Dossier d’œuvre architecture IA15000467 | Réalisé par
Guégan Catherine (Rédacteur)
Guégan Catherine

Chercheuse au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (2006-...)

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
  • enquête thématique régionale, Patrimoine des lycées
Eglise du collège des jésuites d'Aurillac, puis musée d'Aurillac, actuellement salle polyvalente du collège Jeanne de la Treilhe
Œuvre recensée
Auteur
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Auvergne-Rhône-Alpes - Aurillac-3
  • Commune Aurillac
  • Adresse 18 rue du Collège
  • Cadastre 1812 H 190 Sur les matrices cadastrales (3 P 470/1), l'église ne fait pas partie des propriétés de la commune ; 2020 AB 90 partie
  • Dénominations
    église, musée, salle
  • Genre
    de clercs réguliers de la compagnie de Jésus
  • Précision dénomination
    salle polyvalente

L'église du collège est bâtie sur un terrain acquis par les jésuites au Sieur Cabrol, portant maison en ruine et dépendances, situé rue Saint-Jacques et " confrontant du devant avec ladite rue, du derrière avec une autre rue appelée de Tras Las Sales, d'un côté avec la maison de Sire Nicolas Dumas appelée de la Baldeilhie et d'autre côté avec autre maison qu'a été des héritiers de feu Me Bernard Mosset unie audit collège et avec le jardin d'icellui collège et avec leurs autres confrontations ". La vente est conclue le 28 octobre 1622 avec le père Parra, vice recteur du collège, pour la somme de mille livres tournois (AD Cantal, 3 E 29/26 ; GERBEAU, 2008, p. 21).

Le projet de construction a été établi en même temps que celui du collège, en 1621. Soumis à Rome pour approbation, il est en partie modifié par le père Christoph Grienberger1, chargé de la révision des plans d’édifices jésuites. Le collège étant situé dans une rue étroite, l'église a été positionnée en retrait d'alignement, ménageant ainsi un semblant de parvis. La forme du plan n'évolue pas d'un projet à l'autre : elle est rectangulaire, avec un transept légèrement saillant, un chevet plat et une abside semi-circulaire. Le premier porjet comporte en effet quelques maladresses : la nef comprend trois travées au niveau du sol, mais quatre au niveau des tribunes, trois piliers y compris celui de la croisée du transept au niveau du sol, et un de plus au niveau des tribunes ! Les autels secondaires sont bizarrement positionnés, celui de droite " coupant " le bras du transept.

Plan du rez-de-chaussée, 1er projet, 1621 (B.n.F., Est., FOL-HD-4 (9))Plan du rez-de-chaussée, 1er projet, 1621 (B.n.F., Est., FOL-HD-4 (9)) Plan du rez-de-chaussée, 2e projet, 1621 (B.n.F., Est., FOL-HD-4 (9)) Plan du rez-de-chaussée, 2e projet, 1621 (B.n.F., Est., FOL-HD-4 (9))

Le projet dessiné par le père Christoph Grienberger corrige ce défaut et régularise les proportions ainsi que les circulations. La nef de trois travées est rythmée par des piliers délimitant des espaces pouvant faire office de petites chapelles latérales ; deux autels secondaires sont positionnés dans les bras du transept, à l'entrée du choeur, le maître-autel est placé dans une abside semi-circulaire.

Contrairement à un certain nombre de collèges jésuites, dont les églises ne sont érigées que plusieurs années voire décennies après leur fondation, le chantier de celle d'Aurillac débute rapidement, avant même que de nouveaux bâtiments ne soient édifiés pour le collège. Les premiers prix-faits datent de 16252 (voir Annexe n°1) ; ils sont passés avec le maître-maçon aurillacois François Quié et le maître charpentier Michel Montaignier. Le prix convenu est de 13000 livres, dont un premier acompte de 3000 livres est versé au maçon le jour de la signature. Deux autres maçons interviennent en 1632 " pour réparations à l'église "3. Y a-t-il eu des malfaçons, le gros oeuvre n'étant pas achevé ? Le 21 mai 1633, prix fait est passé avec Pierre Jolha, charpentier à Aurillac, pour une voûte en lambris, travail qui est entièrement repris en 1635 par autre charpentier de la région de Saint-Flour, Guillaume Boussughe4, lequel construit une voûte " avec clefs pendantes et culs de lampes ". On peut considérer qu'à cette date le gros-oeuvre est achevé. Les aménagements intérieurs le seront plus tardivement : en 1656, un procès-verbal de visite du collège dit l'église la dit inachevée : " il y manque une chapelle du côté gauche en entrant, il n'y a point aussi de sacristie, ni de clocher, ni de retable au grand autel que de bois et de toile peinte "5. De fait, le plan d'état des lieux réalisé en 1835 (ill. ci-dessous) la montre toujours dépourvue de sacristie, et présentant un chevet plat. Des vitraux sont probablement réalisés en 1657 par Dabernard, " peintre vitrier "6. Une dernière tranche de travaux est réalisée entre 1686 et 1696 : le portail date de 1688 et en 1696 le maître-charpentier Jean Carrier, qui travaille également à la construction du collège intervient pour des réparations à faire au couvert7.

En 1775, l'intérieur est modifié : les arcades des chapelles de la Vierge et Saint-Régis sont démontées et leurs pierres remployées pour la construction des portes du collège côté rue et côté cour8. Faisant occasionnellement office de salle de réunion pour la société populaire pour pour le cercle constitutionnel pendant la Révolution, elle est transformée en 1798 en salle de théâtre9 avant d'être réaffectée au collège après 180710. L'existence d'une salle de spectacles dans l'ancienne église du collège n’étant pas compatible avec la présence de jeunes gens dans l’établissement, celle-ci n'est cependant pas rendue à sa destination de lieu de culte pour la pratique religieuse des élèves avant au mieux 181311.

Plan de l'église en 1835Plan de l'église en 1835

Elle est restaurée et sa toiture est modifiée en 1835-36, sous maîtrise d'oeuvre de l'architecte voyer Gabriel Marie Lacaze par l'entreprise Laplaise et Eusèbe12, puis transformée en musée de peinture et de sculpture en 1895. L'auteur du projet architectural n'est pas révélé dans le rapport que le directeur du musée, Henri Matre, présente au conseil municipal le 4 février 1891, le désignant comme " un peintre et architecte, souhaitant garder l'anonymat " et se faire représenter par le rapporteur du projet13. Il s'agit en fait de l'ingénieur des Ponts et Chaussées Pierre François Eugène Marion14, lequel était ingénieur du département et effectivement également peintre15. Les travaux sont conduits par l'architecte Grandin16 sur la base du programme approuvé par la commune : créer une salle unique haute de six mètres avec une charpente métallique (elle sera finalement réalisée en métal et bois) et une verrière zénithale afin d'avoir un jour constant pour l'éclairage des œuvres (voir ici). Le plafond de la chapelle, trop haut pour l'accrochage de tableaux est donc rabaissé, et un vestibule d'entrée monumental avec colonnes et pilastres et ornements en staff en relief ménagé dans la première travée de l'église. La maçonnerie en pierre de taille est confiée à l'entreprise Faillitous ; les marches de l'escalier sont en pierre de Limagne, et le palier en pierre d'Echaillais17. Les objets du culte ont préalablement été transférés à la chapelle du nouveau lycée18.

En 1942, le musée est rattaché à l'école primaire supérieure de jeunes filles annexée au lycée, dans l'idée de le transformer en salle de gymnastique. Le projet n'aboutit pas, faute de disposer de matériaux de construction pour le mener à bien19. En 1958, Pierre Moisy signale que le bâtiment " est en train d'être démoli sous prétexte qu'il n'a plus d'utilisation "20. Entièrement remanié lors de la restructuration du collège en 2009, il ne reste de l'église d'origine que les murs, le portail, et deux colonnes à l'entrée de la salle actuelle, qui fait office de salle polyvalente.

1Astronome et mathématicien né au Tyrol en 1561 (†1636), formé à Prague et à Vienne. En 1612, le père Grienberger est nommé professeur de mathématiques au Collegio romano et à ce titre, chargé de la révision des plans d’édifices jésuites envoyés à Rome, conjointement avec le père Orazio Grassi (1583-1654). Il enseigne également l’architecture, entre 1627 et 1633, et est l’auteur des plans d’au moins trois établissements jésuites : les collèges d’Aurillac (Cantal) et de Charleville (Ardennes), et la maison professe d’Anvers (BnF, Est.).2Publiés par GERBEAU Lucien, RHA, 2008 sur la base du dépouillement du fonds des archives notariales (étude de Pierre Contrastin, AD Cantal, 3 E 29/29.3AD Cantal, E DEP 1500/225.4GERBEAU, 2008, p. 27.5AD Cantal, E DEP 1500/221.6AD Cantal, E DEP 1500/225.7AD Cantal, E DEP 1500/225 : prix fait du 6 décembre 1696.8AD Cantal, E DEP 1500/227.9AD Cantal, E DEP 1500/1510 et AC Aurillac, 1 D 1/7 (1798-1800), séances du conseil municipal des 1er brumaire et 4 ventôse an VII.10AD Cantal, 1 Q 578, an X : Lettre du maire d’Aurillac au préfet du Cantal, 2 déc. 180711AD Cantal, 1 T 163. En 1813, la commune se déclare toujours incapable de financer la restauration de l'église qui doit à nouveau être rattachée au collège, dans cadre de la demande d'érection du collège en lycée.12AD Cantal, E DEP 1500/1487.13AD Cantal, E DEP 1500/1509 ; devis des travaux sous la même cote.14Revue de la Haute-Auvergne, 1902, fasc. 2, p. 73.15Un tableau de sa main (Port de Port-en-Bessin au crépuscule) est conservé aux Archives départementales du Calvados (IPCG 2012M00185).16A la suite d'un différent avec le conseil municipal, il est remplacé par un surveillant de travaux, M. Ventax (AC Aurillac, 1 D 1/20).17AD Cantal, E DEP 1500/1509 : décompte final, 15 juillet 1897.18AC Aurillac, 1 D 19 : Registre des délibérations du conseil municipal, séance du 12 janvier 1891, fol. 72.19AD Cantal, E DEP1500/1489.20Eglises de l'ancienne assistance de France, p. 167.

L'église est construite pour l'essentiel entre 1625 et 1635 sur un plan du père Christoph Grienberger, et achevée entre 1686 et 1696 : clocher, portail (1688), sacristie. Elle est restaurée en 1835-36 avec modification du toit par l'architecte voyer Lacaze puis transformée en musée de peinture et de sculpture en 1895 (plans de l'ingénieur des Ponts et Chaussées Pierre-Eugène Marion, maîtrise d'oeuvre L. Grandin). En 1942, le bâtiment est rattaché à l'école primaire supérieure de jeunes filles (ancien collège des jésuites puis lycée de garçons), avec le projet de le transformer en salle de gymnastique. Le projet n'aboutit pas. Le bâtiment est à nouveau et entièrement remanié lors de la restructuration du collège en 2009.

  • Remplois
    • Partie déplacée Commune : Aurillac Adresse : 18 rue du Collège
  • Période(s)
    • Principale : 2e quart 17e siècle , daté par source
    • Secondaire : 2e quart 19e siècle , daté par source
    • Secondaire : 4e quart 19e siècle , daté par source
    • Secondaire : 1er quart 21e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1635, daté par travaux historiques
    • 1835, daté par source
    • 1895, daté par source
    • 2009, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Grienberger Christoph père
      Grienberger Christoph père

      Père jésuite, astronome et mathématicien né au Tyrol, se forme à Prague et Vienne. En 1612 est nommé professeur de mathématiques au Collegio romano. A ce titre, chargé de la révision des plans d'édifices jésuites envoyés à Rome, conjointement avec le père Orazio Grassi. Il est l'auteur des plans d'au moins trois établissements jésuites : les collèges d'Aurillac et de Charleville, et la maison professe d'Anvers (conservés à la Bibliothèque nationale de France).

      Pour une biographie détaillée, essentiellement centrée sur ses travaux scientifiques, voir GORMAN, Michael John. MATHEMATICS AND MODESTY IN THE SOCIETY OF JESUS. The Problems of Christoph Grienberger (1564-1636) [en ligne] ; URL <https://swap.stanford.edu/20120821183318/http:/hotgates.stanford.edu/Eyes/modesty/index.htm#_ftn17>

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Laplaise et Eusèbe
      Laplaise et Eusèbe

      Entreprise de maçonnerie active à Aurillac dans le 2e quart du 19e siècle. Interviennent sur la chapelle de l'actuel collège Jeanne de La Treilhe

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      entrepreneur de maçonnerie attribution par source
    • Auteur :
      Grandin L.
      Grandin L.

      Architecte de la ville d'Aurillac (Cantal) à la fin du 19e siècle. Maître d'oeuvre de la transformation de la chapelle du lycée d'Aurillac (ancien collège des jésuites) en musée en 1895-1897.

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      maître d'oeuvre, architecte communal attribution par source
    • Auteur :
      Marion Pierre François Eugène
      Marion Pierre François Eugène

      Ingénieur des Ponts et Chaussées, élève du corps en 1871, auteur du plan d'alignement de Mauriac (Cantal), 1880. Donne les plans pour le musée d'Aurillac aménagé dans l'ancienne chapelle du collège des jésuites en 1895. Etait également peintre.

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      ingénieur des Ponts et Chaussées attribution par source
    • Auteur :
      Lacaze Gabriel Marie
      Lacaze Gabriel Marie

      Architecte voyer à Aurillac, 2e quart du 19e siècle

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      architecte voyer attribution par source

A l'origine église de plan allongé avec transept non saillant, actuellement bâtiment de plan rectangulaire comprenant un vestibule et une salle de spectacle. Dans le vestibule se déploie un escalier à volée droite et double volée en fer à cheval avec rampe en fer forgé, limon en pierre de taille et palier en dalles de pierre appareillées. Le mur qui sépare le vestibule de la salle est orné sur ses deux faces d'un décor d'architecture constitué de colonnes, pilastres et ornements en staff en bas-relief.

  • Toits
    ardoise
  • Plans
    plan allongé, plan rectangulaire régulier
  • Couvertures
    • toit à deux pans croupe
    • verrière
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier symétrique en maçonnerie
  • État de conservation
    remanié
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune (incertitude)
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    porte
  • Protections
    inscrit MH partiellement, 1930/10/11
  • Précisions sur la protection

    Porte d'entrée : inscription par arrêté du 11 octobre 1930

Le vestibule, remanié pour servir d'entrée monumentale au musée d'Aurillac, mérite d'être également signalé.

Documents d'archives

  • AD Cantal : 3 E 29/26. Etude de maître Pierre Contrastin, notaire à Aurillac : acte de vente de la propriété Cabrol au père Parra en vue de la construction de l'église du collège, 28 octobre 1622

    AD Cantal : 3 E 29/26
  • AD Cantal : 3 E 29/29. Etude de maître Pierre Contrastin, notaire à Aurillac : prix-faits de maçonnerie et charpente pour la construction de l'église du collège, 1625

  • AD Cantal: E DEP 1500/221. Archives communales d'Aurillac. Collège des jésuites - revenus et travaux, 1633-1662 ; ancienne cote : GG 31

    AD Cantal : E DEP 1500/221
  • AD Cantal : 27 J 172. Fonds Delmas - Collège d'Aurillac. Carnets, notes manuscrites, dont copie du prix-fait de l'église, 19e siècle.

    AD Cantal : 27 J 172
  • AD Cantal : E DEP 1500/277. Archives communales d'Aurillac. Biens des jésuites, compte des revenus et dépenses du collège d'Aurillac, 1762-1791 ; ancienne cote : GG 78

    AD Cantal : AD Cantal : E DEP 1500/277
  • AD Cantal : E DEP 1500/1487. Archives communales d'Aurillac. Réparations à l’église du collège, adjudications du 22 mars 1835

    AD Cantal : E DEP 1500/1487
  • AD Cantal : E DEP 1500/1509. Musée. Ecole municipale de dessin. Bibliothèque, 1829-1927

    AD Cantal : E DEP 1500/1509
  • AD Cantal : E DEP 1500/1510. Création d'une salle de théâtre dans l'ancienne église du collège, ventôse an VII / février 1799

    AD Cantal : E DEP 1500/1510
  • AC Aurillac : 1 D 1/7. Registre des délibérations du conseil municipal, an VII-an VIII (1798-1800)

    AC Aurillac : 1 D 1/7
  • AC Aurillac : 1 D 1/19. Registre des délibérations du conseil municipal, 1889-1892

    AC Aurillac : 1 D 1/19
    fol. 72
  • AC Aurillac : 1 D 1/20. Registre des délibérations du conseil municipal, 1893-1895.

    AC Aurillac : 1 D 1/20

Bibliographie

  • DELATTRE, Pierre. Les établissements des Jésuites en France depuis quatre siècles ; répertoire topo-bibliographique publié à l’occasion du 4e centenaire de la compagnie de Jésus, 1540-1940. Enghien : Institut supérieur de théologie, 1949

    vol. 1, col. 405
  • GERBEAU Lucien. Constructions et réparations d’édifices religieux après l’occupation calviniste d’Aurillac, Revue de la Haute-Auvergne, janv.-mars 2008, t. 70

    AD Cantal
    p. 19-27
  • Revue de la Haute-Auvergne / publiée par la Société des lettres, sciences et arts "La Haute-Auvergne ". Clermont-Ferrand : typogr. et lith. G. Mont-Louis, 1899-...

    1902, fasc. 2 p. 73-74
  • MOISY, Pierre. Les églises de l'ancienne assistance de France. Rome : 1958

    p.167

Documents figurés

  • Plans, coupes et élévations de l'église du collège d'Aurillac, avec projet de reconstruction des portions de murs surplombés et de son toit à la Philibert Delorme / Lacaze, Gabriel Marie (architecte-voyer), 12 janvier 1835. 1 Dess. plume, encre et aquarelle. (AD Cantal : E DEP 1500/1487)

    AD Cantal : E DEP 1500/1487
  • [Ensemble de plans, coupes et élévations dressés par l'architecte communal en vue de la transformation du collège de la Ville d'Aurillac] / Szumlanski Léopold (ingénieur voyer, 1814-?), 5 août et 10 octobre 1854. 12 Dess., plume, encre, lavis et aquarelle (AD Cantal, E DEP 1500/1487)

    AD Cantal : E DEP 1500/1487
  • 194 - Aurillac - La porte du musée / déb. 20e s. 1 impr. Photoméc. (carte postale) ; 9x14 cm (Musée d'art et d'archéologie d'Aurillac – Collections de Photographie, 82-10-02)

    Musée d'art et d'archéologie Aurillac : 82-10-02
  • Rue du Collège. Porte de la chapelle des jésuites / Parry Léger (photographe), entre 1885 et 1920. 1 photogr. n. et b., tirage d'après négatif au gélatinobromure d'argent ; 18x24 cm (Musée d'art et d'archéologie d'Aurillac – Collections de Photographie, fonds Parry, 989.20.832)

    Musée d'art et d'archéologie Aurillac : 82-10-02

Annexes

  • Annexe n°1 : Brouillon d'un devis, 17e s. (AD Cantal, E DEP 1500/225)
Date(s) d'enquête : 2020; Date(s) de rédaction : 2020
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Guégan Catherine
Guégan Catherine

Chercheuse au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (2006-...)

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.