. : coul. (AP Collège Jeanne de la Treihle Aurillac)
Chercheuse au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel d'Auvergne-Rhône-Alpes (2006-...)
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