Dossier d’œuvre architecture IA73003321 | Réalisé par
Guibaud Caroline (Contributeur)
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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  • inventaire topographique, Inventaire du Parc naturel régional du Massif des Bauges
Église paroissiale Saint-Georges
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Parc naturel régional du Massif des Bauges

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Hauts de l'Albanais
  • Commune Montcel
  • Lieu-dit chef-lieu
  • Cadastre 1732 3109  ; 1880 B3 332  ; 2013 B3 604
  • Dénominations
    église paroissiale
  • Vocables
    Saint-Georges

L'église de Montcel aurait été fondée, comme chapelle rurale, par les religieux du prieuré de Saint-Robert. Elle est sans doute devenue paroissiale à la fin du 13e siècle.

L'ancienne église paroissiale

Le plan de l'ancienne église établi pour les travaux projetés en 1830 (AC) montre une petite église essentiellement composée de quatre modules de plan carré : la croisée, flanquée sur ses deux côtés de chapelles et donnant au fond sur le choeur, ce dernier étant prolongé derrière le maître autel par une sacristie. D'après les visites pastorales du 17e siècle, la chapelle sud existait en 1633 (visite pastorale de Jean François de Sales, 14 juillet 1633), sous le vocable de Saint-Bernard de Menthon, saint Sébastien et saint Antoine, utilisée par la confrérie du Rosaire (à la présentation de noble de l’Echeraine). Lors de la visite pastorale de Mgr Jean d’Arenthon d’Alex, le 14 septembre 1667, la chapelle nord est nouvellement construite par la paroisse et sans vocable. Selon l'abbé Dufourd, la "voûte de la partie inférieure de l’église ... avait des arêtes saillantes, en forme d’ogive, et sur la principale clef de voûte on voit cette inscription : Petrus Rubeus, curatus Moncelli" (Pierre Rouge, curé de 1619 à 1669). L'aménagement de la sacristie remontait peut-être au 2e quart du 18e siècle : en effet selon l'abbé Dufourd, le curé Baudry concède en 1729 un legs à la commune afin de construire une sacristie derrière le maître-autel. La façade de l'ancienne église, que le projet de 1830 prévoir de démolir, aurait été édifiée par le curé noble Jean Georges de Montfalcon, car la porte était encadrée de deux grands bénitiers dont un était daté de 1542 (Dufourd).

Entre 1816 et 1820, plusieurs lettres du syndic de Montcel signalent le mauvais état du toit de chaume de l'église et du clocher. En 1822, l'architecte Bernard Trivelli établit un projet pour la reconstruction du clocher, l'agrandissement et la réfection du couvert de l'église, pour 6335 £ neuves. La commune n'ayant pas les ressources nécessaires, elle demande un nouveau projet se contentant de reconstruire le clocher sur les murs existants et de refaire le toit en bon bois avec ardoises (devis du 3 juin 1822 ; AC) ; la dépense est ramenée à 3123 £ (avec des corvées des habitants qui offrent les gros bois, le sable et le transport des pierres), et 1000 £ sont donnés par le roi de Piémont-Sardaigne pour la construction. L'adjudication a lieu le 15 mai 1823 en faveur de l'entrepreneur Joseph Bollon, et le procès-verbal de réception définitive est passé le 24 novembre 1823 (AD Savoie, 11FS : 339). Le curé est alors Jean Jond. L'abbé Dufourd décrit ainsi le nouveau clocher : "une tour de clocher ayant trois mètres de vide sur quatorze de hauteur, reposant par trois angles sur les mauvais murs de l’église et de la chapelle du Rosaire". L'église restait trop exigüe : elle ne pouvait contenir "que 300 personnes au plus, or la population étant de 1000 habitants l’église devrait pouvoir en contenir 667 (les deux tiers)", selon le projet d'agrandissement donné dès 1830 par l'architecte Fournier (devis du 4 octobre 1830 ; AC). Le projet prévoyait la construction d'une nef devant l'église existante, avec une tribune au revers de la façade. Cependant, l'abbé Dufourd argue du mauvais état de l'édifice et le nouveau curé appelle sa reconstruction, effective en 1844-1848.

La nouvelle église

Le projet de reconstruire l'église prend corps dès 1838, grâce au testament de Mlle Andréanne Gavet, native de Rumilly, qui lègue le 28 décembre 1838 4000 F à la fabrique de Montcel, dont 3000 F pour réparer ou réédifier l'église (elle décède l'année suivante ; AD Savoie, 11FS : 342 et Dufourd). Dès décembre 1839, la commune se procure du tuf pour les voûtes, prévoit de fournir les matériaux du chantier (pierre, sable et chaux, bois de charpente, ardoises de l'ancienne église) et choisit de Justin, architecte et ingénieur à Annecy, comme architecte.

Celui-ci propose un premier projet de reconstruction en 1841 (Détail estimatif des travaux à exécuter pour la reconstruction de l’église paroissiale du Montcel (20 000 £) et Cahier des charges relatives aux travaux à exécuter pour la reconstruction de l’église paroissiale du Montcel, du 4 mars 1841). Cependant un second devis est dressé le 9 mai 1842 par l'architecte Besson (Pierre Louis Besson ?), avec pour but de modifier l'implantation de l'édifice : Besson tourne la façade de l'église vers le chemin public (mais pense que la proposition de Justin, qui plaçait la façade au sud, face au presbytère, était meilleure). En décembre 1843, la soumission de l'entrepreneur Jean Baptiste Sogno, de Chambéry, est acceptée (34 000 £, avec abandon de 100 m3 de tuf et de matériaux de la vieille église à l'entrepreneur).

Cependant le chantier connaît de nombreuses vicissitudes : le 14 mai 1845, l'architecte Besson rédige un rapport constatant un défaut d'exécution des plans (l'église est trop courte d'un mètre par rapport au plan) et le 6 juin 1845 l'intendant général de Chambéry ordonne la démolition des murs déjà construits (qui ont 2 mètres d'élévation). Un compromis est trouvé le 11 juin 1845 (AC) : les démolitions sont financées pour 200 £ par la commune, 100 £ par le curé Jacques Dufourd et 300 £ par Sogno ; parallèlement, le curé finance (1605,80 £) un agrandissement de l'édifice (approuvé le 20 juin 1845 par l'architecte Besson) visant à "allonger l'église d'1,80 m en éloignant les piliers à partir des gros piliers des chapelles d’un espace de 60 cm chaque en plus, donc pour les trois arcs qui sont à la suite des chapelles", avec une exhaussement des murs de 30 cm et le remplacement de la voûte en berceau par des voûtes d'arêtes (relayant pour cela l'avis établi par l'architecte Fournier à la demande de l'archevêque de Chambéry ; AD Savoie, 11 FS : 342). Cependant, en juillet suivant, l'intendant général écrit au syndic de Montcel pour lui signaler les manquements de Sogno à son contrat : emploi de mauvais matériaux, maçons en sous-effectif sur le chantier, travaux délégués à sous-traitant, Jean (ou Jean Baptiste) Faletto (parfois écrit Falletti). En novembre 1845, Besson visite le chantier et constate des malfaçons dans la construction, en particulier des murs et piliers de la nef. Le procès-verbal de vérification des travaux de l’église établi le 15 juin 1846 par les experts Charles Noé, élève ingénieur, et Hubert Flandin, architecte, confirme ces défauts. Un procès s'ensuit entre la commune et l'entrepreneur (en 1847, 1848). Un compromis est trouvé (rabais de Sogno de 3900 £ sur l'adjudication, en plus de la prise en charge à ses frais des "clefs et clavons en fer placés dans les murs pour les consolider") et les travaux achevés en août 1848 (mais la réception provisoire de Besson donne encore lieu à une contestation des métrés par la commune).

Le 5 janvier 1850, un rapport de l'architecte Flandin liste les malfaçons que présente la nouvelle église : "des lézardes aux arcs doubleaux et voûtes des basses nefs, et d'autres lézardes aux arcs des trois croisées à la vénitienne ; les murs des basses nefs se surplombent à l'extérieur, notamment celui du côté gauche ; malfaçons dont quelques unes existaient déjà lors de la réception d’œuvre faite par M. l'architecte Besson, les autres s'étant manifestées dès lors". Le rapport mentionne les travaux pour l’achèvement et la consolidation de l'ouvrage (dont le remplacement des châssis en bois installés dans les "croisées à la vénitienne" par des verrières à plombs ; AD Savoie, 11FS : 342). La commune reste en contentieux avec Sogno et Faletto.

L'église est consacrée le 13 mai 1854 par le cardinal Billiet (Dufourd). La date 1844 est gravée sur une pierre d'angle (non enduite), côté sud, en retour de la façade, avec les initiales P B (pour l'architecte Pierre Louis Besson ?).

Au 20e siècle, l'entretien de l'église est assuré par l'architecte Pierre Ramus, d'Aix-les-Bains : sol en ciment (1935), charpente et couverture (1935), avec Jean Delafontaine après guerre : réfection des façades (1949-1952), construction du tambour d'entrée en chêne (1953). A la suite de la réfection de la façade, celle-ci a été ornée d'une mosaïque réalisée d'après un dessin du peintre René Maria Burlet (signature à gauche ; à droite le nom du mosaïste est illisible : A Beri...).

Eglise construite entre 1844 et 1848 sur les plans et devis de l'architecte François Justin, repris par Besson, par l'entrepreneur jean-Baptiste Sogno. Le clocher avait été reconstruit dès 1822-1823 par l'architecte Bernard Trivelli et l'entrepreneur Joseph Bollon.

Eglise à plan allongé avec transept non débordant et abside semi-circulaire. Elle comprend une nef à trois vaisseaux, de trois travées barlongues voûtées d'arêtes, une croisée de plan carré, couverte d'une coupole sur écoinçons, encadrée de deux chapelles formant transept voûtées en berceau transversal, et un choeur comprenant une travée droite voûtée en berceau transversal et une abside semi-circulaire voûtée en cul-de-four. La travée de choeur est encadrée de deux pièces de plan presque carré : au sud, sacristie des objets religieux ; au nord, dépôt dans le soubassement au clocher (murs épais, amincis par des arcs formerets), qui compte quatre niveaux (accès au beffroi par des échelles).

La façade a une élévation ordonnancée à deux niveaux : la travée centrale est en saillie et rythmée par quatre pilastres, deux encadrant la porte d'entrée et deux aux angles, qui supporte un entablement et la corniche qui se prolonge devant les les bas-côtés. Ceux-ci sont creusés d'une niche en cul-de-four, et leur angle souligné par un dosseret peint. Le niveau supérieur, devant la travée centrale, est couronné d'un fronton triangulaire. La façade est ornée de statues, dans les niches, et d'une mosaïque au-dessus de la poste : voir Décor ; inscription gravée sur l'entablement au-dessus de la porte : D.O.M. L'église a deux portes latérales (à linteau droit), de chaque côté de la première travée ; la sacristie a une porte vers l'extérieur. Les bas-côtés sont éclairés de fenêtres à une lancette en plein-cintre, et l'abside est percée de deux fenêtres rectangulaires (pas de baie axiale) ; le vaisseau central et le transept sont éclairées d'une travée rythmique de baies, au second niveau. La sacristie est éclairée par une fenêtre qui est une extension de l'imposte de la porte. Les niveaux du clocher sont percés d'une petite fenêtre rectangulaire par niveau, et d'une fenêtre en plein-cintre sur chaque face du beffroi.

A l'intérieur, le vaisseau central est séparé des bas-côtés par une file d'arcades en plein-cintre reposant sur des piliers ornés de pilastres à chapiteau ionique, supportant un entablement à trois fasces et architrave lisse puis une corniche moulurée continus. Les travées des bas-côtés et la croisés sont rythmées par des dosserets. Les murs sont badigeonnés de couleur claire. Le sol est en en ciment à décor de croisillons, avec une étoile à la croisée et du carreau de ciment dans le choeur.

Les murs sont en moellon de calcaire enduits, avec soubassement et angles en pierre de taille ; l'enduit est lisse et blanc sur la façade principale, en ciment granuleux sur le reste de l'édifice. Les encadrements sont en calcaire (appuis en ciment pour les fenêtres sauf les jours du clocher). Inscription sur une pierre d'angle (non enduite), côté sud, en retour de la façade : P B / 1844. Les toits sont en ardoise, à longs pans et croupes (sauf sur le vaisseau central), avec une croupe polygonale sur le chevet ; sur le clocher, toit en flèche à l'impériale, coiffé d'un clocheton octogonal ajouré en zinc.

  • Murs
    • calcaire moellon enduit
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    1 étage carré, comble à surcroît
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans croupe
    • croupe polygonale
    • flèche carrée
  • Techniques
    • mosaïque
    • sculpture
  • Représentations
    • saint Georges, saint François de sales
  • Précision représentations

    Décor de la façade principale :

    - mosaïque au-dessus de la porte d'entrée : saint Georges (à pied, vêtu de rouge) terrassant le dragon en lui enfonçant une croix dans la gueule. Derrière eux est représenté le Christ, bras en croix, vêtu d'un grand manteau bleu dont le col doré dessine un demi-cercle et forme un fond à la scène ; le nimbe doré du Christ a un bord festonné comme un soleil, et une étoile argentée est posée sur chacune de ses mains. Sa tête se trouve dans le prolongement de la croix que tient saint Georges.

    - statues : terre cuite ou fonte (?) peinte en blanc. A droite, saint Georges terrassant le dragon, avec une pique dans la main droite et un crucifix dans la main gauche ; à gauche, saint François de Sales.

    Décor du clocheton : colonnettes, lambrequin chantourné, toiture à huit pans surmonté d'un motif d'amortissement octogonal, boule, croix sommitale avec quatre rayons ondulés et coq sur le bras supérieur.

    Décor intérieur :

    - carreaux de ciment dans le choeur : motif de cubes en relief, bordure de grecque, en camaïeu gris.

    - des restes de décor peint sont peut-être visibles à l'intérieur, sur les écoinçons et la coupole.

  • Statut de la propriété
    propriété de la commune

Documents d'archives

  • AD Savoie. 11FS : 339. Fonds sarde, affaires communales. Pièces diverses. 1816-1827.

    - 15 octobre 1816. Lettre du syndic à l’intendant général. Délibération concernant la réparation du toit de l’église... répartition entre les habitants de la commune pour la fourniture de la paille nécessaire.

    - 22 septembre 1819. État des réparations faites par Laurent Chapuis, maçon, aux murs de clôture du cimetière... ainsi que pour la cloche du clocher... bois pour le joug de la cloche, façon et ferrures.

    - 14 juin 1820. Lettre du syndic à l'intendant. Demande l'approbation d'une coupe de bois afin de financer la reconstruction du clocher "qui ne tardera pas à s'écrouler parce que les colonnes en bois qui le supportent sont presque toutes hors d'usage".

    - 16 mai 1822. Délibération. Plan et devis estimatif dressés par Trivelly ingénieur pour la reconstruction du clocher, agrandissement et couvert de l'église : 6335 £ neuves. La commune se contentera du plus urgent : reconstruire le clocher sur les murs existants et refaire le toit en bon bois avec ardoises : 3123 F. Les habitants offrent les gros bois, le sable, le transport des pierres :

    - 19 décembre 1823. Lettre du secrétaire de mairie à l'intendant. Mandats de paiement à Joseph Bollon entrepreneur des ouvrages de reconstruction du toit et clocher de l’église.

    AD Savoie : 11FS : 339
  • AD Savoie. 11FS : 342. Reconstruction de l'église de Montcel (1839-1849).

    AD Savoie : 11FS : 342
  • AC Montcel. Liasse de documents concernant l’église, 1ère moitié 19e siècle. Travaux sur le clocher et la toiture, architecte Bernard Trivelli, entrepreneur Joseph Bollon, 1823. Projet d'agrandissement, architecte Fournier, 1830.

    AC Montcel
  • AC Montcel. Boîte archive Bâtiments communaux / Eglise (II).

    Travaux de charpente et couverture de l’église. Adjudication le 30 juin 1935, 82 356,57 F. Devis dressé par P. Ramus, architecte. Travaux réalisés par Francis Cochet, entrepreneur de charpente avenue de Tresserve à Aix-les-Bains et Jean-Baptiste Pianelli, avenue de la Liberté à Aix-les-Bains.

    Sol de l’église en béton de ciment Portland. P. Ramus, architecte, 1935.

    AC Montcel : Boîte archive Bâtiments communaux / Eglise (II)
  • AC Montcel. Boîte archive Bâtiments communaux / Eglise (I).

    27 janvier 1952. Travaux d’entretien et de réfection des façades de l’église. Devis descriptif et estimatif (954 000 ) dressé par P. Ramus et J. Delafontaine architectes à Aix-les-Bains, 627 rue du Casino. Crépissage des façades en mortier frotté fin ; appuis pour ouvertures en molasse. Maçonnerie adjugée à Louis Roudier, de Montcel.

    9 juillet 1953. Devis pour un tambour chêne avec plafond, suivant plan et devis descriptif de M. Ramus architecte. Aix-les-Bains, 115 000 F

    Travaux à la sacristie. 1989. Remise en état meuble en noyer « sacristie », Joseph Amblard, Aix-les-Bains. Peinture, Michel Mathiez, Grézy-sur-Aix.

    AC Montcel : Boîte archive Bâtiments communaux / Eglise (I)
  • AC Montcel. Registre des délibérations du conseil municipal. 16 novembre 1913-21 février 1932. Délibération du 1er février 1914. Adjudication des travaux de réparation de l’église à Martin Balthazard.

    AC Montcel

Bibliographie

  • DUFOURD, E. (abbé). Notice sur la Bâtie d’Albanais, le prieuré de Saint-Robert et Montcel. Annecy : Imprimerie Charles Burdet, 1871.

    p. 26-61

Documents figurés

  • Position topographique de l'église du Montcel / 1 dess. : encre noire et rouge sur papier. Echelle 1:500. 30,5x43,5. [s.d], vers 1842 (AD Savoie. 11FS : 342).

    AD Savoie : 11FS : 342
  • Plan pour l’agrandissement de l’Église de la commune du Montcel. Élévation. Coupe sur largeur. Sommier de la tribune / Fournier (architecte ?). 2 dess. : encre noire lavis coloré (rose, jaune) sur papier. 53x33 cm. Éch. : 18 cm pour 4 toises de huit pieds de Chambéry. Chambéry, le 4 octobre 1830 (AC Montcel).

    Plan. Indications : La couleur noire indique les murs à conserver. La jaune ceux à démolir et la rouge ceux à construire. Etat : tâches d’humidité sur les bordures, avec parties mangées par les insectes et moisissures, déchirures aux pliures.

    AC Montcel
  • Commune de Montcel (Savoie). L’église. Réfection des façades. La façade sud. La façade est. La façade nord. La façade ouest / Pierre Ramus (architecte) ; Jean Delafontaine (architecte). 3 dess. : tirages de plans sur papier. Ech. 1:100. 39,5 x 48,5. Le 21 juillet 1949. Dressé par [tampon] P. RAMUS / Architecte (Aix-les-Bains) (AC Montcel. Boîte archive Bâtiments communaux / Eglise (I)).

    AC Montcel : Boîte archive Bâtiments communaux / Eglise (I)
  • Intérieur d’église. Détail de tambour d’entrée. Porte principale. Porte latérale / Pierre Ramus (architecte) ; Jean Delafontaine (architecte).1 dess. : tirage de plan sur papier. Ech. 1:50. 67x74. 15 juin 1953. (AC Montcel. Boîte archive Bâtiments communaux / Eglise (I)).

    P. Ramus J. Delafontaine (DPLG) architectes Aix-les-Bains.

    AC Montcel : Boîte archive Bâtiments communaux / Eglise (I)
  • CIM [au verso] LE MONTCEL (Savoie) - Alt. 620 m. 2 - Le Chef-lieu. COMBIER IMP. MACON (S. - et – L.) « CIM » PHOTOGRAPHIE VERITABLE Reproduction Interdite / CIM [Combier imprimeur à Mâcon] (éditeur, imprimeur). 1 impr. photoméc. (carte postale) : N&B. Milieu 20e siècle (Collection particulière, Montcel).

    Collection particulière

Annexes

  • L'ancienne église paroissiale de Montcel et sa reconstruction (AC Montcel)
  • La reconstruction de l'église de Montcel (AD Savoie. 11FS : 342)
Date(s) d'enquête : 2014; Date(s) de rédaction : 2016
© Parc naturel régional du Massif des Bauges
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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