Dossier d’œuvre architecture IA63002847 | Réalisé par
Fougère Félicie (Contributeur)
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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  • inventaire topographique, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
Lotissement Rouganne
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Hydrographies
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse rue Philippe-Glangeaud , rue de la Rotonde , rue Montgolfier , boulevard Cote-Blatin
  • Dénominations
    lotissement
  • Appellations
    Rouganne
  • Parties constituantes non étudiées
    immeuble, maison

Le lotissement Rouganne est situé entre la voie ferrée (direction Montluçon) et le boulevard Cote-Blatin. Il se présente à l'origine comme un isolat d'habitat au cœur d'une zone industrielle. Dans les années 1950, les environs sont décrits comme tels dans une note des Economats du Centre : "ce lotissement est bordé à l'Ouest par l'entrepôt des Économats du centre, au sud par le terrain où se trouve avec le hangar aux emballages, l'embranchement particulier de cette société [à la voie de chemin de fer] ; à l'est par l'entreprise de transport Mars et Cie et par l'entrepôt de la société des Pétroles ; au nord, séparé seulement par le boulevard, l'entreprise des travaux publics Verdier ainsi que les cartonnages Prima". Ceci recoupe nos observations sur ce secteur du boulevard Cote-Blatin (voir dossier du boulevard Cote-Blatin IA63002794). Comme on le constate sur un plan parcellaire présentant le projet de prolongement du cours Sablon et indiquant l'emplacement du lotissement, la Ville ne prévoit pas à l'origine d'ouverture de voies sur ce terrain. Ainsi la morphologie urbaine, composée de deux îlots trapézoïdaux et d'un îlot en bande jouxtant la voie ferrée est le fait du lotisseur. La loi du 19 juillet 1924 impose de déposer un cahier des charges auprès des services d'urbanisme afin de s'assurer que l'aménagement est conforme aux normes d'hygiène. Ce dialogue entre contrainte publique et libre entreprise privée n'est pas toujours celui d'une entente cordiale.

Viabilisation et aménagement des voies

Le 2 mai 1930, une délibération du conseil municipal accepte le don de M. Rouganne de la frange de sa propriété nécessaire au redressement de la rue de la Rotonde (liseré jaune à l'est de cette rue). Le plan Cornudet prévoit en effet ce redressement. La Ville est donc censée aménager la rue de la Rotonde. C'est chose faite dans la partie hachurée en jaune sur le plan d'alignement. Cependant, en 1934, après avoir déposé son projet de lotissement, M. Rouganne demande à la municipalité de procéder de même pour la suite de la rue (en jaune sans hachure sur le même plan). La réponse renvoie à la loi du 19 juillet 1924 sur les lotissements qui impose aux lotisseurs de céder gracieusement à la ville l'emprise des rues desservant leur lotissement, il n'y a plus là acte de générosité de leur part, la viabilisation de ces rues étant à la charge des lotisseurs, il y a ici obligation d'un investissement financier à destination collective. Dans le programme du lotissement, en 1934, M. Rouganne s'engage à aménager les deux voies qui desserviront le lotissement et à les pourvoir d'une canalisation menant les eaux à l'égout collecteur du boulevard Cote-Blatin. Cependant, en 1940, la Ville adresse un courrier au lotisseur le sommant de finir de réaliser les canalisations des voies. La pomme de discorde provient de la viabilisation de la rue Montgolfier qui scinde le lotissement en deux îlots bordant le boulevard Cote-Blatin. Si les lots sont prédéfinis sur le plan annexé au cahier des charges, le programme du lotissement précise qu'ils seront constitués au gré des acquéreurs pour peu qu'ils possèdent leurs façades sur une voie. Ainsi, une fusion ou une scission des lots peut intervenir. Or, c'est ce qui semble se profiler dans la rue Montgolfier pour laquelle le plan de lotissement ne prévoit pas de lot indépendant, les parcelles la longeant donnant soit sur le boulevard Cote-Blatin soit sur la rue Philippe-Glangeaud et pouvant se brancher sur l'un ou l'autre réseau. Le propriétaire de la parcelle d'angle du boulevard Cote-Blatin et de la rue Montgolfier prévoit de faire construire un habitat indépendant de son propre immeuble, habitat dont la façade donnerait sur la rue Montgolfier et qui devrait pouvoir profiter d'un branchement sur les canalisations de cette dernière. M. Rouganne explique, en 1942, qu'il a procédé à la viabilisation de la rue Philippe-Glangeaud mais qu'il renâcle à mettre en œuvre celle de la rue Montgolfier puisqu'il n'était pas prévu qu'un habitat indépendant s'y implante. Il devrait rendre habitable et commercialisable une parcelle issue d'une scission de l'emprise d'origine par des travaux de viabilisation coûteux alors que c'est l'actuel propriétaire de la parcelle qui profiterait des revenus financiers de la vente ou de la location. Le manque à gagner est pour lui manifeste, d'autant que rien, si ce n'est une préoccupation hygiéniste, donc vertueuse, d'aérer le quartier, ne le contraignait à ouvrir cette voie.

Type de constructions

Autre polémique intervenant quelques années plus tard1 : le type d'occupation permis sur les terrains du lotissement. En 1934, le cahier des charges imposé aux acquéreurs et visé par le préfet, précise que la construction "d'une villa, maison ou habitation bourgeoise ou de rapport, avec ou sans boutique" devra intervenir dans les deux années consécutives à l'achat du terrain. Ces constructions devront "être faites en ciment armé, pierres ou briques, et être couvertes en tuiles ou ardoises ou terrasses", ceci afin d'éviter des constructions légères qui ne sont tolérées qu'à titre de communs. En 1937, les Economats du Centre qui occupent un vaste terrain situé à l'ouest de la rue de la Rotonde, s'étendent sur la partie sud du lotissement Rouganne, gagnant ainsi l'est de la rue de la Rotonde (partie supérieure du plan du lotissement, où les fonds de parcelle suivent la courbe de l'embranchement de la voie ferrée desservant les Economats du Centre). Dans les années 1950, alors que les Economats projettent d'installer un nouvel entrepôt, comme en atteste le plan de la demande de permis déposée le 30 juin 1954, certains propriétaires du lotissement se plaignent auprès de la Ville des nuisances déjà engendrées par l'entreprise (encombrement de la rue, bruits..). Ils dénoncent la modification apportée au cahier des charges annexé à l'acte de vente des parcelles aux Economats, en 1935, qui stipule alors que peuvent s'y "établir des maisons d'habitation, des villas et des jardins, et tels établissements ou professions que les vendeurs jugeront bon d'autoriser" à l'exclusion des établissements dangereux, incommodes ou insalubres. Les termes soulignés le sont par l'avocat consulté par la Ville s'inquiétant d'avoir à instruire un nouveau permis de construire des Economats. Si la Ville s'inquiète au point de faire appel à un juriste, c'est qu'à la fin des années 1950, l'affaire a été portée devant les tribunaux qui déboutent les plaignants en 1957 (tribunal civil de Clermont-Ferrand) et 1958 (cour d'appel de Riom). L'analyse du juriste est particulièrement intéressante en ce qu'elle souligne le conflit entre un cahier des charges à valeur contractuelle et le code de l'urbanisme proprement dit. Les acquéreurs s'engagent sur la foi d'un document qui ne peut valoir en cas de constestation d'un usage qu'ils jugeraient peu conforme. La preuve de la modification du cahier des charges pourrait permettre aux acquéreurs de réclamer au vendeur des dommages et intérêts mais pas d'imposer aux Economats la destruction de leurs entrepôts ou d'obliger la Ville à refuser un nouveau permis de construire. Les propriétaires du lotissement pointent alors la "grave lacune" des lois du 14 mars 1919 et du 19 juillet 1924 sur les lotissements : "Si le pouvoir judiciaire ne reconnait pas les conventions privées d'un cahier des charges déposé, qui peut les faire respecter si ce n'est l'Administration qui impose le dépôt légal du dit cahier des charges ? D'autant plus que le fait d'avoir laissé figurer ces conventions dans un cahier des charges déposé à la Préfecture leur donne un caractère officiel et légal qu'aucun d'entre nous ne pouvait mettre en doute." S'institue ainsi un double régime légal par lequel la loi sur les lotissements n'a pour effet que d'obliger le vendeur à prendre en charge les travaux de viabilisation, en déchargeant du même coup la Ville, alors que le cahier des charges, censé protéger les acquéreurs de possibles nuisances, n'a en définitive qu'une valeur contractuelle privilégiant le choix du vendeur. Quand, en appel, la cour de Riom estime qu'il n'est pas évident que les Economats contreviennent au type de construction prévu par le cahier des charges puisqu'il est toléré une activité commerciale ("avec ou sans boutique"), catégorie de laquelle les Economats peuvent se prévaloir, elle rappelle et soutient la souveraineté municipale en matière d'instruction des dossiers de permis de construire. La Ville a néanmoins besoin de s'associer à l'initiative privée afin d'effectuer les coûteux aménagements de voirie. Ainsi, l'un des arguments des Economats du Centre pour obtenir leur permis de construite est de proposer que la Ville classe la rue Philippe-Glangeaud dans le domaine public, qu'elle entreprenne les travaux d'aménagement de cette rue et qu'elle leur fasse ensuite parvenir la facture. Un devis daté de novembre 1954 semble indiquer que la Ville réalise en effet les travaux de chaussée, de bordures de trottoirs avec bouches d'égout, caniveaux, éclairage public. Les archives consultées ne nous disent pas qui règle la dépense, mais les Économats auront l'autorisation de construire un nouvel entrepôt et de poursuivre leur activité industrielle jusqu'à la fin des années 1970, époque à laquelle une résidence prendra leur place.

1Les cahiers des charges sont consultables en annexe

Le terrain est à l'origine occupé par la scierie Rouganne. Le papier à en-tête de l'entreprise, qui ne manque pas d'enjoliver la réalité urbaine d'alors, insiste sur la proximité de la voie ferrée, en effet propice à l'installation d'industriels ou d'artisans (c'est d'ailleurs le branchement à cette voie qui fait l'objet du courrier). Le lotissement de ce secteur illustre par conséquent une reconversion d'un terrain industriel en un espace d'habitat. L'arrêté préfectoral autorisant le lotissement du terrain Rouganne sur la base du cahier des charges date du 31 juillet 1934. L'édification des parcelles des deux îlots riverains du boulevard Cote-Blatin commence rapidement et s'effectue en deux vagues séparée par une période d'immobilité : la première de 1935 à 1941 ; la seconde de 1950 à 1961. La vente aux Économats du Centre des parcelles situées entre la rue Philippe-Glangeaud et la voie ferrée intervient en 1937, sur la base d'un cahier des charges modifié en 1935. Les deux permis de construire des entrepôts datent des 31 et 14 novembre 1940. Les autres propriétaires du lotissement intentent un procès aux Économats pour les contraindre à détruire leurs constructions. Les plaignants sont déboutés par le tribunal civil de Clermont-Ferrand en 1957, puis par la cour de Riom en 1958. Cette partie sud du lotissement est donc occupée par le grossiste en produits alimentaires jusqu'au début des années 1980. Au cours de la première moitié des années 1980, une résidence y est construite.

  • Période(s)
    • Principale : 2e quart 20e siècle , daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Arnaud J.
      Arnaud J.

      Architecte clermontois actif dans les années 1930, domicilié au 39 avenue des Etats-Unis. Par sondage dans les archives municipales, en 1937 et 1938, on lui connaît deux villas sans originalité rue Eugène-Pelletan (n°14 et 16). Plus intéressante est sa démarche d'adaptation à une parcelle particulièrement étroite au 3 boulevard Joseph-Girod en 1937. Enfin, la seule villa que nous lui connaissons marquant l'adoption d'un style moderne à l'équilibre bien maîtrisé est celle du n°49 boulevard Cote-Blatin, dont les plans datent de 1937, mais qui subit une surélévation assez maladroite en 2021.

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    • Auteur :
      Vigneron Valentin
      Vigneron Valentin

      Architecte, né le 17 février 1908, mort le 04 novembre 1973. Adresses: 22 bis place de Jaude dans les années 1930 ; 3 rue Colbert dans les années 1940 et 1950. Les plans sont formellement dessinés selon la même disposition: filets d'encadrement comprenant l'identité du propriétaire et la localisation en marge supérieure et identification de l'architecte, lieu et date en marge inférieure.

      En décembre 1933, Valentin Vigneron livre les plans non signés de la maison que l'ingénieur Chabran fait construire au n°38 du boulevard Cote-Blatin (la mention, M. Vigneron, 22 bis place de Jaude, se trouve sur la lettre de demande de construction). Les plans s'avèrent plus frustes que la maison elle-même, déjà très caractéristique des réalisations de cet architecte. Les plans de la maison du n°40 boulevard Cote-Blatin datent de juin 1933 et ne sont pas signés. Aucune signature n'est reportée dans le dossier de permis de construire. Le style est moins ouvertement moderne que le n°38 bis (décor du tympan et touche classique du bossage de la porte d'entrée). Cependant, on note une communauté d'esprit dans la distribution intérieure du n°38 bis daté de 1935 et dûment signé par Valentin Vigneron. Enfin, le projet d'agrandissement arrière du n°40, au milieu des années 1950, est élaboré par Valentin Vigneron (son adresse est alors au n°3 rue Colbert à Clermont-Ferrand). Si l'on admet que le n°40 est de la main de Vigneron, comme l'atteste par ailleurs la publication d'Agnès Pranal et Christophe Laurent (Valentin Vigneron, architecte clermontois du XXe siècle, Itinéraire du Patrimoine), on peut avancer que son style mue au cours de l'année 1933 pour adopter la pate qui sera la sienne dans la seconde moitié des années 1930. L'immeuble du n°29 boulevard Cote-Blatin, dont le projet date de 1937, en est un exemple éclatant, ce qui n'empêche l'adoption d'une écriture plus classique, en 1936, pour l'immeuble du n°22 boulevard Jean-Jaurès. Mitoyen du n°29 boulevard Cote-Blatin, le n°31 poursuit l'illustration de l'évolution du style de Valentin Vigneron (en association avec Jean Bosser) au milieu des années 1950 (façade à plan vertical marqué par le quadrillage de l'ossature des planchers et murs de refend en béton). Ce secteur est compris dans le lotissement "Rouganne" dont le périmètre s'étend jusqu'à la voie ferrée. Dans la rue Philippe-Glangeaud qui dessert ce lotissement, Valentin Vigneron signe trois immeubles et une maison. Les immeubles des n°36 et 18, édifiés en 1941, sans mitoyen, en rupture de style et d'échelle avec les maisons voisines, sont d'une écriture très épurée, voire simple, ne sacrifiant au décor que par la présence d'un fronton cintré à base interrompue en courronement d'une travée. Une dizaine d'année plus tard (premis de construire en 1952), Valentin Vigneron édifie sur la parcelle mitoyenne au n°16, un immeuble représentatif de son inspiration au marquage des lignes géométriques, niveaux limités et liaison des travées formant un quadrillage de façade (n°16, rue Philippe-Glangeaud). Toujours sur le boulevard Cote-Blatin les immeubles jumeaux des n° 56 et 58, édifié pour le compte de l'office HLM du Puy-de-Dôme (permis de construire en 1953) offre une sobre écriture horizontale structurée par la limitation des niveaux. Seule concession à l'esthétique: les sculptures en ronde-bosse de Raymond Coulon couronnant les porches d'entrée.

      En 1955, lors du réaménagement de la villa Bergougnan (148 boulevard Lavoisier) pour la transformer en immeuble de bureaux de la chambre du commerce, Valentin Vigneron respecte l'intégrité du bâtiment et conserve les éléments intérieurs (décors, placards de l'étage, cheminées). Il ajoute une colonnade extérieure délimitant la cour et le jardin latéral. En 1958, il s'associe à Antoine Espinasse pour construire une salle de congrès dans l'enceinte de la Chambre de commerce sise au 148 boulevard Lavoisier. Ce bâtiment est situé derrière l'ancienne villa Bergougnan, le long de la rue de Nohanent. En 1968, il dessine les plans de l'immeuble d'angle du 15-15 bis avenue d'Italie.

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    • Auteur :
      Bertrand Jules (?)
      Bertrand Jules (?)

      Architecte, domicilié 3 avenue de Boisséjour dans les années 1930. En 1933, auteur des plans de la maison du 1bis boulevard Fleury. En 1939, il dresse les plans de la villa du 43 boulevard Cote-Blatin, pour laquelle on trouve une patte moderne et un bel équilibre, malheureusement amoindrie par la modification des huisseries et du portail.

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    • Auteur :
      Galinat Georges
      Galinat Georges

      Georges Galinat (Combronde, 22 mai 1904, Riom, 14 mai 1976), architecte patenté à partir de 1928, inscrit à l’Ordre des architectes (Auvergne) le 13 mai 1943. Établi à Riom, 7 avenue de Châtel-Guyon.

      Le père de Georges Galinat, Pierre-Isidore Galinat (1866-1940) était ingénieur et architecte-voyer (notamment à Châtel-Guyon). Georges Galinat suivit des études secondaires mais il ne passa pas le baccalauréat. Il paya à partir du 1er janvier 1928 (à l’âge de 24 ans) la patente en tant qu’architecte. Il exerça toute sa vie à Riom. Il occupa un premier cabinet situé place de la Fédération, puis, à partir de 1935 environ, il s’installa au n° 7 avenue de Châtel-Guyon. Il remporta rapidement un franc succès à Riom et à proximité. Il devint en 1937 architecte de la ville de Riom, poste qu’il occupa jusqu’à sa retraite prise le 1er janvier 1973. Il fut aussi l’architecte de 23 communes de l’arrondissement de Riom. Il fut admis par l’Ordre des architectes le 13 mai 1943.

      Les œuvres de Georges Galinat sont très nombreuses. Un sondage effectué dans les permis de construire riomois des années 1945 à 1963 a mis au jour une forte proportion de projets conçus par Georges Galinat. Les projets de maisons individuelles dominèrent la première partie de sa carrière, beaucoup d’entre eux se conformant au style « régionaliste » assez courant à cette époque. Parmi d’autres, citons la maison située à Riom, n° 3 ter avenue du Champ d’Ojardias (vers 1932). Dans un style proche du Classicisme moderne, citons par exemple les maisons n° 27 route de Marsat (1951) et n° 14 rue du Général Chapsal (1954).

      Georges Galinat fut également l’architecte d’immeubles d’habitation (par exemple à Clermont-Ferrand le n° 13 rue Georges-Onslow, vers 1950, le 26 rue Philippe-Glangeaud, vers 1940), de bâtiments publics (mairie de Saint-Hippolyte, 1956-1957, mairie de Saint-Georges de Mons, 1962-1967, piscine La Riomoise à Riom, 1956, etc.), de bâtiments scolaires (école d’Effiat, vers 1930, collège de Manzat, vers 1960, etc.), et autres édifices d'enseignement tel que le centre de formation professionnelle agricole de Pontaumur dont l'avant-projet est daté du 2 octobre 1967 (associé à F. Jaffeux ; archives communales de Pontaumur).

      À Riom, dans le domaine du logement social, Georges Galinat dessina seul ou en collaboration les lotissements de Macuolles et de Millieras (urbanisme et plans des maisons-types construites en série). Outre les bâtiments de la cité HLM de la route de Marsat, il conçut avec Jean Gourgouillon les immeubles HLM du n° 18 rue Amiral Gourbeyre (1962) et, avec l’architecte Georges Lescher, la cité HLM « La Beaumette » rue Gabriel-Labrousse et route de Marsat (1965-1967).

      En matière d'urbanisme, il était certes architecte voyer de la ville de Riom mais aussi l'auteur, avec Sarrou, ingénieur-géomètre, du Plan d'aménagement et d'extension de Châtel-Guyon, daté de 1929 (plan élaboré en application de la loi dite Cornudet de 1919, complétée et modifiée en 1924).

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    • Auteur :
      Boyer J.-C.
      Boyer J.-C.

      Architecte clermontois, domicilié à Chamalières. Il édifie au début des années 1950, la maison de l'angle du boulevard Cote-Blatin et de la rue de la Rotonde (au 15 rue de la Rotonde)

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    • Auteur :
      Espinasse Antoine
      Espinasse Antoine

      Architecte clermontois DPLG, Antoine Espinasse est à l'hôtel-Dieu de Clermont-Ferrand le coauteur de l'extension de la maternité (1955-1959), avec Paul Lanquette. Il est également l'architecte du bâtiment des laboratoires (1978-1981) adossé contre la façade nord du pavillon des maladies sociales, ainsi que du centre d'hépato-gastro-entérologie (1981-1983) qui réunit les laboratoires et le Refuge. Au début des années 1960, il est domicilié au 11 bis rue Montlosier.

      En 1953, on lui doit la maison faisant l'angle des rues Philippe-Glangeaud et Montgolfier (surélevée depuis). En 1957, il s'associe avec P. Jallat pour la construction de l'immeuble du 29 avenue d'Italie. En 1958, il s'associe à Valentin Vigneron pour construire une salle de congrès dans l'enceinte de la Chambre de commerce sise au 148 boulevard Lavoisier. Ce bâtiment est situé derrière l'ancienne villa Bergougnan reconvertit en bureaux pour la Chambre de commerce en 1965. Au début des années 1960, il produit les plans de l'immeuble situé à l'angle des rues Raynaud, de la Rotonde et du boulevard Cote-Blatin. L'adaptation à la forme de la parcelle se fait par insertion de l'entrée dans la pointe que forme l'élévation sud du bâtiment (sur la rue Raynaud), créant une découpe en étrave renforcée par les balcons triangulaires et l'effet de travée biaise des ouvertures. En 1980, il s'associe à Marcel Massucio pour la constuction de la résidence du n°7 boulevard Jean-Jaurès caractérisée par un pan d'élévation aveugle au béton crépi à l'accent brutaliste.

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    • Auteur :
      Bosser Jean
      Bosser Jean

      Jean Bosser (Clermont-Ferrand, 22 février 1902, idem, 21 octobre 1984) suivit des études d’architecture à l’École spéciale des Travaux publics de Paris puis à l’École des Beaux-Arts de Clermont-Ferrand. Il exerça de 1926 à 1980 à Clermont-Ferrand et plus largement dans le Puy-de-Dôme. A la fin des années 1930, il est domicilié au 72 rue Lamartine. En 1965, son adresse est au n°7 du boulevard Duclaux.

      A conçu en particulier, en 1951, les plans de certaines des maisons "Castor" de la cité ouvrière Michelin du Clos-Chanturgue à Clermont-Ferrand. Aurait également travaillé à des projets pour l'établissement thermal du Mont-Dore à la fin des années 1940. En 1933, il dessine les plans de l'immeuble du 16 boulevard Fleury. En 1938, il produit les plans de la maison du n°1 du boulevard Cote-Blatin. La contrainte parcellaire, un triangle donnant au bâtiment le profil d'un fer à repasser, l'amène à adopter une solution que l'on voit émerger en 1937 chez Valentin Vigneron (renfoncement de travée ménageant des balcons), au n°29 du boulevard Cote-Blatin ou au n°110 du boulevard Lavoisier, sans que pour autant le morphologie parcellaire ait induit ce parti pour ce dernier. En 1939, pour l'immeuble du n°64 boulevard Jean Jaurès, Jean Bosser persiste dans l'inspiration de Vigneron (traitement de la travée centrale rappelant celle du 24 boulevard Jean-Jaurès, V. Vigneron architecte, 1938). C'est également en 1939, qu'il s'écarte de cette source d'inspiration pour l'immeuble de la Caisse primaire de l'Union des sociétés de Secours mutuel, au 50 avenue d'Italie puis, au début des années 1960 pour sa surélévation. La même année (1939), il produit les plans d'un immeuble au n°9 boulevard Cote-Blatin. La réalisation s'écarte du projet d'origine et y perd son sobre équilibre. En 1955, il s'associe à Valentin Vigneron pour réaliser l'immeuble du n°31 boulevard Cote-Blatin. Si la symétrie de l'édifice peut renvoyer à la manière de Jean Bosser, le marquage des lignes horizontales et verticales de l'ossature en béton du bâtiment est volontiers employé par Valentin Vigneron. On retrouve cette affection pour la symétrie dans l'immeuble édifié dans le courant des années 1960 au n°3 du boulevard Jean-Jaurès. Dans la seconde moitié des années 1960, il est architecte d'opération de la résidence universitaire de jeunes filles, située au n°24 du boulevard Cote-Blatin (maître d'ouvrage, ministère de l'éducation nationale, direction de l'équipement scolaire universitaire et sportif, office public d'HLM de la ville de Clermont-Ferrand, architecte en chef Auguste Arsac, 180 bd Saint-Germain, Paris). Cette opération immobilière implantée sur une vaste parcelle ne s'affranchit pas totalement de l'alignement par rapport à la voirie mais adopte une non mitoyenneté ménageant un effet de dissémination en bord de rive.

      Le milieu catholique lui assura des commandes importantes, parmi lesquelles, à Clermont-Ferrand, dans les années 1930, les chapelles de la Maîtrise (école Massillon) et de l’évêché (rue Pascal), et dans les années 1950-1960, les églises Notre-Dame de la Route, Sainte-Thérèse de l’Enfant-Jésus (avec Jean-Louis Douat), Sainte-Bernadette et Saint-Austremoine.

      Il construisit aussi à Clermont-Ferrand trois cinémas : l’« ABC », « L’Ambiance », « Le Globe », ainsi que la salle Saint-Genès (à l’arrière du n° 9 place Michel-de-l’Hospital). Il fut enfin le maître d’œuvre de nombreuses maisons (certaines très modestes) et d’immeubles d’habitation (par exemple à Clermont-Ferrand n° 9 place Michel-de-l’Hospital et n° 13 avenue des États-Unis).

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    • Auteur :
      Lanquette Paul
      Lanquette Paul

      Architecte clermontois DPLG, Paul Lanquette est à l'hôtel-Dieu de Clermont-Ferrand le coauteur de l'extension de la maternité (1955-1959), avec Antoine Espinasse.

      Probablement l'auteur d'une partie du lycée J. Monnet/J. Mermoz d'Aurillac (1949-1953).

      Paul Lanquette (Beaumont, Puy-de-Dôme, 17 avril 1920 - idem, 14 décembre 1997), fils de l’architecte Marius Lanquette, père de l’architecte Jean-Paul Lanquette.

      Paul Lanquette se forma à l’architecture auprès de son père. Il fut également étudiant dans l’Atelier Papillard de l’École des beaux-arts de Clermont-Ferrand et dans l’Atelier Beaudouin de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Il obtint son diplôme le 27 février 1945 (DPLG) et s’inscrivit comme architecte à Clermont-Ferrand. Il fut nommé en 1947 architecte délégué à la Reconstruction pour le département du Cantal. En 1952, à la suite du décès de son père, il prit sa succession.

      Paul Lanquette fut architecte d’opération de la cité universitaire du Clos-Saint-Jacques (Clermont-Ferrand), œuvre d’Eugène Beaudouin. Avec Antoine Espinasse, il fut également architecte d’opération du campus des Cézeaux (Aubière, architectes Daniel Badani et Pierre Roux-Dorlut). Seul ou en association (notamment avec Antoine Espinasse et Jean-Louis Douat), Paul Lanquette conçut des immeubles HLM (Saint-Jacques sud à Clermont-Ferrand, ensemble Montjoly à Chamalières), la Caisse d’allocations familiales d’Aurillac, le Centre départemental de l’Enfance à Chamalières, le collège de Ceyrat, le lycée Sidoine-Apollinaire de Clermont-Ferrand, etc.

      A la fin des années 1950, il dresse les plans de l'immeuble du n°35 boulevard Cote-Blatin, reprenant le gabarit et la distribution de l'immeuble mitoyen (N°31, Valentin Vigneron et Jean Bosser architectes). En 1962, il livre les plans de l'immeuble du 2 boulevard Jean-Girod.

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    • Auteur :
      Arnaud Julien
      Arnaud Julien

      Architecte, début d'activité dans les années 1930 (Fonds au AD du Puy-de-Dôme, côte 208J). Il est l'auteur, à la fin des années 1950, de la barre d'immeuble du 12-16 avenue d'Italie (logements sociaux pour le compte de la Société civile immobilière de l'avenue d'Italie). A la fin des années 1950, on remarque une belle adoption du style alors en vogue avec l'immeuble du n°45-47 boulevard Cote-Blatin. L'immeuble est conçu avec la collaboration de R. Bournadet. L'architecte est alors domicilié au 2 rue de Billom. Au début des années 1960, l'immeuble du 72 avenue d'Italie et 51 avenue de Grande-Bretagne (société régionale d'HLM maître d'ouvrage société régionale d'HLM) puis, au milieu des années 1960, celui du n°18 boulevard Cote-Blatin, se conforment à un volume rectangulaire présentent une façade-épaisse, abritant des balcons filant, traitée en symétrie. En 1972, il produit les plans de reconstruction du garage, magasin de vente, station-service des établissements Citroën, situés au carrefour de l'avenue des Paulines, du boulevard Fleury et de la rue de l'Oradou selon un principe similaire. Ce projet ne vit pas le jour. Durant toute cette période, il est domicilié au 6 rue de Billom.

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    • Auteur :
      Bournadet R.
      Bournadet R.

      Architecte clermontois. Collaborateur de Julien Arnaud pour l'immeuble du n°45-47 boulevard Cote-Blatin

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Le lotissement Rouganne est constitué de deux îlots et de la partie méridionale d'un îlot se poursuivant jusqu'à l'avenue Léon-Blum. La morphologie bien définie des deux îlots riverains du boulevard Cote-Blatin, de forme trapézoïdale, se distingue du caractère irrégulier du terrain s'étendant entre la rue Philippe-Glangeaud et la voie ferrée. Les deux îlots réguliers ont un caractère ouvert, notamment sensible sur la rue Philippe-Glangeaud, alors que l'îlot irrégulier présente un front uni (îlot fermé). Jusque dans les années 1980, la nature des occupations opposent également ces deux blocs : les îlots réguliers riverains du boulevard abritent de l'habitat, immeubles et maisons, tandis que le terrain bordant la voie ferrée accueille des entrepôts industriels (cet est encore visible sur la photographie aérienne de la fin des années 1970 et s'efface en grande partie sur celle de 1985).

Le découpage parcellaire du plan de lotissement prévoyait, en 1934, de scinder longitudinalement en deux chacun des deux îlots trapézoïdaux. Les parcelles donnant sur le boulevard bénéficieraient d'une profondeur équivalente aux deux tiers de la largeur totale des îlots, tandis que les parcelles bordant le rue Philippe-Glangeaud ne disposeraient que du tiers restant. Les bords latéraux, rue Philippe-Glangeaud et rue de la Rotonde, abriteraient une parcelle médiane, phénomène qui n'était pas prévu au bord de la rue Montgolfier séparant les deux îlots. Le plan cadastral actuel permet de constater que cette répartition a été conservée dans ses grandes lignes, comme en atteste le dessin de comparaison des parcelles et des lots. Les deux principales irrégularités proviennent de l'ajout de deux parcelles interstitielles sur la rue Montgolfier et de la fusion de parcelles créant des emprises transversales entre le boulevard et la rue Philippe-Glangeaud, ceci afin d'aménager des allées de desserte des cœurs d'îlots, provoquant des discontinuités dans l'alignement laissant apparaître des murs aveugles. Le cahier des charges du lotissement prévoyait que les lots pouvaient être constitués au gré des acquéreurs pour peu que les façades soient orientées soit sur le boulevard Cote-Blatin, soit sur la rue Philippe-Glangeaud. Les deux parcelles de la rue Montgolfier sont donc intervenues par scission d'un lot originel tandis que la plupart de celles donnant sur le boulevard se sont formées par fusion de lots. Les trois parcelles ayant respecté la forme en lanière des lots originellement prévus se voient contraintes d'adopter des stratagèmes pour contourner l'inconfort de leur morphologie. Dans la première, au n°37 boulevard Cote-Blatin, une maison a été construite en fond de parcelle, en cœur d'îlot et se trouve, par conséquent, dépourvue de façade sur rue. Dans la seconde, au n°43, la maison se développe sur le plus long côté de la parcelle, obligeant à ménager une desserte qui engendre un espacement dans le front bâti du boulevard (voir dossier IA63002800). Enfin, la troisième, au n°49, s'est adjointe la parcelle arrière de manière à aménager un parking dont l'entrée se fait par la rue Philippe-Glangeaud (voir dossier IA63002839). Ce phénomène semble être un choix intentionnel et non un pis aller puisque ces parcelles sont édifiées alors que le terrain mitoyen était encore libre (sur le plan du mode d'édification, on constate qu'elles précèdent des lots non encore édifiées).

La majorité des édifices sont des immeubles (près de 65%), qui parfois peuvent avoir l'aspect de maisons. C'est notamment le cas des n°4, 6, 26 et 28 de la rue Philippe-Glangeaud, alors que ce phénomène n'est pas observable sur le boulevard Cote-Blatin, ce dernier étant majoritairement garni d'immeubles d'assez grande hauteur. Il en résulte une différence sensible de traitement des fronts d'îlots : celui qui donne sur le boulevard se conforme à ce que l'on attend d'une artère urbaine, tandis que celui qui longe la rue Philippe-Glangeaud prend un aspect de banlieue à caractère plus intime, voire privé. La vues aériennes de l'îlot nord illustre bien la différence de traitement architectural des fronts d'îlots, différence que l'on ressent, sur le terrain, par l'atmosphère plus feutrée de la rue Philippe-Glangeaud. Le taux global d'intervention d'architectes s'établit à 60%. Ils sont absents de la rive sud de la rue Montgolfier (à droite de l'image aérienne de l'îlot sud) et de la courbe que forme au nord la rue Philippe-Glangeaud. Leurs interventions est légèrement supérieure le long du boulevard Cote-Blatin. On note la présence récurrente de l'architecte Valentin Vigneron.

  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand, 2074 W 138, lotissement Rouganne, 1934

    AC Clermont-Ferrand : 2074 W 138
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°545 23A, demande d'alignement, immeuble, 39 boulevard Cote-Blatin, 1935

    AC Clermont-Ferrand : O216 545 23A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1668 23A, demande d'alignement, immeuble, 2 rue Montgolfier, 1936

    AC Clermont-Ferrand : O216 1668 23A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°594 24A, demande d'alignement, maison, 49 boulevard Cote-Blatin, 1937

    AC Clermont-Ferrand : O216 594 24A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°601 24A, demande d'alignement, immeuble, 29 boulevard Cote-Blatin, 1937

    AC Clermont-Ferrand : O216 601 24A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, 872 24A, demande d'alignement, maison, 4 rue Philippe-Glangeaud, 1937

    AC Clermont-Ferrand : O216 872 24A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, 86 25A, demande d'alignement, immeuble, 6 rue Philippe-Glangeaud, 1938

    AC Clermont-Ferrand : O216 86 25A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1515 24A, demande d'alignement, maison, 6 rue Montgolfier, 1938

    AC Clermont-Ferrand : O216 1515 24A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°413 25A, demande d'alignement, immeuble, 37 boulevard Cote-Blatin, 1939

    AC Clermont-Ferrand : O216 413 25A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°758 25A, demande d'alignement, maison, 43 boulevard Cote-Blatin, 1939

    AC Clermont-Ferrand : O216 758 25A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1019 25A, demande d'alignement, maison, 1 rue Montgolfier, 1939

    AC Clermont-Ferrand : O216 1019 25A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, 1707 25A, demande d'alignement, immeuble, 26 rue Philippe-Glangeaud, 1940

    AC Clermont-Ferrand : O216 1707 25A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1746 25A, demande d'alignement, immeuble, 18 rue Philippe-Glangeaud, 1940

    AC Clermont-Ferrand : O216 1746 25A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1744 25A, demande d'alignement, immeuble, 36 rue Philippe-Glangeaud, 1941

    AC Clermont-Ferrand : O216 1744 25A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, 2280 25A, demande d'alignement, immeuble, 28 rue Philippe-Glangeaud, 1941

    AC Clermont-Ferrand : O216 2280 25A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1020 28A, demande d'alignement, maison, 10 rue Philippe-Glangeaud, 1950

    AC Clermont-Ferrand : O216 1020 28A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1247 28A, demande d'alignement, maison, 30 rue Philippe-Glangeaud, 1950

    AC Clermont-Ferrand : O216 1247 28A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, n°1642 28A, demande d'alignement, maison, 8 rue Philippe-Glangeaud, 1950

    AC Clermont-Ferrand : O216 1642 28A
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, PC 100, demande d'alignement, immeuble, 15 rue de la Rotonde, 1951

    AC Clermont-Ferrand : PC 100
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, PC 444, demande d'alignement, immeuble, 16 rue Philippe-Glangeaud, 1952

    AC Clermont-Ferrand : PC 444
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, PC 774, demande d'alignement, maison, 20 rue Philippe-Glangeaud, 1953

    AC Clermont-Ferrand : PC 774
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, PC 2143, permis de construire, immeuble, 31 boulevard Cote-Blatin, 1955

    AC Clermont-Ferrand : PC 2143
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, PC 3720, permis de construire, immeuble, 35 boulevard Cote-Blatin, 1958

    AC Clermont-Ferrand : PC 3720
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, PC 3827, permis de construire, immeuble, 45-47 boulevard Cote-Blatin, 1959

    AC Clermont-Ferrand : PC 3827
  • AC Clermont-Ferrand, série O216, PC4761, permis de construire, immeuble, 4rue Montgolfier, 1961

    AC Clermont-Ferrand : PC 4761

Documents figurés

  • boulevard Cote-Blatin, carrefour rue des Prés-Bas, extrait d'une vue aérienne IGN, photographie noir et blanc, échelle 1/7196, mission n°46, réf. C2531-0251_1947_CDP2345_0046 du 01/10/1947

    IGN : C2531-0251_1947_CDP2345_0046
  • lotissement Rouganne, rue Philippe-Glangeaud, extrait d'une vue aérienne IGN, photographie noir et blanc, échelle 1/29959, mission n°79, réf. C2531-0041_1978_F2531-2631_0079 du 09/08/1978

    IGN : C2531-0041_1978_F2531-2631_0079
  • lotissement Rouganne, rue Philippe-Glangeaud, extrait d'une vue aérienne IGN, photographie infra-rouge couleur, échelle 1/12231, mission n°578, réf. CC4310-0144_1985_IFN63_IRC_0578 du 13/07/1985

    IGN : C4310-0144_1985_IFN63_IRC_0578

Annexes

  • Cahier des charges du lotissement Rouganne, 30 janvier 1934 approuvé le 31 juillet 1934
  • Délibération du conseil municipal, séance du 15 juin 1934
  • Cahier des charges, clauses et conditions du lotissement de la propriété de M. et Mme Rouganne annexé à la vente aux Economats du Centre
Date(s) d'enquête : 2024; Date(s) de rédaction : 2024
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Fougère Félicie
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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