Dossier d’œuvre architecture IA63002813 | Réalisé par
Fougère Félicie (Contributeur)
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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  • inventaire topographique, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
Villa patronale de l'Union approvisionnement, puis siège social des Économats du Centre, actuellement immeuble de bureaux Centre Viaduc
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse 63 boulevard Cote-Blatin
  • Cadastre 2022 EW 276
  • Dénominations
    maison
  • Genre
    de négociant
  • Destinations
    immeuble de bureaux

1. Aménagement artisanal

Entre la rue de la Rotonde et l'ancien Institut de Chimie (actuel n°71 boulevard Cote-Blatin, devenu école d'architecture, à présent résidence étudiante), bordés au nord par le boulevard Cote-Blatin et au sud par la voie de chemin de fer, s'étendaient les terrains de la société d'alimentation "L'Union" et établissement-caves Ménial (parfois orthographié Maynial). Au début du XXe siècle, cette entreprise fait édifier deux bâtiments reliés entre eux par un grand hall vitré, abritant des magasins et des caves, dont l'emprise, visible entre le chemin vicinal n°11 (actuelle rue de la Rotonde) et n°94 sur le plan d'échange de terrain, correspond sensiblement à celle du supermarché actuel. A partir de 1916, des pourparlers s'engagent avec la Ville afin que l'ouverture du boulevard ne fractionne pas la propriété de l'entreprise. Il en résulte un échange de propriété, gommant le chemin n°94 traversant la propriété de la société, et impliquant que cette dernière fournisse les remblais et les matériaux nécessaires à l'ouverture du boulevard (voir délibération du 20 mai 1916 en annexe). Ceci explique la présence, au début des années 1920, du tronçon de voirie isolé, au droit des magasins de la société Ménial, alors que le boulevard Cote-Blatin n'est pas encore ouvert (au sud du boulevard de Gergovia sur l'extrait du plan de Clermont-Ferrand). La première construction édifiée dans la partie ouest de la propriété est la villa patronale (1923). Le schéma d'implantation du prolongement de la rue Ledru, qui finalement ne sera pas réalisé, nous montre l'état d'édification en 1926 : les entrepôts occupent la partie est (à gauche de l'image), dans la partie ouest (à droite de l'image) le tracé de l'ancien chemin n°94 est encore lisible qui passe à l'arrière de la villa patronale.

En 1927, la raison sociale est devenue Économat du centre. Le papier à en-tête nous apprend que c'est une société anonyme d'alimentation à succursales dont le siège social est à Clermont-Ferrand et qui dispose d'antennes à Montpellier, Saint-Etienne, Decazeville et Montluçon ; les expéditions par chemin de fer doivent porter la mention "Clermont-Ferrand, embranchement particulier", indiquant que l'entreprise dispose de voies ferrées dans son enceinte. Elle poursuit le mouvement d'édification de son terrain. Sur l'emprise du prolongement avorté de la rue Ledru est construit, dès 1928, l'aile flanquant la partie gauche de la villa, encore visible de nos jours entre cette dernière et la pharmacie. Le raccordement avec les magasins existants depuis les années 1910 s'effectue à la tout fin des années 1920 (permis daté de 1929) et se conforme architecturalement à eux. Le dessin de façade comporte en effet une travée indiquée comme déjà construite et en tout point semblable au dessin d'élévation des premiers bâtiments. Il en résulte un alignement de façade sur le boulevard persistant jusqu'au début des années 1980 (en haut sur le dessin projetant la destruction des entrepôts pour édifier un supermarché, 1981). À l'heure actuelle, cet édifice ne comporte plus que trois travées sur le boulevard et abrite une pharmacie.

L'espace situé à l'est de la villa étant alors comble, les nouvelles constructions vont se placer à l'ouest de cette dernière. En 1937, une maison de gardien est implantée à côté du portail d'entrée (elle est détruite en 1988) tandis qu'un espace vide la sépare de la villa patronale. Cette dent creuse est encore visible en 1959, sur le plan de masse de la demande de surélévation de l'entrepôt de la cour (actuelle imprimerie Chaumeil). Elle est comblée l'année suivante, en 1960, par un bâtiment reprenant la modénature de celui qui flanque la gauche de l'ancienne villa. Sans doute, cherche-t-on ainsi à harmoniser un ensemble qui alors accueille les bureaux de la société. L'espace libre séparant les Économats de l'institut de chimie est occupé, à partir de 1963, par un entrepôt.

La densité de ces constructions est visible sur la photographie IGN de 1964. Le plan de masse de 1968 permet également d'embrasser l'ensemble de l'aménagement du site : à gauche, en partant de la rue de la Rotonde, se trouve des caves et magasins séparés du local de mercerie par une voie ferrée aboutissant à un vaste quai d'expédition (situé sous l'actuel viaduc). L'entrée du site ouvre sur une cour entourée de bureaux, fermée à l'ouest (à droite sur le plan, juste avant l'institut de chimie) par l'entrepôt des légumes. L'occupation du terrain reste inchangée lors de la construction du viaduc en 1967, état qui perdure jusqu'au début des années 1980, comme l'illustre la photographie IGN de 1978 (voir en annexe, les clauses de l'accord entre la Ville et les Économats, laissant à ces derniers la jouissance des bâtiments édifiés avant la construction du viaduc mais prévoyant une zone non-aedificandi de 5 mètres de large contraignant tous projets futurs). En 1981, les Économats dépose un permis de construire pour un supermarché, situé à la place des anciens entrepôts, accompagné de places de parkings, prenant celle de la voie ferrée et du quai de déchargement. C'est alors que les contraintes de construction aux abords du viaduc vont jouer et dédensifier la parcelle. La photographie IGN de 1985 en atteste. Les Économats du Centre disparaissent et les bâtiments sont affectés, à partir des années 1990 à diverses activités commerciales (supermarché Attac, école de danse, local du parti socialiste, salle de billard...).

2. Gel de l'évolution urbaine

En vis-à-vis, le long du viaduc, les îlots ont répondu à la pression d'ouverture viaire par un émiettement et une édification incomplète (voir dossier IA63002803 et IA63002801) tandis que ce qui se joue dans l'ancien secteur d'activité des Économats du Centre est, à l'inverse, une absence de contrainte viaire qui permit une occupation privative d'un vaste secteur. Le plan de voirie illustre l'irrégularité que constitue l'ancien secteur d'activité des Économats du Centre (sur l'image au sud du boulevard, entre les rues Kessler et de la Rotonde). Les voies qui y pénètrent sont toutes des impasses desservant des parkings. Cette carence d'articulation spatiale par le réseau viaire aboutit à une absence de constitution d'îlots urbains. Les édifices, construits au fil du temps selon une logique pragmatique, ont colonisé l'espace, ont été détruits ou remodelés, parfois délaissés. Ils s'appuyaient dès l'origine sur la voie ferrée au sud, pourvoyeuse du trafic de marchandises, et sur la potentialité d'un boulevard qui durant quelques dizaines d'années ne menaient nulle part. L'activité s'y est par conséquent développée sans se préoccuper de la ville, n'hésitant pas à en gommer des éléments comme l'ancien chemin vicinal n°94 ou comme peut en attester l'avortement du prolongement de la rue Ledru, qui n'aurait certes pas résolu le problème du caractère abrupt de la retombée du plateau Saint-Jacques. Le viaduc a contourné ce problème mais a, dans un même mouvement, ancré l'aspect de confins de ville de l'ensemble de cette zone. Il est en effet la seule voie traversante mais ne peut constituer de découpe sur laquelle pourrait s'appuyer le bâti puisque son emprise au sol se résume à des piliers, et que, de plus, il fait peser une lourde contrainte sur l'édification de sa zone de passage. Au début des années 1990, la construction d'une résidence étudiante, dont les deux immeubles sont posés sans plus d'aménagement au milieu des parkings, n'a fait que prolonger le caractère peu urbain du secteur. Le PLUi de Clermont-Auvergne-Métropole a d'ailleurs identifié cet espace comme l'un de ceux qu'il convient de remodeler.

L'actuelle parcelle EW 276 est constituée par la fusion des parcelles 1259, 1260, 1261, 1285 et 1287 section K (3ième feuille) du cadastre de 1831. Réparties de part et d'autre de l'ancien chemin vicinal ordinaire n°94, dit de Rabanesse et de Saint-Jacques, elles appartenaient toutes à la société d'alimentation "L'Union" et établissement-caves Ménial qui négocie en 1916 l'échange du chemin contre l'emprise du boulevard morcelant les parcelles 1285 et 1287. Des bâtiments industriels (magasins et locaux de stockage) existent dès 1911 sur l'actuelle parcelle EW 273. Le 10 janvier 1923, l'entreprise dépose une demande d'alignement concernant la partie ouest de sa propriété, soit l'actuelle parcelle EW 276, en vue de faire édifier une villa dont la construction est précisée par l'envoi de plan le 5 mai 1923. En 1927, la raison sociale de l'entreprise devient Économats du Centre. En 1928 et 1929, des constructions sont édifiés à gauche de la villa qui rejoignent les anciens entrepôts édifiés le long du boulevard depuis les années 1910. La construction mitoyenne à droite de la villa date de 1960. Le début des années 1980 marque le remodelage du site au cours duquel les anciens entrepôts sont détruits. A la fin des années 1980, comme nous le montre un dessin de façades, la villa ne présente plus que deux bâtiments mitoyens à gauche et un à droite.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1923, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Bernard Valéry
      Bernard Valéry

      Architecte, domicilié 9, rue de Ceyrat (maison qu'il édifie). Le n°24 avenue d'Italie, daté de 1913, participe du même esprit (parement en pierre de Volvic, encadrement et bandeau en brique) que le n°12 boulevard Cote-Blatin (plans datés de 1922), bien que ce dernier soit de facture plus modeste. La villa abritant deux logements pour le compte de la société l'union approvisionnement, édifié au 63 boulevard Cote-Blatin en 1923, participe du même esprit. En 1929, les villas jumelées des 23 et 23 bis boulevard Cote-Blatin reflète un style pittoresque empruntant au vocabulaire néo-régionaliste dans lequel des accents modernes peuvent être relevés (ouvertures à pans coupés et décor de tores du n°23). La même année, il s'associe à Henri Pouzadoux. L'écriture se fait plus moderne, notamment au 36 boulevard Jean Jaurès. Ils inaugurent, toujours en 1929, un type d'immeuble à fronton, au n°25, rue Raynaud, modèle que l'on retrouve, en 1933, par les mêmes auteurs au n°13 boulevard Jean-Jaurès (au n°11, édifié en 1931, l'entrepreneur Lucien Mège s'en était inspiré). En 1933, au 77 boulevard Jean-Jaurès, l'agrandissement d'un immeuble-maison s'accompagne encore du couronnement de la travée d'entrée par un fronton à redan. En 1936, poursuivant cette collaboration pour l'immeuble du n°4 avenue d'Italie, et, en 1937, pour celui du 20 boulevard Jean-Jaurès et le 39 ter avenue de la Libération (tous deux immeubles d'angle), les architectes s'inscrivent alors pleinement dans le vocabulaire moderne. Valéry Bernard produit encore en 1955 les plans d'une modeste maison sise au n°11 boulevard Cote-Blatin (surélevée à la fin du XXe siècle).

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La gravure de 1923 présentent un ensemble de bâtiments dont la villa constitue la partie orientale. Elle est reliée à des bâtiments industriels, dont la forme s'estompe à mesure que le regard glisse vers la gauche, par un édifice de trois travées en rez-de-chaussée évoquant un magasin. La figuration gomme le caractère industriel du site, en plaçant le projet de construction dans un environnement bucolique, l'arrière-plan étant constitué de collines arborées. La demande de permis de construire de 1923 élude le bâtiment de liaison, qui semble être un magasin de stockage, et ne concerne que les édifices domestiques (voir le plan et voir la photo) : à droite une villa à trois travées avec retour de pignon et à entrée centrale sous porche, à gauche un bâtiment couronné d'un toit terrasse délimité par une balustrade, dont l'entrée est placée en extrémité droite. L'architecte Valéry Bernard, propose ainsi un édifice dont la forme et le décor ne sont pas sans rappeler l'immeuble du n°24 avenue d'Italie, daté de 1913, (soubassement en pierre de Volvic, décor d'allège alvéolé, encadrements et bandeaux en brique, voir dossier IA63002783). Les constructions qui compléteront par la suite ce premier édifice en garderont l'esprit, alors un peu désuet, peut-être parce qu'il s'accommode assez bien de l'effet de solidité cossue que l'on attend d'une entreprise commerciale. En 1928, l'architecte J. Bertrand lors de l'agrandissement et du réaménagement de la maison de gauche, conserve l'esprit du bâtiment de 1923 (soubassement en pierre de Volvic en opus incertum, arcs en briques, balustre sommitale). Dans la foulée, en 1929, le même architecte affirme son sens de l'adaptation à l'architecture du site en proposant des magasins dont la modénature est fidèle à ceux élevés plus à l'est en 1911 (actuelle pharmacie) et à laquelle il se raccorde pour former une enfilade (en haut de l'image). L'ensemble ainsi constitué gomme la chronologie d'édification, de 1911 à 1929, en proposant une modulation sur le thème industriel sans cassure de style. La maison du gardien (à présent détruite), édifiée en 1937 à l'ouest de la villa patronale, est la seule à s'écarter du modèle architectural d'origine en adoptant une sobriété géométrique plus conforme à l'époque. Cependant, elle n'est pas mitoyenne de la villa et lors du comblement de la dent creuse qui la sépare de la villa, en 1960, le parti retenu est de reprendre fidèlement l'architecture du bâtiment construit en 1928 à gauche de la villa. Le dessin d'élévation alors produit semble être celui d'un édifice aux éléments contemporains les uns aux autres.

Sur le plan de 1923, l'habitation de droite, à la forme architecturale davantage travaillée, revêt indubitablement un caractère plus bourgeois que sa voisine : elle est pourvue en rez-de-chaussée de l'enfilade du salon sur le boulevard et de la salle à manger sur cour (ont on peut voir les portes fenêtres et boiserie sur la coupe), à l'étage elle dispose de cabinets de toilette venant s'ajouter à la salle de bain et dans les combles de chambres de bonne. À la faveur d'un agrandissement et réaménagement en 1928, la modeste maison de gauche ne tarde pas à se voir attribuer des fonctions professionnelles. Le rez-de-chaussée est entièrement consacré au bureau de la comptabilité, l'étage réunit des bureaux dédiés à la publicité, au contentieux, au service commercial des entrepôts, aux employés de l'épicerie et des liquides. Un comptoirs de vente ainsi que deux salons donnant sur le boulevard permettent de recevoir la clientèle. Cette modification semble affecter la fonction de la villa proprement dite. En effet, aucun des dessins d'élévation de ce nouveau bâtiment de bureaux ne comporte de porte d'entrée. Or, le plan du rez-de-chaussée nous permet de constater que l'accès se fait par une porte percée dans le bureau indiqué au rez-de-chaussée de la villa. Nous pouvons en déduire que l'angle nord-est de la villa était alors devenu public. Il s'est révélé impossible de dater la transformation de la villa en immeuble de bureaux mais ce fait est attesté en 1960, lors de la construction de l'aile gauche. La demande de permis de construire indique l'intention de construire "sur la petite courette contiguë à une ancienne villa utlisée par les bureaux de direction du siège social". Le plan du rez-de-chaussée figure l'occupation de l'espace de l'ancienne villa (à gauche sur le plan) par des bureaux et un hall donnant accès à la salle du conseil installée dans la nouvelle aile (à droite sur le plan), l'étage est entièrement occupé par des bureaux. Ces plans nous permettent également de constater que l'escalier, qui en 1923 occupait le centre gauche de la villa a été remplacé par le hall de distribution des trois bâtiments de bureaux et qu'il a été déporté en façade, dans la travée à gauche de l'entrée sous porche desservant l'ensemble de l'édifice ainsi constitué. On peut penser que cette organisation de l'espace intervient dès la fin des années 1920. De façon assez surprenante, malgré un remodelage complet de l'aménagement de la villa et l'édification de deux nouvelles ailes, en 1928 puis en 1960, le dessin de façade d'origine a perduré, par une fidélité résistant à la transformation d'usage et à l'évolution des pratiques et des goûts architecturaux au cours du XXe siècle.

  • Murs
    • trachy-andésite moellon crépi
  • Toits
    tuile
  • Étages
    rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans pignon couvert
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour suspendu
  • Statut de la propriété
    propriété d'une société privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1454 15A. [Demande d'alignement villa pour la société l'union approvisionnement, 63 boulevard Cote-Blatin]. 10 janvier 1923

    AC Clermont-Ferrand : O216 1454 15A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1842 15A. [Demande d'alignement villa pour la société l'union approvisionnement, 63 boulevard Cote-Blatin]. 5 mai 1923.

    AC Clermont-Ferrand : O216 1842 15A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2065 18A. [Demande d'alignement immeuble bureaux pour les Économats du Centre, 63 boulevard Cote-Blatin]. 12 mai 1928.

    AC Clermont-Ferrand : O216 2065 18A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1084 19A. [Demande d'alignement magasins pour les Économats du Centre, 61 boulevard Cote-Blatin]. 31 mai 1929.

    AC Clermont-Ferrand : O216 1084 19A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 15 23A. [Demande d'alignement pour les Économats du Centre, côté Institut de Chimie, 67-69 boulevard Cote-Blatin]. 1934.

    AC Clermont-Ferrand : O216 15 23A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1152 24A. [Demande d'alignement maison de gardien, Économats du Centre, 63 boulevard Cote-Blatin]. 2 septembre 1937.

    AC Clermont-Ferrand : O216 1152 24A
  • AC Clermont-Ferrand. 1984 W 182 : PC1279. [Demande permis de construire entrepôt, 63 boulevard Cote-Blatin]. 29 avril 1954.

    AC Clermont-Ferrand : PC 1279
  • AC Clermont-Ferrand. 1989 W 446 : PC4198. [Demande surélévation entrepôt pour créer des bureaux, Économats du Centre, 63 boulevard Cote-Blatin]. 14 décembre 1959.

    AC Clermont-Ferrand : PC 4198
  • AC Clermont-Ferrand. 1990 W 42 : PC 4259. [Demande permis d'agrandir l'ancienne villa patronale, Économats du Centre, 63 boulevard Cote-Blatin]. 24 février 1960.

    AC Clermont-Ferrand : PC 4259
  • AC Clermont-Ferrand. 1993 W 110 : PC 5628. [Demande permis construire un entrepôt, Économats du Centre, 69 boulevard Cote-Blatin]. 5 mars 1963.

    AC Clermont-Ferrand : PC 5628
  • AC Clermont-Ferrand. 2050 W 1. Plans étude préliminaire [viaduc Saint-Jacques. 1963. Implantation et profil en long, coupe transversale, coupe longitudinale, portiques, élévation, plan d'ensemble, vue perpective partielle.

    AC Clermont-Ferrand : 2050 W 1
  • AC Clermont-Ferrand. 1998 W 66 : PC 7826. [Demande construire un entrepôt, Économats du Centre, 67 boulevard Cote-Blatin]. 20 février 1968.

    AC Clermont-Ferrand : PC 7826
  • AC Clermont-Ferrand. 2011 W 24 : PC 12812. [Demande tranformer un entrepôt en supermarché, Économats du Centre, 57 boulevard Cote-Blatin]. 5 février 1981.

    AC Clermont-Ferrand : PC 12812

Documents figurés

  • [Plan de la parcelle Maynial, société d'alimentation "L'union" et établissements - caves AC Clermont-Ferrand] / Ville de Clermont-Ferrand. Mars 1911. Dess. Extr. de [liasse d'archives] "boulevard sud (partie comprise entre le Pont de Naud et le boulevard Duclaux, expropriation des immeubles ou parties d'immeuble, droits de toutes natures et servitudes diverses)", AC Clermont-Ferrand série O : 1 O 224, 1916-1928.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 224
  • [Plan parcellaire figurant l'échange de terrain entre la Ville et Monsieur Menial] / Ville de Clermont-Ferrand, octobre 1916. Dess. Extr. de [liasse d'archives] "Echange de terrains entre la Ville et Monsieur Menial de la Société l'Union Approvisionnement quartier de Rabanesse. La Ville cède le sol du C.V.O N° 94 dit des Prés Bas ou de Rabanesse, entre le C.V. N° 11 et la parcelle de Monsieur Persignat ; en échange Monsieur Ménial cède plusieurs parcelles de terrain, cadastrées section K - N°1985, 1287,1289, 1290 et 1292 et comprises entre le C.V. N°11 et la propriété de Monsieur Fabre, pour l'établissement du C.V.O N° 108 - boulevard Sud", AC Clermont-Ferrand, dossier 1 O 692, "Acquisitions, expropriations : dossiers individuels boulevard sud".

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 692
  • [Demande de la ville cession terrain prolongement rue Ledru] / Ville de Clermont-Ferrand. Non daté [1925]. Dess. Extr; de [liasse d'archives] "La Ville demande à la Société l'Union Approvisionnement si elle est disposée à céder le terrain nécessaire au prolongement de la rue Ledru", AC Clermont-Ferrand, 1 O 1189.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 1189
  • Plan du calcul des surface dressé en conformité du plan d'alignement approuvé par décision de la commission départementale en date du 18 octobre 1913, boulevard sud (partie comprise entre le Pont de Naud et le boulevard Duclaux, expropriation des immeubles ou parties d'immeuble, droits de toutes natures et servitudes diverses) / Mairie de Clermont-Ferrand, voirie urbaine, Alignements. 0.002 pm. mars 1926. Dess. Extr de [liasse d'archives] "Expropriations: boulevard sud, 1921-1929", AC Clermont-Ferrand, série O : 1 O 224.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 224
  • Union Approvisionnement, entrepôts, boulevard Ledru [Cote-Blatin], aménagement du tout-à-l'égout / Ollier [?] architecte. 14 octobre 1926. Dess. Extr. de [liasse d'archives] "Arrêté d'alignement, autorisation de construire et divers", AC Clermont-Ferrand, série O216, dossier n°1842 15A.

    AC Clermont-Ferrand : O216 1842 15A
  • Façade boulevard Cote-Blatin / André Grespan. 2 décembre 1988. Impr. num. Extrait de [liasse d'archives] [demande de permis de construire], AC Clermont-Ferrand, PC 063 113 88 Y0438

    AC Clermont-Ferrand : PC 063 113 88 Y0438
  • [Boulevard Cote-Blatin, du carrefour avenue Léon Blum au quartier Rabanesse] / [extrait d'une vue aérienne] IGN, mission n°5676, réf. C2531-0211_1964_CDP4038_5676. 1 : 8579. 05 juillet 1964. Photogr. pos.

    IGN : C2531-0211_1964_CDP4038_5676
  • [Boulevard Cote-Blatin, du carrefour avenue Léon Blum au quartier Rabanesse] / [extrait d'une vue arérienne] IGN, mission n°276, réf. C2530-0011_1978_FR9031_0276. 1 : 14798. 11 septembre 1978. Photogr. pos.

    IGN : C2530-0011_1978_FR9031_0276
  • [Boulevard Cote-Blatin, du carrefour avenue Léon Blum au quartier Rabanesse] / [extrait d'une vue arérienne] IGN, mission n°578, réf. C3410-0141_1985_IFN63-03_0578. 13 juillet 1985. Photogr. pos.

    IGN : C3410-0141_1985_IFN63-03_0578
  • Campus : Kessler-Rabanesse - Cote Blatin-Viaduc / Clermont-Auvergne-Métrolope. Document arrêté le 28 juin 2024. Dess. Extr. de : [Dossier du PLU de la Matropole] Tome 3 : Orientation d'aménagement et de programmation, section 3.3. -OAP Projets Clermont-Ferrand, p.5

Annexes

  • Délibération du conseil municipal, 20 mai 1916, concernant l'échange de terrain avec la société "L'union approvisionnement"
  • Projet de construction d'un supermarché dans la zone du viaduc Saint-Jacques, 1981
Date(s) d'enquête : 2024; Date(s) de rédaction : 2024
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Fougère Félicie
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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