Dossier d’aire d’étude IA74002479 | Réalisé par ;
Guibaud Caroline (Rédacteur, Enquêteur)
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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  • inventaire topographique, Inventaire du Parc naturel régional du Massif des Bauges
Présentation de la commune de Chainaz-les-Frasses
Auteur
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Parc naturel régional du Massif des Bauges

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Hauts de l'Albanais
  • Adresse
    • Commune : Chainaz-les-Frasses

Introduction historique

Bien que de nombreux édifices soient situés sur des emplacements déjà bâtis en 1730 (mappe sarde) et que certains présentent des encadrements moulurés à chanfrein ou accolade (par exemple la porte de la maison 2016 B1 1015 au Goléron, ou une fenêtre du presbytère), souvent en remploi, il ne subsiste que peu de maisons ou fermes (et aucune croix monumentale) dont l'élévation soit globalement antérieure au 19e siècle. Une porte de cave à linteau sur coussinets (2016 B5 1271) atteste de l'ancienneté de l'occupation du site de Ravière en bas (Moyen Âge ?). La date portée la plus ancienne rencontrée dans la commune est 1682 (linteau de porte d'une ferme non repérée aux Prés Allouétan (2016 A3 1075), en remploi). Les maisons-fermes de Mornant (IA74002650) et des Monts (IA74002617), domaines nobles isolés repérables sur la mappe sarde, sont sans doute les exemples les mieux conservés de bâti civil d'origine ancienne dans la commune ; seuls deux édifices portent une date antérieure au 19e siècle qui ne semble pas apposée sur un élément en remploi, une grange-étable au Goléron, datée 1785 (IA74002622) et une ferme à l'Orme, datée 1796 (IA74002640). La plupart des édifices (antérieurs au pavillonnaire) datent, dans leur état actuel, du milieu ou de la 2e moitié du 19e siècle.

Liste des dates portées relevées dans la commune (y compris église, chapelle et croix ; entre parenthèses, nombre d’occurrences si multiple) : 1682, 1722, 1785, 1792, 1796, 1829 (2), 1833, 1837, 1838, 1842, 1844, 1858, 1861 (3), 1873 (2), 1875, 1877, 1890, 1895, 1898, 1899, 1915, 1942, 1946, 1959, 1972, 1990 (2).

Les paroisses de Chainaz et des Frasses ont donné naissance à des communes distinctes au 19e siècle. Pendant un demi-siècle, la question de la réunion des deux paroisses est régulièrement soulevée, celle des Frasses, trop petite et sans revenu, n'ayant pas les moyens de financer l'entretien d'une église, d'un presbytère et d'un desservant, ainsi que d'une école et d'un instituteur. Si elle rencontre rapidement l'accord du maire, elle se heurte aux réticences d'une partie de la population, qui souhaite en particulier conserver l'usage de son cimetière. Le projet d'union des paroisses devient ainsi un projet d'union des deux communes, inscrit dans des délibérations des deux conseils municipaux en décembre 1843, en juin 1854 (l'union étant prévue pour le 1er janvier 1855) et enfin en mars 1862. En janvier 1864, certains habitants des Frasses proposent même de construire une salle d’école en réutilisant la chapelle qui a succédé à l’église ; mais la commune n’a de fonds ni pour construire, ni pour entretenir un instituteur. La fusion des communes est finalement arrêtée par un vote du conseil général le 22 août 1865, confirmé par un décret de Napoléon III du 17 novembre 1865.

La comparaison de la mappe sarde et du 1er cadastre français de 1891 montre que les écarts sont déjà existants à l'époque de la mappe, ainsi que deux fermes isolées, le Mont et Mornand. Dans le courant du 19e siècle se développe un habitat isolé de fermes, auxquelles le 1er cadastre donne le nom de leur propriétaire de l'époque (Chez Masson Michel, Chez Châtel Charles, Chez les Châtel des Nants ou Chez les Châtel des Monts, Chez le Bret, Chez Dalby...). Ces anthroponymes sont encore reportés sur le cadastre de 2016 pour la section B (Chainaz) mais pas pour la section A (les Frasses) ; certains de ces lieux ont disparu (section A2, Chez Châtel Charles ; A5, Chez Châtel des Monts ; B8, Chez Milloz et Gorsy ; B9, trois fermes à Gorsy ; B11, Chez Cascade, vestiges). Au 18e siècle il y a peu de propriétaires "forains" (ne résidant pas dans la commune) : selon l'enquête lancée en 1754 par l'intendant de Savoie et renvoyée en 1756 (citée dans AVRA, n°5, p. 7-8), il y en a cinq à Chainaz, dont l’Hôtel-Dieu de Chambéry (qui possède par exemple le n°457 de la mappe, une grange située au Crochet, vers les Folliet) et l’abbaye d’Hautecombe (33,62 ha à la Ravière).

La population est évaluée à un peu plus de 250 personnes (hors enfants de moins de 5 ans) lors de l'enquête de 1756. Elle atteint son maximum un peu plus d'un siècle plus tard, en 1872, avec 519 habitants, mais n'est plus que de 450 en 1900, et décroît jusqu'aux années 1970 (seuil minimal en 1975 avec 211 habitants). Les périodes de construction ou réaménagement de la majorité du bâti repéré sur la commune suivent cette évolution de la population, avec un maximum dans la 2e moitié du 19e siècle (pour mémoire, l'Etat de section de 1892 décompte 74 maisons sur la section B, qui recouvre l'ancienne commune de Chainaz, et 41 sur la section A, qui recouvre celle des Frasses). Les dates portées reflètent le même phénomène : on a 13 dates portées lues pour la 2e moitié du 19e siècle, contre 4 pour le 18e siècle, 7 pour la 1ère moitié du 19e siècle et 7 pour le 20e siècle (ces chiffres n'ayant bien sûr qu'une valeur indicative : l'apposition de dates sur les édifices est aussi fonction d'habitudes variant dans le temps, leur conservation est aléatoire...). La population a dépassé les 600 habitants entre 2000 et 2010.

Introduction topographique

La commune est située en limite du département de Savoie. Sa superficie est de 557 ha (347 ha pour l'ancienne commune de Chainaz, 178 ha pour celle des Frasses). Elle occupe les derniers contreforts du massif des Bauges, composés de collines de molasse surplombant la plaine de l’Albanais, qui forment une suite de petits monts dans la moitié est de la commune (culminant à 725 m), avec de belles fenêtres paysagères sur la plaine d’Albens et le Jura dans les secteur des Monts et du plateau au sud du chef-lieu (lieux-dits La Croix, Champ-Fleury, La Bitte), et des vallons boisés orientés est-ouest, creusés par des ruisseaux affluents de la Deysse (nant des Dorsières, nant Dorsan, nant de Gorsy, ruisseau Clair, nant du Marêchet, nant de Baffret) dans la partie ouest (altitude minimale de 420 m).

L'habitat se répartit entre le village de Chainaz, dont la place est dotée de plusieurs éléments structurants (église, mairie-école, presbytère, bassin, croix monumentale, enseigne de café peinte sur une façade) et présente un certain intérêt historique, les gros hameaux du Goléron, Ravière en bas, l'Orme, les petits hameaux à bâti plus épars des Frasses ou Prés Allouétan, les petits hameaux groupés de Chez Dupassieux ou la Ravière en haut, qui sont des écarts d'origine monofamiliale, et les nombreuses fermes isolées.

Il n'y a pas de carrière de pierre ni de molasse ; si la majorité des édifices reste construit en petit moellon de calcaire, avec des encadrements en calcaire et plus rarement en molasse, le pisé prend de l'importance dans les constructions, avec parfois des encadrements en bois.

Caractéristiques de l'architecture

Les fermes

La plupart (68%) des 25 fermes repérées présentent une juxtaposition des fonctions (habitation, étable, grange, remise) sous un même toit, dans des travées perpendiculaires à la façade principale située en mur gouttereau ; si on se fie au plan-masse des nombreuses fermes isolées disparues ou trop dénaturées pour être repérées, cette proportion devait être plus élevée. 28% des fermes repérées présentent une habitation et une grange-étable dans des bâtiments distincts. Le reste est formé de fermes à superposition (deux cas) ou à juxtaposition en profondeur (un cas).

72% des habitations ont deux niveaux, avec le plus souvent une habitation sur cave en étage de soubassement (44%), ou un rez-de-chaussée et un étage carré (28%) ; des escaliers extérieurs en façade de ces logis sont dessinés sur la plupart des bâtiments sur le cadastre de 1891, mais ils ont largement disparu (7 escaliers extérieurs repérés, 4 en bois et 3 en maçonnerie). 4 habitations ont un seul niveau d'élévation, 3 ont trois niveau (12 %). 6 fermes repérées sont mitoyennes, mais cette proportion était sans doute plus importante, en particulier au chef-lieu.

La présence de placards garde-manger a été repérée sur deux fermes du corpus (Champs Favrin/Mornand d'Aval, IA74002648, et Prés Danflit/Mornant, IA74002650), mais d'autres jours ont été vus sur les élévations de fermes non repérées, comme à Ravière en bas (2016 B5 310, voir IA74002636). Une enseigne peinte a été repérée au chef-lieu (café Chez Métral, IA74002631).

Le matériau principal est le moellon de calcaire enduit à pierre vue, avec des encadrements en calcaire (avec linteau en bois cintré pour les caves, ex. les Morinches à l'Orme, ou Chez Folliet au chef-lieu). On trouve quelques encadrements en molasse, et quelques linteaux en brique pour des ouvertures d'étables. Les portes de grange ont souvent un linteau bois juste équarri. On trouve fréquemment des murs en pisé sur les habitations pour les derniers niveaux d'élévation et les murs arrière (ex. au chef-lieu, habitations mitoyennes 2016 B2 77 et 78 ; fermes isolées sur la section B7), pour les granges-étables (ferme à Ravière en bas, 2016 B5 324) et parfois de petites dépendances intégralement en pisé (ex. au chef-lieu, 2016 B2 95, et aux Adrets, non cadastré, sur 2016 B9 737), avec des encadrements qui peuvent être en bois. Les vestiges du lieu-dit Chez Cascade, tout en pisé, sont trop lacunaires pour qu'il soit possible de dire s'il s'agissait d'une ferme ou d'une dépendance. Le pisé est souvent masqué par un enduit, surtout sur les habitations, ce qui rend son identification difficile.

Les petites dépendances : fours à pain, puits et bassins

Le livre des numéros suivis de la mappe de Chainaz, établie vers 1730, mentionne 14 fours à pain : au Mont, four dans la ferme isolée de noble Jean-Baptiste Morand (n° 1083), à Moillenaz (Chez le Bret), dans la ferme de Michel Vibert et frères (n°282), au Goléron, dans la grande ferme à bâtiments disjoints de Chalotte Viviand (n° 199), dans celle de Jean Louis Dumarais (n°326) et au milieu des maisons et granges des consorts Vittet (n°340), Chez Folliet, au milieu des maisons et granges de la famille Folliet (n°97, "four de la communauté pour l’usage commun"), au chef-lieu, accompagnant les maisons mitoyennes de Claude Girod et ses frères (n°385) ou des consorts Segret (n°399), au presbytère (n°411) et dans la ferme de Gorin Dupaseur (n°423), Chez Luermoz, le four de Claude Morel et cousins (n°636), à Ravière (Ravière en haut), au milieu des bâtiments de Joseph Bouvier et frères (n° 549), à Ravière (Ravière en bas), le four "de la communauté pour l’usage commun" (n°737, avec comme propriétaires Joseph Mouchet, Claude Mouchet, Louis Bouvier et Joseph Chabert), à Mornant, dans la ferme isolée de noble Jean Desesigni (n°1007). Les fours sont en général en propriété indivise au sein d'un groupe familial (mention "et frères", "et cousins"...) ; les mentions de "consorts" ou de "communauté" désignent peut-être un groupe de propriétaires plus large, où les liens familiaux se sont distendus (ex. de l'écart Chez Folliet, habité par des propriétaires de ce nom, mais dont on ne connaît pas la parenté). Six fours sont situés dans de grosses fermes avec un seul propriétaire, noble (comme à Mornant) ou communier (comme au Goléron). Parmi les fours déclarés en 1730, seuls ceux du Mont et de Ravière en haut existent toujours (déplacés et reconstruits)

Le plan du 1er cadastre français, en 1891, permet de repérer un grand nombre de fours à pain (en général au moins un par écart et par grosse ferme isolée) et de puits (presque toutes les fermes ont le leur). L'état de section ne permet cependant pas toujours de confirmer la présence des fours lorsque le plan représente un édicule dont le plan est caractéristique de cet équipement (petit bâtiment carré avec un grand avant-toit en bâti léger) : en effet les puits et fours ne sont dotés d'un numéro de parcelle individuel et donc portés sur l'état section que s'ils sont en indivision. On constate que la propriété partagée des fours subsiste (ex. aux Frasses, ferme IA74002603 : le four appartient à Antoine Marie et François Châtel, sans doute deux frères, avec leurs "consorts, en indivision" ; au chef-lieu, le cabaretier Joseph Métral possède un four à pain en indivision avec la veuve d'Antoine Girod, voir IA74002631). Enfin, le plan cadastral consulté en 2016 n'était pas à jour (ex. fours à pain des Nants, de Trenneville ou de Champ Dagand, toujours dessinés mais détruits).

Lors de l'enquête, 13 fours ont été repérés. il n'en subsistait parfois que la maçonnerie encaissante (ex. ferme des Monts ou de Chez les Châtel des Nants). Le matériau de construction est généralement le petit moellon calcaire pour la maçonnerie encaissante, et la molasse pour le four ; on ne relève qu'une fois (IA74002616) la signature de Terrassier, fabricant de dalles en terre cuite réfractaire pour fours à pain. L'auvent devant l'entrée du four est protégé par une avancée de la charpente avec pignon ouvert. Quelques fours ont une maçonnerie encaissante au moins partiellement en pisé (fermes IA74002603 aux Frasses et IA74002645, Chez Urbain).

Les croix de chemin

Six croix sont encore visibles dans la commune, trois en bois, témoignant d'une vague de réfection dans les années 1990, et trois en pierre calcaire (dont les croix de l'ancien et du nouveau cimetière). On repère trois autres croix sur le plan du 1er cadastre français, où elles sont toutes dessinées et nommées (sauf la croix des Frasses) : la "croix de l'Orme", dont il reste une base avec une mortaise carrée, la "croix Vittet", au milieu du hameau du Goléron (au croisement du chemin n°1 venant du chef-lieu et du chemin Borgne), vers 1891 B1 51, et la "croix Charvier" près de la ferme isolée Chez Charvier (1891 A5 461), au sud du village des Frasses, qui ont toutes deux disparu. Enfin la croix des Tréjaud est citée en 1865 (AVRA, n°5, p. 33) mais ne figure pas sur le cadastre de 1891.

Les activités agricoles

Cultures et prairies

L'enquête ordonnée en 1754 par A. de Passier, intendant de Savoie pour le roi Charles-Emmanuel III, après le départ des Espagnols en 1749, donne un état des lieux des productions agricoles au milieu du 18e siècle : les paroisses de Chainaz et des Frasses produisent d'abord du froment, puis des châtaignes, de l'orge, des légumes, du vin (surtout à Chainaz), du fromage, du chanvre, des foins et pailles et du bois. Le cheptel est de 68 vaches, 48 bœufs, 18 veaux, 4 chevaux, 84 moutons et 25 cochons à Chainaz, 16 bœufs, 15 vaches, 6 veaux, 1 âne, 23 moutons et 10 cochons aux Frasses.

Le tableau récapitulatif de l'Etat de section de 1892 donne les superficies occupées par les différentes cultures à cette date : 337 ha 71 a 67 ca de terres labourables et hutins (dont 163 ha sur les Frasses et 174 sur Chainaz), 105 ha 47 a 35 ca de prés-vergers, marais et prés-marais (dont 31 ha aux Frasses et 74, plus du double, à Chainaz), 19 ha 79 a 37 ca de châtaigneraies (pratiquement réparties à moitié dans chaque commune), 12 ha 70 a 59 ca de vignes (un peu plus de 5 ha 81 a sur les Frasses, 6 ha 89 a sur Chainaz). Les terres arables occupent donc trois fois plus de terrain que les prairies (et plus encore aux Frasses), proportion largement inversée aujourd'hui.

En effet, si la commune a vécu d'une agriculture de polyculture jusqu'à la fin du 19e siècle, le développement de l'élevage laitier, attesté par la création des fruitières (IA74002610 et IA74002627, voir aussi écart du Goléron, IA74002620) a conduit à la spécialisation du terroir, occupé essentiellement aujourd'hui par des prairies, du maïs et des cultures d'ensilage et du tournesol (source : géoportail, Registre parcellaire graphique 2015). On trouve encore des prés-vergers assez nombreux mais dont les arbres ne sont plus exploités.

La vigne

La vigne a été cultivée dans la commune jusqu'au 20e siècle : on trouve par exemple au chef-lieu un pressoir daté de 1899 dans la cour de la ferme en face de la mairie. On trouve des traces de cette culture sur la mappe sarde, sur les coteaux de la partie ouest de la paroisse de Chainaz, par exemple vers la Ravière, où on trouve dans le livre des numéros suivis un bâtiment à usage de pressoir (n°550). Il y avait également un peu de vigne aux Frasses : le cadastre de 1891 mentionne un "pressoir et grenier" dans l'écart des Frasses (disparu) et on trouve le lieu-dit "Vigne des Frasses" sur la section A (n°295 à 340). La vigne pouvait être la culture principale de petites parcelles mais se présentait également sous forme de treilles, ou hutains (hautains) en complantation dans un champ. Cette culture n'a cependant jamais été très répandue.

Le tabac

La culture du tabac a été pratiquée à Chainaz-les-Frasses au 20e siècle. On trouve encore un très grand hangar de séchage Chez Dupassieux, où selon un témoignage oral, 4 à 5000 pieds étaient plantés (les ficelles sur lesquelles étaient enfilées les feuilles pour le séchage étaient appelées "pindions"). Sept séchoirs à tabac ont été repérés lors de l'enquête, et quelques autres pointés dans des fermes non repérées.

Image non consultable

Documents d'archives

  • AD Haute-Savoie. 2253W : 459-460. Chainaz. Dépouillement de la mappe cotée 1C d 228A [Transcription du livre des numéros suivis de la mappe de Chainaz, vers 1730, réalisée par Dominique Barbero], 2015.

    AD Haute-Savoie : 2253W : 459-460
  • AD Haute-Savoie. Série 6FS : 1151. Fonds sarde, affaires communales : Chainaz.

    AD Haute-Savoie : 6FS : 1151
  • AD Haute-Savoie. Série 2O : 2166. Chainaz-les-Frasses. Travaux aux édifices religieux. 1861-1937.

    AD Haute-Savoie : 2O : 2166
  • AD Haute-Savoie. 3P 3 : 345. Chainaz-les-Frasses. Etats de sections. Cadastre. Tableau indicatif des propriétés foncières, de leurs contenances et de leurs revenus. Signé par le géomètre le 12 mai 1892.

    AD Haute-Savoie : 3P 3 : 345

Bibliographie

  • MARECHAL, Yves. PERSOUD, Pierre. SALOMON, Marie-José. Chainaz-les-Frasses (Patrimoine du Canton d'Alby-sur-Chéran ; 5e cahier). Rumilly : Les Amis du Vieux Rumilly et de l'Albanais (AVRA) / Imprimerie Ducret, 2013. Ill. en coul., 48 p.

Documents figurés

  • [Copie de la mappe des Frasses] / Joseph Berrettaz, géomètre ; Daviet, trabucant. 1 dess. : encre et lavis colorés sur papier. 1,1 x 1,75 m. Commencée le 15 février et terminée le 1er mars 1730, signée Cocelli, 19 décembre 1732. (AD Haute-Savoie. 1C d 228-B COPIE. Lien permanent : http://archives.hautesavoie.fr/ark:/67033/a011400141516jEJ5RC).

    AD Haute-Savoie : 1C d 228-B COPIE
  • [Copie de la mappe de Chainaz] / Hyérome Guiffardi, géomètre ; Jean Baptiste Curial, trabucant. 1 dess. : encre et lavis colorés sur papier. 1,1 x 1,3 m. commencée le 22 novembre 1729, achevée le 6 avril 1730 signée Cocelli 17 décembre 1732. (AD Haute-Savoie. 1C d 228-A COPIE 1. Lien permanent : http://archives.hautesavoie.fr/ark:/67033/a011400141516FiV02t ).

    AD Haute-Savoie : 1C d 228-A COPIE 1
  • Plan cadastral parcellaire de la commune de Chainaz-les-Frasses, Canton d'Alby-sur-Chéran [Tableau d'assemblage ; 20 feuilles de section] / Bonnevie géomètre en chef, Revenaz géomètre de 1ère classe. 21 dess. : encre et lavis coloré sur papier cartonné. Ech : 1:10 000 (tableau d'assemblage), 1:1000 (sections). 22 décembre 1891. Masclet, préfet. Hyacinthe Bouvier, maire (AD Haute-Savoie 3P 3 : 3164 à 3184).

    Section A, les Frasses : Feuille n° 1, parcelles n° 1 à 110 ; Feuille n° 2, parcelles n° 111 à 183 ; Feuille n° 3, parcelles n° 184 à 358 ; Feuille n° 4, parcelles n° 359 à 456 ; Feuille n° 5, parcelles n° 457 à 540 ; Feuille n° 6, parcelles n° 541 à 620 ; Feuille n° 7, parcelles n° 621 à 660 ; Feuille n° 8, parcelles n° 661 à 736.

    Section B, Chainaz : Feuille n° 1, parcelles n° 1 à 87 ; Feuille n° 2, parcelles n° 88 à 157 ; Feuille n° 3, parcelles n° 158 à 223 ; Feuille n° 4, parcelles n° 224 à 310 ; Feuille n° 5, parcelles n° 311 à 353 ; Feuille n° 6, parcelles n° 354 à 514 ; Feuille n° 7, parcelles n° 515 à 617 ; Feuille n° 8, parcelles n° 618 à 676 ; Feuille n° 9, parcelles n° 677 à 754 ; Feuille n° 10, parcelles n° 755 à 936 ; Feuille n° 11, parcelles n° 937 à 1032 ; Feuille n° 12, parcelles n° 1033 à 1176 (AD Haute-Savoie. 3P 3 : 3164).

    AD Haute-Savoie : 3P 3 : 3164

Annexes

  • Edifices non repérés de la commune de Chainaz-les-Frasses
Date(s) d'enquête : 2016; Date(s) de rédaction : 2018
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Parc naturel régional du Massif des Bauges
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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