Résultats de la recherche : "Lescheraines" 128 résultats
Dossier
Dossier IA73002887
| Réalisé
par
Moulin à farine et forge du Pont de Lescheraines actuellement logement et quincaillerie
Dossier
Dossier IA73003591
| Réalisé
par
Martinet de Lescheraines puis forge Alesina dite Forge des Allues actuellement espace de valorisation
Dossier
Dossier IA73002886
| Réalisé
par
Moulins à farine, battoir à chanvre, foulon, scierie et pressoir à huile du Pont de Lescheraines actuellement logement
Dossier
Dossier IA73002803
| Réalisé
par
Moulin à farine du marquis de Lescheraines puis atelier mécanique des frères Petit dits Lagarit actuellement atelier de forgeron
Dossier
Dossier IA73002897
| Réalisé
par
Moulin à huile et scierie Morand dit moulin du Pont d'Arith
Dossier
Dossier IA73003952
| Réalisé
par
Martinet puis moulin à farine et battoir de Ranfian actuellement sans affectation
Notice d'illustration
IVR82_20137302712NUCA
|
Moulin à farine et forge du Pont de Lescheraines actuellement logement et quincaillerie
Le pont de Lescheraines et la forge.
Dossier
Dossier IA73002811
| Réalisé
par
Fonderie de fer et martinet du Villaret Rouge actuellement logement et exploitation agricole
Notice d'illustration
IVR84_20167302709NUCA
Moulin à farine et forge du Pont de Lescheraines actuellement logement et quincaillerie
Cadastre de 1728, Lescheraines, 1732 228, Vue 2 (FR.AD073, C3139).
Notice d'illustration
IVR82_20137302713NUCA
Moulin à farine et forge du Pont de Lescheraines actuellement logement et quincaillerie
Carte postale. Le pont de Lescheraines et la forge à droite.
Notice d'illustration
IVR82_20137302709NUCA
Moulin à farine et forge du Pont de Lescheraines actuellement logement et quincaillerie
Cadastre rénové, Lescheraines, 1939 Section B, feuille 1 (FR.AD073, 3P 7155).
Notice d'illustration
IVR82_20137302708NUCA
Moulin à farine et forge du Pont de Lescheraines actuellement logement et quincaillerie
Premier cadastre français, Lescheraines, 1878 Section B, feuille 1 (FR.AD073, 3P 7154).
Dossier
Dossier IA73002895
| Réalisé
par
Moulin à farine et battoir de Pré Rouge actuellement logement
LÉON AYMONIER (1863-1934) PHARMACIEN AU CHÂTELARD
Léon Aymonier naît au Châtelard en1863. Il appartient à la lignée bourgeoise de cette famille, présente dans les Bauges depuis 1430. Sa mère tient un café dans le bourg, en complément d’un emploi à la poste ; son père est cultivateur. Son oncle, le commandant Étienne Aymonier, est administrateur en Asie du Sud-Est et spécialiste de la langue et de la culture cambodgiennes. C’est sans doute avec son soutien que Léon Aymonier entreprend des études de pharmacie à Grenoble, après son service militaire. Il obtient son diplôme en 1890. De retour au Châtelard après un stage à Paris, il achète en 1892 l’officine de Charles Gavard et épouse sa cousine germaine, Jeanne [...]. Quatre enfants naîtront, Paul (décédé en bas âge), Marthe, Paul et Marie-Louise.
UN PHOTOGRAPHE EN DEVENIR
La pratique amateur, si elle concerne un nombre croissant d’individus à la fin du 19e siècle, reste un hobby réservé à une élite sociale et culturelle. Léon Aymonier se livre à ses premières expériences photographiques dans les années1890. C’est peut-être auprès de Joseph Flandrin, son camarade d’internat à Grenoble et futur médecin accoucheur, que Léon Aymonier s’initie à la photographie. Les innovations techniques, en particulier la mise au point du gélatino-bromure d’argent au cours des années 1870, accélèrent la diffusion de cette pratique. La photographie n’est plus réservée aux seuls photographes professionnels, grâce à des temps de pose réduits et des appareils plus maniables. Faciles d’emploi et fabriqués industriellement, les négatifs sur plaques de verre sèches, prêts à l’emploi, ont la préférence de Léon Aymonier.
UN PHOTOGRAPHE EN MOYENNE MONTAGNE
Tantôt pharmacien, tantôt photographe, Léon Aymonier perfectionne sa pratique en consacrant à sa passion une partie importante de son temps. Il l’introduit dans les Bauges, espace rural de moyenne montagne. Si les photographes ambulants sillonnent les campagnes dès la fin du19e siècle, la majorité des studios professionnels est installée en ville, drainant une clientèle essentiellement urbaine. En l’absence de concurrent dans les Bauges, il improvise un studio photographique en plein air à proximité de son officine. Des années durant, se succèdent devant son objectif la population des Bauges dans sa diversité sociale et dans tous les âges de la vie.
Extrait de "Les Bauges de Léon Aymonier", Carnet de découverte des exposition, Exposition du Musée Savoisien, Chambéry, 2013.