• inventaire topographique, Inventaire du Parc naturel régional du Massif des Bauges
Lotissement concerté, dit lotissement A ou lotissement du Revard
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Archives départementales de la Savoie

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Hauts de l'Albanais
  • Commune Pugny-Chatenod
  • Lieu-dit le Revard
  • Cadastre 1880 A  ; 2014 AC
  • Commune Montcel
  • Lieu-dit le Revard
  • Cadastre 1880 E  ; 2014 AD
  • Commune Les Déserts
  • Lieu-dit le Revard
  • Cadastre 1864 N  ; 2014 AB
  • Dénominations
    lotissement concerté
  • Appellations
    lotissement A, lotissement du Revard
  • Parties constituantes étudiées

Introduction :

Le contenu de ce dossier s’appuie en partie sur des recherches menées et des textes produits par Jean-Pierre Petit dans le cadre de sa collaboration à l’exposition « Aix côté montagne », produite par les Archives municipales d’Aix-les-Bains, l’Inventaire du patrimoine d’Aix-les-Bains et l’Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.

Les règles définies dans le lotissement A, ou lotissement du Revard, ainsi que son emprise, ont guidé la quasi totalité des constructions édifiées dans la station dans la seconde moitié du XXe siècle.

La création du lotissement A :

Créé par arrêté préfectoral le 18 juin 1953, le lotissement A est dessiné par l’architecte de Courchevel (voir Courchevel 1850), Laurent Chappis, à la demande de la Société immobilière du plateau du Mont-Revard et de la Féclaz (SI puis STIR), propriétaire des terrains. La conception et le dessin de ce lotissement sont issus d’une réflexion générale menée par Chappis sur l’aménagement du plateau Revard-Féclaz à la demande du conseiller général Gaston Mollex (voir Station du Revard) et de son expérience à Courchevel.

Le lotissement A comprend l’ensemble déjà bâti de la station et crée trois boucles de voirie qui épousent le vallonnement du terrain et qui reprennent une partie des tracés existants : les boucles de l’Observatoire, de Bellevue et de l’Angle Est. L’emprise retenue pour le lotissement A permet de s’appuyer sur les réseaux existants (électricité, assainissement, eau potable et voirie) et de bénéficier d’un emplacement attractif, à proximité du sommet, pour lancer les ventes.

Comme à Courchevel, le lotissement est régi par un cahier des charges. Ce document réglemente les conditions d’acquisition et de construction des lots (établissement d’un gabarit pour chaque lot, conservation de la végétation), définit le rôle de l’architecte-conseil (Laurent Chappis jusqu’en 1962), fixe les règles afférentes à la voirie ainsi qu’aux travaux de viabilisation et crée le Syndicat des Propriétaires du Plateau du Mont-Revard. Il définit également le type d’occupation affecté à chaque lot ou ensemble de lots :

-la zone de l’ancien hôtel-restaurant et de l’ancien Grand Hôtel est définie comme une zone non aedificandi

-les trois boucles sont destinées à des occupations résidentielles individuelles ou en copropriété

-l’ancienne gare d’arrivée, son parvis au sud et les terrains situés au nord sont définis comme une zone commerciale et hôtelière

-la côte de Bellevue est réservée à l’implantation d’infrastructures sportives

Des difficultés de construction :

Malgré les travaux de viabilisation menés par le syndicat intercommunal du Revard, la station du Revard se heurte dès le milieu des années 1950 à des problèmes d’assainissement et d’alimentation en eau potable. Des coupures de service interviennent en 1956 et s’ensuivent d’une importante hausse des prix de l’eau. En effet, la source de Pré-Jappert qui assure l’alimentation du plateau, se révèle trop peu abondante pour satisfaire les besoins en cas de faibles précipitations. En 1978, une étude de pollution des sols menée sur l’ensemble du massif des Bauges amène la préfecture à suspendre les permis de construire au Revard. Ces difficultés, signalées à plusieurs reprises, ne sont résolues qu’après la restructuration des autorités publiques par la création du SIVOM du Revard en 1975 grâce au captage du trop-plein des sources de la Meunaz en 1976 et grâce au raccordement du plateau à la station d’épuration d’Aix-les-Bains en 1981.

Les règles établies par le cahier des charges souffrent également d’entorses. Les colonies de vacances, dont l’implantation était prévue dans un autre lotissement (voir Station du Revard), s’installent dans le lotissement A dès la fin des années 1950 (voir colonie de Pantin et colonie de Puteaux). Plusieurs bâtiments (extension de la colonie de Puteaux, bâtiment L’Alpe construit en 1979) sont par ailleurs édifiés dans la zone non aedificandi.

La commercialisation et la construction des 79 lots des boucles résidentielles se font très lentement. Après l’édification de 8 chalets dans les années 1950, dont 5 commandés par la STIR pour lancer le lotissement (voir Chalets greniers), les deux décennies suivantes voient la construction de la majeure partie des habitations (une trentaine de chalets dans les années 1960 puis une trentaine de chalets dans les années 1970). Diverses raisons sont avancées pour expliquer cet échec (nuisances apportées par les colonies de vacances, déficit de promotion sur le site même, manque d’équipement de la station, exigences architecturales du cahier des charges). En fait, la clientèle intéressée par l’acquisition de lots au Revard est plus modeste que celle qui était visée et alors attirée par des stations plus en vue telles que Megève ou Chamonix. A ce jour, des lots sont encore vacants.

Typologie des chalets des trois boucles résidentielles :

Les trois boucles résidentielles du Revard sont peuplées de chalets individuels (pas d’habitat collectif) bâtis majoritairement par des constructeurs de chalets. En effet, très peu de propriétaires ont fait appel à des architectes. Dans le cadre de se collaboration à l’exposition « Aix côté montagne », Jean-Pierre Petit a établi une typologie de ces chalets (voir carte).

Chalet atypique (A) :

Chalets représentant des cas particuliers par leur architecture et/ou par leur origine. Ainsi, le premier chalet du ski-club (boucle de l’Angle Est, Le Montcel, parcelle AD 39) est originaire de Tignes et correspond à la moitié d’un des baraquements construits en 1941 pour loger les ouvriers du barrage de Chevril.

Chalet ferme (F) :

Les chalets fermes adoptent la forme de fermes et notamment des fermes des Bauges dotées de toits à demi-croupe à forte pente.

Chalet grenier (G) :

A côtés des 5 chalets greniers de la boucle de l’Angle Est, 3 autres chalets greniers ont été construits dans la boucle de l’Observatoire. Ceux-ci ont été dessinés par Laurent Chappis pour un promoteur, Mme Ybergoyen, et vendus sur la Foire de Lyon. Les deux chalets situés au sud (Pugny-Chatenod, parcelles AC 38 et AC 42) sont des type E ou modèle Intimité, le chalet placé au nord (Pugny-Chatenod, parcelle AC 43) est un type B ou chalet Lilliput. A côté des principes constructifs des chalets greniers qu’ils reprennent (piles maçonnées, toit en appentis, mezzanine couchette, terrasse à l’avant et accès par escalier extérieur latéral), ils présentent l’originalité d’une façade principale inclinée et des câbles de toit tenant la terrasse permettant l’économie de piliers de soutien. Comme les chalets greniers de la boucle de l’Angle Est, les soubassements de ces constructions ont été fermés par la suite pour agrandir l’espace intérieur et renforcer l’isolation du bâtiment.

Chalet maçonné (M) :

Les chalets maçonnés, rares au Revard, sont un type dans lequel le bois joue un rôle décoratif ou d’intégration au site.

Chalet nordique (N) :

Les chalets nordiques sont des chalets en rondins de bois d’inspiration canadienne ou scandinave.

Chalet ossature bois (O) :

Ces chalets adoptent un système constructif en bois : poteaux-poutres, bois sur bois ou panneaux de bois.

Chalet skieur (S) :

Le chalet skieur, inventé par Henri-Jacques Le Même à Megève, est le type le plus représenté au Revard. Les entreprises SCMC, basée à Lescheraines dans les Bauges, et Art et Bois, installée à La Rochette, ont édifié la majorité des chalets skieurs du Revard. Les constructions Art et Bois présentent plusieurs éléments architecturaux constants : bardage en chevrons sur la partie supérieure du pignon principal, volets comportant trois panneaux pour chaque vantail, garde-corps en bois à lisses horizontales, caisson lambrissé en forme de trapèze affiné vers le bas englobant le poteau cornier des loggias.

Chalet triangulaire (T) :

Les trois chalets triangulaires du Revard adoptent une forme inspirée de la tente de bivouac et sont des constructions économiques et faciles à mettre en œuvre. Le chalet triangulaire installé dans la boucle de Bellevue (Le Montcel, parcelle AD 17) est un chalet de type Chaloin, utilisé dès 1968 par le Parc national de la Vanoise pour la construction de refuges.

Le lotissement A, dessiné par l’architecte Laurent Chappis à la demande de la Société immobilière du plateau du Mont-Revard et de la Féclaz (SI puis STIR), est créé par arrêté préfectoral le 18 juin 1953. Sa commercialisation et sa construction ont été lentes si bien que, la majeure partie des constructions édifiées dans la station dans la seconde moitié du XXe siècle a été guidée par les principes et l’emprise retenus pour ce lotissement.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1953, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Chappis Laurent
      Chappis Laurent

      Architecte et urbaniste français.

      Biographie établie par Jean-Pierre Petit (architecte, CAUE 73):

      Architecte et urbaniste français né à Aix-les-Bains. D'abord élève de Jean Benoît à l’École régionale d’architecture de Grenoble, il devint en 1936 élève d'Emmanuel Pontremoli et André Leconte à L’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris (Matricule 9607). Ses études furent distinguées, entre autres, en 1937 par la Seconde Médaille au Concours Rougevin, son admission au Concours de Rome, et en 1938 par la Médaille de la Société centrale des architectes. Prisonnier de guerre (Croix de guerre 39-45, Médaille des évadés), il fut diplômé en 1944, obtenant en 1945 le Prix du Meilleur Diplôme des Prisonniers ; et par ailleurs diplômé de l'Institut d'urbanisme de l'Université de Paris avec une thèse portant sur l'aménagement de montagne. Il s'installa à Chambéry, associé avec Roger Berthe dès 1949, puis Pierre Jomain. C'est pendant sa captivité durant la Seconde Guerre mondiale, avec Maurice Michaud qui deviendra un personnage administratif clé pour l'aménagement de la montagne, qu'il a imaginé l'aménagement des Trois Vallées et qu'il deviendra le concepteur de plusieurs stations de sports d'hiver en France et à l'étranger, à commencer par Courchevel en 1946, puis Tignes, Chamrousse, Allos, etc., ou intervenant comme aux Sept-Laux, à Flaine... Son expérience l'amènera aux responsabilités d'architecte urbaniste de la station de Courchevel ; d'architecte conseil du ministère de la Reconstruction à partir de 1955 ; d'architecte conseil des départements de Savoie, Haute-Savoie, Ain et Rhône, mais aussi de l'Épiscopat français, et finalement, expert consultant de l'Organisation mondiale du tourisme, dépendant de l'O.N.U., à partir de 1980. C'est en référence à sa spécialité dans le domaine des stations de sports d'hiver, que dès 1948 Laurent Chappis fut diversement sollicité sur le Revard, pour étudier sa skiabilité, puis la faisabilité d'une station touristique à vocation internationale, puis le plan et les gabarits du lotissement. C'est dans l'esprit de l'Atelier d'architecture de Courchevel, co-fondé avec Denys Pradelle, qu'il fut promoteur d'un style de chalets rationnel dont il créa quelques spécimens au et pour le Revard ; et c'est en tant qu'architecte urbaniste de la station de 1953 à 1962, puis rappelé en tant qu'administrateur de la Société Immobilière du Revard à partir de 1972, qu'il eut son mot à dire sur les nouvelles constructions, mais à cet égard peu entendu.

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      architecte urbaniste attribution par source
    • Personnalité :
      Société touristique et immobilière du Revard (STIR)
      Société touristique et immobilière du Revard (STIR)

      Société fondée le 16 décembre 1952 à Aix-les-Bains sous le nom de Société immobilière du plateau du Mont-Revard et de la Féclaz (SI devient la STIR en 1960). Cette société est créée par l'Association pour soutenir et favoriser l’aménagement du plateau du Revard et de la Féclaz, afin d'acheter la plus grande partie du domaine PLM du Revard et de le lotir, suivant les plans de lotissement de Laurent Chappis.

      Son siège social se situait 1 place du Revard à Aix-les-Bains (Grand-Hôtel), puis 4 rue de Casino à la Banque de Savoie (fait partie de l'actionnariat). Le principal actionnaire était la société industrielle foncière et routière de Paul Chemin (1 490 actions). Suite à la faillite de cette dernière en 1965, ses actions sont vendues aux enchères et rachetées par la STIR, qui les propose aux autres actionnaires. Etant donné sa mauvaise santé financière, la STIR n'a jamais distribué de dividendes. Les actionnaires ont surtout cherché, à partir des années 70, à vendre leurs actions. En juillet 1960, après l'intégration partielle de la SAPEC (société appartenant à un des grands actionnaires de la STIR) suite à un échange d'actions, la STIR devient propriétaire du téléphérique et de la remontée mécanique du Revard. Elle change alors son objet social et sa dénomination en Société touristique et immobilière du Revard (STIR). Les actions de la STIR sont rachetées par les collectivités publiques (la ville d'Aix principalement), en 1987 ; elle est alors transformée en Société d'économie mixte, sous le nom de SEM du Revard.

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      commanditaire, promoteur attribution par source
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée

Édifice étudié dans le cadre de l'exposition "Aix côté Montagne - Le Revard - Les Corbières" en 2016.

Documents d'archives

  • AD Savoie. 30 J 128. Aménagement des zones A, C, D (lotissements), B (commercial), et du domaine de la Gornaz. - Notes explicatives, rapports, cahier des charges du lotis sement zone A, plans de situation, de parcellaire, d’ensemble, de VRD, d’aménagement du belvédère, de prototypes de chalets, perspectives, 1952-1956.

    AD Savoie : 30 J 128
  • AD Savoie. 30 J 129. Rapports, cahiers des charges de lotissement, plans de vente, de gabarits individuels dans le cadre de la mission d'urbaniste de la station, devis descriptif et plans de chalets, 1954-1962.

    AD Savoie : 30 J 129
  • AD Savoie. 30 J 326. Etude de chalets minimums de type "greniers". - Vues de chalets réalisés, correspondance, devis descriptifs et quantitatifs, documents de vente, plans, coupes, élévations, perspectives, 1953-1965.

    AD Savoie : 30 J 326
  • AD Savoie. 30 J 130. Aménagement d’ensemble du plateau du Revard, nouvelle mission. - Honoraires, rapport, plans d’ensemble, du domaine skiable, de zonaged’hiver, parcellaires et d’ensemble de la zone A, 1979-1981.

    AD Savoie : 30 J 130
  • AD Savoie. 30 J 343. Cercle d’Etudes architecturales, période 1951 à 1973, p. 789 et 791 ;étude de chalets « greniers », période 1952 à 1960.

    AD Savoie : 30 J 343
  • AC Aix-les-Bains. BR 639. Aménagement du plateau du Revard, Laurent Chappis, Chambéry, 22 avril 1952.

    AC Aix-les-Bains : BR 639
  • AC Aix-les-Bains. 160 W 21. SIVOM du Revard, Urbanisme et lotissements, 1953-1986.

    AC Aix-les-Bains : 160 W 21
  • AC Aix-les-Bains. 160 W 39. SIVOM du Revard, plans.

    AC Aix-les-Bains : 160 W 39
  • AC Aix-les-Bains. 160 W 22. SIVOM du Revard, 1956-1980.

    AC Aix-les-Bains : 160 W 22

Bibliographie

  • PETIT, Jean-Pierre. « Histoire et inventaire sommaires des boucles résidentielles », in Aix-les-Bains côté montagne. Les Corbières – Le Revard. Aix-les-Bains : Société d’Art et d’Histoire, 2016. (coll. Arts et Mémoire, n°90).

    pp. 67-80

Documents figurés

  • Le Revard. Lotissement Zone A / Laurent Chappis, architecte-urbaniste. Chambéry, janvier 1953. Ech. 1 : 100. 1 tirage de plan rehaussé : crayon ; 82, 5 x 82 cm (AD Savoie. 30 J 128)

    AD Savoie : 30 J 128
  • Le Revard. Lotissement zone A / Laurent Chappis, architecte. Chambéry, février 1956. Ech. 1 : 2000. 1 tirage de plan ; 48 x 45 cm (AC Aix-les-Bains. 160 W 21)

    AC Aix-les-Bains : 160 W 21
  • Lotissement zone A. Approuvé le 18 juin 1953 [Plan schématique des 7 secteurs de la zone A] / [Laurent Chappis], [architecte-urbaniste]. [Chambéry], [1980]. Sans éch. 1 plan sur calque ; 21 x 29, 7 cm (AD Savoie. 30 J 130)

    AD Savoie : 30 J 130
  • Morcellement du domaine Le Revard La Féclaz près Aix-les-Bains / [1953]. 1 dépliant publicitaire ; 11 x 40, 5 cm (AD Savoie. 30 J 127)

    AD Savoie : 30 J 127
  • Mont-Revard. Aix-les-Bains. Savoie. Alt. 1550 m. Le plus beau lotissement de montagne / Société immobilière du Mont-Revard. Aix-les-Bains, [1958]. 1 dépliant publicitaire : coul. (AC Aix-les-Bains. 160 W 39)

    AC Aix-les-Bains : 160 W 39
  • Le Revard. Parcelles n°76, 77, 78. Gabarits / Laurent Chappis, architecte-urbaniste. [Chambéry], mars 1959. Ech. 1 : 1000. 1 tirage de plan ; 27 x 21 cm (AC Aix-les-Bains. 160 W 22)

    AC Aix-les-Bains : 160 W 22
  • Le Revard. Aménagement des parcelles 87-88 pour construction de 6 greniers / Laurent Chappis, architecte-urbaniste. [Chambéry], avril 1954. Ech. 1: 1000. 1 plan sur calque ; 21 x 22, 5 cm (AD Savoie. 30 J 129)

    AD Savoie : 30 J 129
  • C. E. V. Chalet Intimité (Type E) / Chambéry : Imp. Filsnoël, [1954]. 1 publicité ; 29 x 21, 5 cm (AD Savoie. 30 J 326)

    AD Savoie : 30 J 326
  • Prototype de chalet. Grenier type E / Berthe, Chappis, Jomain, agence d'architecture. [Chambéry], avril 1955. Ech. 1: 50. 1 tirage de plan ; 28, 5 x 126 cm (AD Savoie. 30 J 343)

    AD Savoie : 30 J 343
  • C. E. V. Chalet Lilliput (Type B) / Chambéry : Imp. Filsnoël, [1954]. 1 publicité ; 29 x 21, 5 cm (AD Savoie. 30 J 326)

    AD Savoie : 30 J 326
  • Prototype de chalet. Grenier type B / Laurent Chappis et G. Dufayard, architectes. Chambéry, septembre 1954. Ech. 1 : 50 ; 1 : 20 ; 1 : 10 (détails) ; 1 : 5 (détails). 1 tirage de plan ; 73 x 110 cm (AC Aix-les-Bains. BR 639)

    AC Aix-les-Bains : BR 639
  • [Chalet grenier modèle Intimité] / S.n. : S.l., [vers 1960]. 1 carte postale : n. et b. ; 9 x 13 cm (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
  • [Vue aérienne du Revard : le chalet Bouvard, la Gaillarde et les chalets de la boucle de l'Observatoire] / Saint-Maur-des-Fossés : La Pie, [3e quart du XXe siècle]. 1 carte postale : n. et b. (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
  • [Vue aérienne du Revard en été : au premier plan, les chalets de la boucle de l'Angle Est] / S.l. : S.n., [ca. 1965]. 1 carte postale : coul. (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
  • [Vue aérienne du Revard en hiver : le chalet Bouvard, la Gaillarde, les chalets de la boucle de l'Observatoire, la colonie de Pantin et l'ancien Grand Hôtel] / Mâcon : Cim, [ca. 1975]. 1 carte postale : coul. (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
  • [Vue aérienne du Revard en hiver : au premier plan, les chalets de la boucle de l'Angle Est] / Mâcon : Cim, [ca. 1975]. 1 carte postale : coul. (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
Date(s) d'enquête : 2016; Date(s) de rédaction : 2016
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Parc naturel régional du Massif des Bauges