Dossier d’œuvre architecture IA63002826 | Réalisé par
Fougère Félicie (Contributeur)
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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  • inventaire topographique, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
immeuble à logements économiques et familiaux, dit HLM Glangeaud
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse 31 boulevard Cote-Blatin
  • Cadastre 2022 EW 46
  • Dénominations
    immeuble
  • Appellations
    Immeuble à logements économiques et familiaux

L'immeuble du n°29 boulevard Cote-Blatin s'inscrit dans la deuxième vague d'édification du lotissement Rouganne (dossier IA63002847). Cette période s'étend de 1950 à 1961, elle prend le relai de la première vague d'édification (1935 à 1941) après une césure que l'on peut expliquer par la Seconde Guerre mondiale. Le plan prévisionnel de découpage des lots du terrain Rouganne date de 1934, de l'eau a coulé sous les ponts, et l'on peut constater que les emprises parcellaires de cette seconde période de construction ne se conforment plus vraiment au dessin préalable. L'implantation de l'immeuble du n°31 s'établit par fusion de deux lots et demi (les n°3, 4 et la moitié du n°5), emprise que reprendra quelques années plus le n°35 mitoyen (par fusion du n°7, 6 et de la seconde moitié du n°5). Le lot n°5 englobera le centre de la parcelle arrière n°32 afin d'offrir une allée de desserte au cœur d'îlot depuis la rue Philippe-Glangeaud (voir le plan de cadastre actuel). Il semblerait que Mme Rouganne, propriétaire du terrain jusqu'en décembre 1955, ait déposé, en mai 1954, le projet d'un immeuble de 21 mètres de hauteur implanté en recul de 3 mètres par rapport à l'alignement, projet établit sur l'emprise des lots déjà fusionnés (voir en annexe l'extrait de la commission départementale d'urbanisme du 10 octobre 1955). Ce projet de l'architecte Arnaud ne fut pas réalisé (nous n'en avons par ailleurs pas trouvé trace dans les archives), la propriétaire n'ayant pu obtenir que la hauteur soit portée à 26 mètres afin de rentabiliser, par l'adjonction de 2 étages, les coûts de l'ascenseur nécessaire. L'enveloppe du bâtiment finalement réalisé par Vigneron et Bosser respecte finalement la première option puisque la solution pour développer l'immeuble à une hauteur des 23 mètres autorisés par un recul d'alignement de 5 mètres est ramené à la hauteur de 21 mètres avec 3 mètres de recul afin de "respecter la zone non aedificandi grevant le fond de la propriété" (courrier du directeur des services départementaux le 14 décembre 1955 à Maître Adnot, notaire). L'immeuble y perd un étage (6 étages au lieu de 7).

Les craintes de la Commission départementale concernant la cassure de rythme urbain que pourrait constituer un immeuble de ce gabarit montrent qu'elle pense la ville en termes d'harmonie (voir les deux annexes). Le risque d'une rupture d'échelle qui interviendrait si une maison individuelle occupait la parcelle mitoyenne encore disponible ou bien celui de la pérennisation de cette dent creuse sont rapidement balayés, un projet à l'enveloppe similaire voyant le jour au n°35 dès novembre 1958 (soit quelques mois après l'inauguration du n°31). Les préoccupations d'inscription de l'immeuble du n°31 dans le tissu urbain ne sont d'ailleurs pas absentes : l'avancée du rez-de-chaussée forme une marge de reculement bâti permettant d'atténuer l'effet de rupture d'alignement sur le boulevard. Un léger retrait persiste cependant qui fait apparaître un pignon d'alignement à gauche et se retrouvera à droite de l'immeuble voisin, édifié selon le même principe. La Commission peut donc se rassurer : on assiste ainsi à la création d'une séquence urbaine cohérente, le n°35 combine sa forme à celle du n°31 malgré la diversité des acteurs, maître d'ouvrage et maître d'œuvre n'étant pas les mêmes. De fait, on retrouve deux des trois protagonistes mentionnés à propos de l'immeuble du 29 boulevard Cote-Blatin (dossier IA63002797) : partant de la communauté d'esprit qui anime Valentin Vigneron et Jean Bosser, ce dernier suivant à bien des égards le sillage du premier, il s'agissait alors d'opérer des comparaisons stylistiques entre eux. Une vingtaine d'années plus tard, nous voyons comment ils collaborent puisqu'ils s'associent pour édifier l'immeuble du n°31. Le fils de Marius Lanquette, Paul, prend leur suite, dans le même esprit, pour construire l'immeuble du n°35.

La cession de la portion de terrain nécessaire à l'ouverture du boulevard et à l'établissement d'un carrefour avec la rue des Prés-Bas est actée par la délibération municipale du 29 décembre 1922. Le terrain reste en friche jusqu'à son achat à Mme Rouganne suivi de la demande de permis de construire, en décembre 1955, par M. Gaston Mathieu, gérant statutaire de la Société civile immobilière consulaire de Clermont-Ferrand-Issoire sous la maîtrise d'œuvre des architectes Valentin Vigneron et Jean Bosser. Le certificat d'achèvement date du 7 juillet 1958. La plaque apposée à l'entrée de l'immeuble précise que l'immeuble "construit sur l'initiative de la chambre de commerce de Clermont-Ferrand Issoire durant le mandat de président de M. Antonin Coulaudon avec les capitaux provenant de la contribution patronale [?] sur les salaires a été inauguré le 15 juillet 1958". La parcelle mitoyenne ne reste en friche que jusqu'au début des années 1960. La continuité du bâti est obtenue par la dépose d'une demande de permis de construire, en novembre 1958, sous la maîtrise d'œuvre de l'architecte Paul Lanquette.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1955, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Vigneron Valentin
      Vigneron Valentin

      Architecte, né le 17 février 1908, mort le 04 novembre 1973. Adresses: 22 bis place de Jaude dans les années 1930 ; 3 rue Colbert dans les années 1940 et 1950. Les plans sont formellement dessinés selon la même disposition: filets d'encadrement comprenant l'identité du propriétaire et la localisation en marge supérieure et identification de l'architecte, lieu et date en marge inférieure.

      En décembre 1933, Valentin Vigneron livre les plans non signés de la maison que l'ingénieur Chabran fait construire au n°38 du boulevard Cote-Blatin (la mention, M. Vigneron, 22 bis place de Jaude, se trouve sur la lettre de demande de construction). Les plans s'avèrent plus frustes que la maison elle-même, déjà très caractéristique des réalisations de cet architecte. Les plans de la maison du n°40 boulevard Cote-Blatin datent de juin 1933 et ne sont pas signés. Aucune signature n'est reportée dans le dossier de permis de construire. Le style est moins ouvertement moderne que le n°38 bis (décor du tympan et touche classique du bossage de la porte d'entrée). Cependant, on note une communauté d'esprit dans la distribution intérieure du n°38 bis daté de 1935 et dûment signé par Valentin Vigneron. Enfin, le projet d'agrandissement arrière du n°40, au milieu des années 1950, est élaboré par Valentin Vigneron (son adresse est alors au n°3 rue Colbert à Clermont-Ferrand). Si l'on admet que le n°40 est de la main de Vigneron, comme l'atteste par ailleurs la publication d'Agnès Pranal et Christophe Laurent (Valentin Vigneron, architecte clermontois du XXe siècle, Itinéraire du Patrimoine), on peut avancer que son style mue au cours de l'année 1933 pour adopter la pate qui sera la sienne dans la seconde moitié des années 1930. L'immeuble du n°29 boulevard Cote-Blatin, dont le projet date de 1937, en est un exemple éclatant, ce qui n'empêche l'adoption d'une écriture plus classique, en 1936, pour l'immeuble du n°22 boulevard Jean-Jaurès. Mitoyen du n°29 boulevard Cote-Blatin, le n°31 poursuit l'illustration de l'évolution du style de Valentin Vigneron (en association avec Jean Bosser) au milieu des années 1950 (façade à plan vertical marqué par le quadrillage de l'ossature des planchers et murs de refend en béton). Ce secteur est compris dans le lotissement "Rouganne" dont le périmètre s'étend jusqu'à la voie ferrée. Dans la rue Philippe-Glangeaud qui dessert ce lotissement, Valentin Vigneron signe trois immeubles et une maison. Les immeubles des n°38 et 18, édifiés en 1941, sans mitoyen, en rupture de style et d'échelle avec les maisons voisines, sont d'une écriture très épurée, voire simple, ne sacrifiant au décor que par la présence d'un fronton cintré à base interrompue en courronement d'une travée. Une dizaine d'année plus tard (premis de construire en 1952), Valentin Vigneron édifie sur la parcelle mitoyenne au n°16, un immeuble représentatif de son inspiration au marquage des lignes géométriques, niveaux limités et liaison des travées formant un quadrillage de façade (n°16, rue Philippe-Glangeaud). Toujours sur le boulevard Cote-Blatin les immeubles jumeaux des n° 56 et 58, édifié pour le compte de l'office HLM du Puy-de-Dôme (permis de construire en 1953) offre une sobre écriture horizontale structurée par la limitation des niveaux. Seule concession à l'esthétique: les sculptures en ronde-bosse de Raymond Coulon couronnant les porches d'entrée.

      En 1955, lors du réaménagement de la villa Bergougnan (148 boulevard Lavoisier) pour la transformer en immeuble de bureaux de la chambre du commerce, Valentin Vigneron respecte l'intégrité du bâtiment et conserve les éléments intérieurs (décors, placards de l'étage, cheminées). Il ajoute une colonnade extérieure délimitant la cour et le jardin latéral. En 1958, il s'associe à Antoine Espinasse pour construire une salle de congrès dans l'enceinte de la Chambre de commerce sise au 148 boulevard Lavoisier. Ce bâtiment est situé derrière l'ancienne villa Bergougnan, le long de la rue de Nohanent. En 1968, il dessine les plans de l'immeuble d'angle du 15-15 bis avenue d'Italie.

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      architecte attribution par source, signature
    • Auteur :
      Bosser Jean
      Bosser Jean

      Jean Bosser (Clermont-Ferrand, 22 février 1902, idem, 21 octobre 1984) suivit des études d’architecture à l’École spéciale des Travaux publics de Paris puis à l’École des Beaux-Arts de Clermont-Ferrand. Il exerça de 1926 à 1980 à Clermont-Ferrand et plus largement dans le Puy-de-Dôme. A la fin des années 1930, il est domicilié au 72 rue Lamartine. En 1965, son adresse est au n°7 du boulevard Duclaux.

      A conçu en particulier, en 1951, les plans de certaines des maisons "Castor" de la cité ouvrière Michelin du Clos-Chanturgue à Clermont-Ferrand. Aurait également travaillé à des projets pour l'établissement thermal du Mont-Dore à la fin des années 1940. En 1933, il dessine les plans de l'immeuble du 16 boulevard Fleury. En 1938, il produit les plans de la maison du n°1 du boulevard Cote-Blatin. La contrainte parcellaire, un triangle donnant au bâtiment le profil d'un fer à repasser, l'amène à adopter une solution que l'on voit émerger en 1937 chez Valentin Vigneron (renfoncement de travée ménageant des balcons), au n°29 du boulevard Cote-Blatin ou au n°110 du boulevard Lavoisier, sans que pour autant le morphologie parcellaire ait induit ce parti pour ce dernier. En 1939, pour l'immeuble du n°64 boulevard Jean Jaurès, Jean Bosser persiste dans l'inspiration de Vigneron (traitement de la travée centrale rappelant celle du 24 boulevard Jean-Jaurès, V. Vigneron architecte, 1938). C'est également en 1939, qu'il s'écarte de cette source d'inspiration pour l'immeuble de la Caisse primaire de l'Union des sociétés de Secours mutuel, au 50 avenue d'Italie puis, au début des années 1960 pour sa surélévation. La même année (1939), il produit les plans d'un immeuble au n°9 boulevard Cote-Blatin. La réalisation s'écarte du projet d'origine et y perd son sobre équilibre. En 1955, il s'associe à Valentin Vigneron pour réaliser l'immeuble du n°31 boulevard Cote-Blatin. Si la symétrie de l'édifice peut renvoyer à la manière de Jean Bosser, le marquage des lignes horizontales et verticales de l'ossature en béton du bâtiment est volontiers employé par Valentin Vigneron. On retrouve cette affection pour la symétrie dans l'immeuble édifié dans le courant des années 1960 au n°3 du boulevard Jean-Jaurès. Dans la seconde moitié des années 1960, il est architecte d'opération de la résidence universitaire de jeunes filles, située au n°24 du boulevard Cote-Blatin (maître d'ouvrage, ministère de l'éducation nationale, direction de l'équipement scolaire universitaire et sportif, office public d'HLM de la ville de Clermont-Ferrand, architecte en chef Auguste Arsac, 180 bd Saint-Germain, Paris). Cette opération immobilière implantée sur une vaste parcelle ne s'affranchit pas totalement de l'alignement par rapport à la voirie mais adopte une non mitoyenneté ménageant un effet de dissémination en bord de rive.

      Le milieu catholique lui assura des commandes importantes, parmi lesquelles, à Clermont-Ferrand, dans les années 1930, les chapelles de la Maîtrise (école Massillon) et de l’évêché (rue Pascal), et dans les années 1950-1960, les églises Notre-Dame de la Route, Sainte-Thérèse de l’Enfant-Jésus (avec Jean-Louis Douat), Sainte-Bernadette et Saint-Austremoine.

      Il construisit aussi à Clermont-Ferrand trois cinémas : l’« ABC », « L’Ambiance », « Le Globe », ainsi que la salle Saint-Genès (à l’arrière du n° 9 place Michel-de-l’Hospital). Il fut enfin le maître d’œuvre de nombreuses maisons (certaines très modestes) et d’immeubles d’habitation (par exemple à Clermont-Ferrand n° 9 place Michel-de-l’Hospital et n° 13 avenue des États-Unis).

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      architecte attribution par source, signature

Valentin Vigneron et Jean Bosser mettent en œuvre une formule, qui connaît son heure de gloire dans les années 1950-1960, dans laquelle le principe constructif s'affirme en façade par la mise à nu de l'ossature de soutien. Les piliers et planchers en béton armé, visibles en façade, créent un quadrillage qui, en sus de limiter et de lier les niveaux, encadre chacune des baies. La rigueur de ce principe, qu'une stricte symétrie renforce encore, est cependant atténuée par la discrète ordonnance des ouvertures (une baie à trois vitrages ponctue les séries de deux baies à deux battants). Paul Lanquette, pour l'immeuble voisin du n°35, exclue à la fois l'ordonnance et la symétrie, proposant une façade plus déstructurée sur laquelle les lignes verticales des travées sont entrecoupées par des bandeaux horizontaux semblant aléatoirement répartis et tout aussi irrégulièrement interrompus. Si le parti semble alors plus complexe sur le dessin, il perd en puissance en réalité pour être moins directement lisible. Le n°35 se conforme au toit terrasse qu'on attendrait également pour le n°31 et qui, de fait, était prévu sur les plans et devis. Nous n'avons pas trouvé d'explication à ce revirement (résultat des négociations de hauteur d'édifice ou bien goût du propriétaire ?).

Comme pour l'immeuble du n°29 (dossier IA63002797), la symétrie de façade correspond à celle de la distribution si ce n'est qu'elle est ici davantage partitionnée. Les étages logent quatre appartements, disposés en deux vis-à-vis de part et d'autre de la cage d'escalier, dont les pièces d'habitation sont conçues en miroir. On y lit également la disparition de la filiation du séjour et de l'ancien couple formé par la salle à manger et le salon. Le séjour ne marque plus la fusion de ces deux pièces et dispose d'un espace à peine plus grand que celui des chambres. Sans doute, la modestie des appartements l'explique mais c'est une tendance qui ira en se généralisant. Sa nouvelle identité lui fera entamer un dialogue privilégié avec la cuisine.

  • Murs
    • béton béton armé crépi
  • Toits
    tuile
  • Étages
    6 étages carrés
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier droit
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

Immeuble inscrit sur la liste des éléments identifiés au titre de patrimoine du PLUI Clermont-Auvergne-Métropole, juin 2024

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand, 2074 W 138, lotissement Rouganne, 1934

    AC Clermont-Ferrand : 2074 W 138
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, PC 2143, permis de construire, immeuble, 31 boulevard Cote-Blatin, 1955

    AC Clermont-Ferrand : PC 2143
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, PC 3720, permis de construire, immeuble, 35 boulevard Cote-Blatin, 1958

    AC Clermont-Ferrand : PC 3720

Bibliographie

  • LAURENT, Christophe, PRANAL, Agnès. Valentin Vigneron, architecte clermontois du XXe siècle, Puy-de-Dôme (Itinéraires du Patrimoine ; 229). Lyon : Lieux Dits, 2000.

    Région Auvergne-Rhône-Alpes, SRI, site de Clermont : CDP COLL

Documents figurés

  • AC Clermont-Ferrand, série 1 O 471 à 1O 500, dossier n°1 O 478, Acquisitions, expropriations, dossiers individuels, 1906-1930. Acquisition Dubreuil, Mosmier, chemin vicinal ordinaire n°108, bd Cote-Batin. Plan annexé à l'extrait de délibération du conseil municipal du 29/12/1922. Tirage sur papier, échelle 0.002 p/m.

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 478
  • AC Clermont-Ferrand, boîte 1 O 222 à 1 O 225, dossier n°1 O 224, 1916-1928, boulevard sud (partie comprise entre le Pont de Naud et le boulevard Duclaux, expropriation des immeubles ou parties d'immeuble, droits de toutes natures et servitudes diverses), plan du calcul des surfaces. Crayons et impression papier, échelle 0.002 pm, mars 1926

    AC Clermont-Ferrand : 1 O 224

Annexes

  • Extrait du procès-verbal de la réunion de la section du permis de construire de la commission départementale d'urbanisme du 10 octobre 1955
  • Commission départementale d'urbanisme du 16 novembre 1955
Date(s) d'enquête : 2024; Date(s) de rédaction : 2024
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Fougère Félicie
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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Articulation des dossiers