Photographe au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel, site de Lyon
- inventaire topographique, Inventaire du Parc naturel régional du Massif des Bauges
- © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossier non géolocalisé
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Dénominationsmaison, immeuble, hôtel
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Aires d'étudesCombe de Savoie
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Adresse
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Commune : Saint-Pierre-d'Albigny
Lieu-dit : Saint-Pierre-d'Albigny
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Commune : Saint-Pierre-d'Albigny
Introduction : les conditions de l'enquête
Le repérage des édifices du bourg de Saint-Pierre-d'Albigny a été effectué courant 2018. Les parties communes des immeubles ont été visitées autant que possible, et les distributions de plusieurs maisons ont pu être vues grâce à l'accueil de leurs propriétaires. Neuf édifices n'ont pas été visités du tout. Le corpus est relativement homogène et peu dénaturé, même si certains édifices ont fait l'objet de fortes restructurations (à plusieurs époques de leur histoire), ce qui rend parfois difficile la compréhension du parti d'origine (IA73005292, IA73005294) et certains rez-de-chaussée ont été masqués par des devantures couvrantes au 20e siècle (voir par exemple le front nord de la rue Louis Blanc-Pinget entre les n°58 et 78).
Le parti a été pris de rassembler dans un même dossier collectif toute l'architecture domestique du bourg : hôtels, maisons, immeubles, mais aussi les auberges ou hôtels de voyageurs. En effet, du fait du peu de documentation et des changements de destination, la répartition entre maison et immeuble n'est ni évidente ni constante ; certains édifices ont peut-être été conçus comme des hôtels à la fin du Moyen Âge puis ont évolué vers l'immeuble (ex. le 65 rue Louis Blanc-Pinget). La documentation cite deux auberges au bourg au 18e siècle, l'auberge de la Croix Blanche et le "cabaret à l’enseigne Notre Dame de Paris", situé à proximité mais non localisé (cité lorsque Marc de Charbonneau et son épouse Barbe de Quintal entrent en possession de deux maisons à Saint-Pierre-d'Albigny et du domaine de Pau, héritées du père de Barbe, noble Jacques de Quintal, après un procès en 1718 ; Pajean, Tisseur), mais ces bâtiments ne semblent pas se distinguer des maisons par une morphologie particulière ; l'actuel hôtel Central (9 rue Auguste Domenget) occupe une maison avec boutique transformée en 1785-1786 pour accueillir dans les étages le tabellion et la maison de ville. Le terme de "maison" est employé dans les documents, en particulier cadastraux, pour désigner l'ensemble des bâtiments à usage d'habitation ou présentant une partie habitation.
I. Caractères historiques (chronologie) : datation du corpus
Sur les 41 édifices retenus pour le corpus, la moitié présente des des encadrements de baies ou parfois des parties d'édifice (le plus souvent une cave) datables d'avant le 17e siècle. Les élévations sont datables pour l'essentiel du 18e siècle et du tout début du 19e, avec des remaniements au 19e siècle. Seuls l'hôtel du Commerce, place Charles-Albert, et la dernière maison du bourg (87 rue des Martyrs des Frasses) sont des constructions qui illustrent le 1er quart du 20e siècle.
Les dates portées sont peu fréquentes dans la commune (surtout si l'on excepte les édicules). Les 6 dates relevées au bourg (deux édifices portent deux dates, ce qui porte à 10% le nombre d'édifice portant une date) sont cohérentes avec la datation majoritaire des édifices au 18e siècle : 1728 ; 1732 ; 1740 ; 1763 ; 1786 ; 1801. On peut ajouter trois dates, toutes également au 18e siècle, portées par des plaques de foyer : 1709, 1765 et 1766.
Les édifices ont été datés en utilisant des critères morphologiques, en particulier la forme et le matériau de l'escalier : escalier en pierre jusqu'au 19e siècle ; en vis avant le 17e siècle ; rampe-sur-rampe puis tournant à retours au 18e siècle ; escaliers tournant en bois au 19e siècle. La maison ou hôtel de Pierre Armand, dont l'escalier porte la date 1740, est l'un des rares éléments de comparaison daté du corpus des escaliers, avec celui de la maison du tabellion et de la communauté, actuellement Hôtel Central, de 1785. La présence d'éléments de décor, en particulier les décors de ferronnerie, impostes et balcons, est un autre indice de datation. Les portes en arc plein-cintre avec abaques saillants et agrafes à décor trilobé, ou en pointe de diamant, indiquent sans doute la fin du 17e siècle ou 1ère moitié du 18e). Les dates 1728 et 1786 sont portée par un cadran solaire peint.
II. Caractères architecturaux (morphologie)
Situation, composition d'ensemble, structure
La quasi totalité du corpus se compose de maisons ou immeubles mitoyens sur un ou deux côtés. Les seules construction isolées sont des édifices en limite du champ typologique, chronologique et/ou spatial (hôtel Perrier de la Bathie, qui occupe tout un ilot à l'entrée est du bourg ; maison 87 rue des Martyrs des Frasses, du début du 20e siècle, à l'extrémité ouest ; la ferme au 77 rue Jean-Louis Bouvet, au nord). La façade principale est tournée vers la rue et édifiée à l'alignement au bord de la chaussée. Les hôtels ont une seconde élévation soignée sur cour ou jardin (Giraud, puis Perret, puis Perrier de la Bathie, de Grassis, Turel), et seule la maison Curial puis Delachenal est en retrait de rue, avec une composition entre cour et jardin, que l'on ne retrouve qu'à la maison Maison Graffion, puis De Charbonneau, puis Janin mais avec une cour latérale). Les hôtels bénéficient également de parcelles plus vastes, le reste du corpus étant caractérisé par des parcelles laniérées, perpendiculaires à la rue et dont la cour ou le jardin en fond de parcelle est desservi sur l'arrière par une ruelle (rue du Pré de Miolans, rue du Pré de la Cure, rue des Abattoirs à l'emplacement de la place de l'Europe). L'accès aux édifices est complété par des passages communs, la plupart couvert (intégrés aux édifices) du fait de la densité et de la mitoyenneté du bâti, mais certains découverts (par ex. le passage desservant la cour du 87 Louis Blanc-Pinget ; le passage derrière les édifices du front ouest de la place Charles-Albert, maintenant plus ou moins couvert, s'apparentait sans doute à une ruelle mais en propriété privée). Ces passages sont répertoriés dans l'Etat de section de 1891, sous le terme "passage commun (allée)" : on en dénombre 9, essentiellement le long de l'axe est-ouest ; le sol appartient en général à un propriétaire, l'élévation est partagée entre plusieurs (ex. le passage situé au 26 rue Louis Blanc-Pinget, soit 1890 E2 356, est partagé entre Delzoppe Jean, ferblantier, propriétaire de 1890 E2 355, et Antoine Coudurier, mercier, propriétaire de 1890 E2 357).
65% des édifices a un plan massé ; parmi ceux qui ont été visités, on compte quatre ou cinq exemples d'édifices à deux corps contigüs articulés par l'escalier (maison ou hôtel de Pierre Armand). 7 édifices ont un corps latéral bordant un côté de la cour, 3 édifices ont un corps en fond de cour (l'escalier ou un corps mince jouant en général le rôle d'articulation), enfin 5 édifices ont des dépendances en fond de cour (essentiellement au nord de la rue Louis Blanc-Pinget).
Matériaux et mise en oeuvre, couverture
Les murs sont en moellon calcaire enduit, avec des encadrements en pierre de taille calcaire (ou en béton à partir de la fin du 19e siècle).
Les enduits sont en général colorés, avec des plates-bandes claires autour des baies et souvent sous la toiture. Les angles sont souvent traités en bossage ou en harpe. La plupart des enduits a été refait au 20e siècle.
Les toits sont à longs pas, avec des croups aux extrémités, en ardoise.
Elévations
Les édifices ont le plus souvent trois travées et trois niveaux d'élévation sur rue. 13 édifices ont un sous-sol (visité ou deviné par la présence de jours), en général formé de caves voûtées en berceau ; 11 ont un étage de soubassement, qui peut également être occupé par des caves (voûtées ou non), mais le plus souvent par des boutiques, voûtées d'arêtes (4 exemples ont été vus, aux 77-83, 100, 106-114 (auberge de la Croix Blanche) et 145 (maison Giraud, puis Perret...) rue Louis Blanc-Pinget ; mais de nombreuses boutiques n'ont pas été visitées ou leur plafond n'était pas visible). Seules la boutique du 26 rue Louis Blanc-Pinget, et celle de la maison Giraud, puis Perret..., ont conservé une devanture avec arcade et bancs (ceux du 26 rue Louis Blanc-Pinget sont très remaniés).
Plus de la moitié du corpus a 2 ou 3 travées sur rue (30% à 2 travées et 34% à 3 travées) ; un seul exemple a une travée (petit immeuble au 42 rue Louis Blanc-Pinget). On compte ensuite 5 exemples à 4 travées, 4 à 5 travées ; la maison Giraud, puis Perret... fait figure d'exception avec ses 10 travées.
Le décor des édifices réside essentiellement dans des éléments de ferronnerie : grilles d'impostes, consoles et garde-corps de balcon, supports d'enseigne. Quelques édifices conservent des grilles d'impostes à simple quadrillage qui peuvent être antérieures au 16e siècle, rue Jean-Louis Bouvet n° 50 (maison de Pierre Armand), 65, 99 (IA73005293), 154 (auberge de la Croix Blanche). 12 exemples de grilles d'imposte de portes d'entrée (à linteau droit ou arc en plein-cintre) à motifs, datables de la 2e moitié du 17e siècle à la fin du 18e voire début 19e, sont conservés. Le type le plus fréquent (et le plus ancien) est caractérisé par une traverse est terminée en enroulements et ornée de clous à tête ronde retenant des coupelles à deux ou trois corolles (trois cas), qui peuvent alterner avec un motif de phylactères (deux cas) ou des clous à tête plate carrée ou losangée (trois cas). La traverse des autres imposte est sans décor. La grille est formée de volutes, la plupart du temps des volutes en S verticales, plus rarement sur deux registres ou horizontales, ou en C (ex. 21 rue Jean-Louis Bouvet) ; dans deux cas l'imposte adopte un motif rayonnant adapté à la forme de la porte (maison Giraud, puis Perret ; 34, 37, 41 Louis Blanc-Pinget). Le château voisin de Menjoud présente un bel exemple de grille à motif rayonnant avec traverse à triple coupelles/phylactères. Les exemples de la 2e moitié du 18e siècle ou début du 19e ont un médaillon pouvant recevoir un monogramme (maison du comte Chissé de Pollinge... , maison 37 rue Jean-Louis Bouvet datée 1763 ; plus tardivement, devanture du 87 rue Louis Blanc-Pinget).
Une dizaine de balcons à garde-corps en fer forgé antérieurs au 20e siècle sont conservés. La plupart sont à volutes verticales simples (on peut noter que les garde-corps des 25, 29 rue Louis Blanc-Pinget et 21 rue Jean-Louis Bouvet, à volutes et lobes, sont identiques). Les garde-corps du balcon de la maison du comte Chissé de Pollinge... et de l'escalier de la maison Giraud, puis Perret... , avec des carrés d'angles et rectangles lobés (ou cannelures) sont similaires. La composition la plus complexe est au 47 rue Jean-Louis Bouvet (volutes affrontées en C, volutes, monogramme JV) ; les consoles en forme de grecques de ce balcon se retrouvent au 25 de la même rue, sur un immeuble qui conserve un support d'enseigne à décor de volute et coupelle godronnée. Ce type de support était fréquent, comme le montrent les cartes postales du début du 20e siècle. Quelques édifices ont des balcons à garde-corps en fonte à décor soigné : l'ancienne épicerie Maréchal au 2 rue Louis-Blanc Pinget, l'auberge de la Croix Blanche au 154 ou l'ancien hôtel du Commerce place Charles-Albert, au décor Art Nouveau.
L'unique portail en fer forgé (maison Delachenal, IA73005295) peut être mentionné dans la rubrique des décors de ferronnerie.
Le décor sculpté en pierre est rare et limité : on peut citer quelques linteaux en accolade (65 et 99 rue Louis Blanc-Pinget), le linteau daté orné d'une coquille au 39 rue Jean-Louis Bouvet, et surtout le décor de la maison (de la) Pignier, puis des notaires Brunier puis Turel (non repérée), à l'entrée est du bourg.
Le décor de menuiserie est plus représenté, sous forme de portes à panneaux (tables rectangulaires ou échancrées), parfois munies d'une poignée ou d'un heurtoir (39 rue Jean-Louis Bouvet, 65 rue Louis Blanc-Pinget) et surtout de devantures en bois de la fin du 19e siècle (8 sont conservées) à décor de panneaux (tables rectangulaires, en pointe de diamant), moulures, frises géométriques (grecque, place Charles-Albert) voire décor figuré (lyres, 87 rue Louis Blanc-Pinget). Ces devantures, très présentes sur les cartes postales du début du 20e siècle (voir dossier du bourg), étaient caractéristiques de ce bourg autrefois très commerçant.
Un seul exemple de décor peint a été vu (en dehors des simples plates-bandes ou angles en bossage), le cadran solaire du 60 rue Louis Blanc-Pinget (inscription : SICUT UMBRA FUGIT VITA / 1728 FECIT P. C. / F. C. REPARAVIT . 1786).
Plusieurs maisons présentent des décors intérieurs en gypserie du 19e siècle : trumeaux de cheminées ou dessus-de-porte, à motifs de pilastres, trophées, guirlandes, rinceaux ou animaux.
Enfin, un décor de papier peint figuré, dont un panoramique, a été mis au jour lors de travaux dans la Maison de Victor Blanc puis du comte de Chissé de Pollinge, puis déposé à la mairie.
Distribution
Le rôle des passages communs a été présenté dans le 1er paragraphe. Les autres édifices ont en général un couloir central ou latéral qui conduit à l'escalier. Le rez-de-chaussée ou étage de soubassement est en général occupé par des espaces de boutique, remise ou stockage, côté rue, et des espaces d'arrière-boutique, cave ou stockage sur l'arrière. Les niveaux supérieurs sont dévolus à l'habitation. L'état de section de 1891 fait état de plusieurs immeubles divisés entre plusieurs propriétaires, soir par niveaux, soit par pièce (une chambre).
Deux escaliers en vis ont été repérés (peut être considérée comme un vestige d'un édifice antérieur à la fin du 16e siècle, époque où ces escaliers cessent d'être utilisés. Ils sont remplacés par des escaliers rampe-sur-rampe, le plus souvent à mur d'échiffre plein, plus rarement ajouré (IA73005299) puis des escaliers tournant à retour avec jour (ou parfois sans jour et reposant sur un gros pilier carré, ex. 78 rue Louis Blanc-Pinget). Les volées sont en général voûtée en berceau et les paliers voûtés d'arrêtes.
III. Note de synthèse
La mappe sarde permet de localiser plusieurs domaines ruraux de nobles, avec dépendances (Favier du Noyer puis Chissé de Pollinge ; Graffion puis De Charbonneau, puis Janin ; de la Pignier, Ruffin puis Grassis, non repéré ; Ruffin, puis Grassis, puis de Chissé, non repérée) qui deviennent des hôtels ; on peut ranger les maisons Maison Giraud, puis Perret, puis Perrier de la Bathie, et Curial, puis Delachenal, de constitution plus tardive, dans la même catégorie. La plupart partagent un emplacement en limite du bourg, avec des parcelles plus grandes et plus d'espace pour des parties agricoles. Ils comprennent cependant des espaces de boutiques caractéristiques du contexte du bourg, parfois repoussées dans une annexe.
La mappe indique également que plusieurs immeubles plus modestes en taille étaient également en propriété noble. Le soin apporté à la construction et au décor de l'escalier de la maison de Pierre Armand peut faire s'interroger sur la destination première de l'édifice : un petit hôtel, avec son jardin au sud, ou dès l'origine un immeuble conçu pour le rapport, avec ses boutiques au rez-de-chaussée.
La moitié présente des des encadrements de baies ou parfois des parties d'édifice (le plus souvent une cave) datables d'avant le 17e siècle. Les élévations sont datables pour l'essentiel du 18e siècle et du tout début du 19e, avec des remaniements au 19e siècle.
Typologie :
-domaines ruraux de nobles, avec dépendances, devenus des hôtels
-maisons monofamiliales avec boutiques, transformées en immeubles
-immeubles avec boutiques
Parties constituantes : boutiques (voûtées) ; passage commun ; cour ; bâtiment sur cour
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Toitsardoise
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Murs
- calcaire moellon enduit
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Décompte des œuvres
- bâti INSEE
- repérées 30
- étudiées 11
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Bibliographie
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MESSIEZ, Maurice. La Combe de Savoie autrefois. Montmélian : La Fontaine de Siloë, 2002.
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PAJEAN, Yves. TISSEUR, Evelyne, et al. Histoire de La Plantaz. Dactyl (support de conférence, 29 novembre 2015). Archives de l'Association Autrefois Saint-Pierre.
Chargé de mission patrimoine bâti au Parc naturel régional du Massif des Bauges, en convention pour réaliser l'inventaire du patrimoine bâti de 2009 à 2023.
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